Fétichisme transvestites jouer avec travesti #4

Fétichisme transvestites jouer avec travesti #4 | Tout en laissant mon doigt s'activer sur son clitoris, elle retroussa ma jupe jusqu'à mi-cuisses.

Ah, tu n'as pas les jambes nues, c'est bien. Quoi que. c'est vrai que dans certains cas, une jambe nue, ça peut faire beaucoup d'effet. Qu'en penses-tu Ghislaine? Enfin, continuons voir.

Ce ne sont pas des collants, j'espère! Dis-moi que tu portes des bas. Ou au moins des Dim-Up, même si je trouve que les bas sont beaucoup plus. érotiques.

Est-ce que tu sens un porte-jarretelles? Comprenant la question, elle caressa le cuir qui moulait mes hanches à la recherche des fines lanières qui retenaient mes bas. Quand elle fût certaine d'en avoir senti au moins une, elle continua à faire rouler ma jupe sous les doigts de sa main droite afin de remonter jusqu'à la démarcation entre le nylon et la chair de ma cuisse.

c'est à cet instant que tout bascula, car Karine s'agenouilla et releva ma jupe à deux mains, avec au départ l'intention avouée de me brouter le minou! Tout s'était passé si rapidement que c'est juste au moment où sa langue allait entrer en contact avec mon slip en cuir qu'elle se rendit compte de la dure réalité (si j'ose dire! ).

Ghislaine s'était placée de telle sorte qu'elle pût voir la surprise la plus totale se peindre sur le visage de Karine. Elle poussa un "Ah ben merde alors!" de stupeur et se releva, abasourdie.

Comme pour une ultime vérification, elle caressa ma poitrine pour voir si elle était naturelle ou fausse. Puis elle termina le slow en se frottant contre moi, mais en gardant tout le temps les yeux mi-clos et sans dire un mot.

Elle se détacha de moi, prit le verre que lui tendait Ghislaine et dit : ok, vous marquez un point, y a pas photo!. Ouais, là je dois dire que vous faites quand même très fort, chapeau! Elle but une gorgée et ajouta : Vous cachez très bien votre jeu, mais c'est à mon tour de vous réserver une petite surprise.

Ne bougez pas, je reviens tout de suite. Ghislaine m'enlaça et me souffla à l'oreille : Cette fois, ça y est, on est au pied du mur. Espérons qu'on ne le prendra pas dans la gueule! Je tournais le dos à la porte du salon, mais les caresses que me prodiguait Ghislaine s'arrêtèrent si brusquement que je me retournai pour en voir la cause.

Karine faisait son retour. Mais quelle Karine! La jeune femme s'était métamorphosée! Elle portait à présent des cuissardes blanches vernies avec un plateau sous la semelle qui lui permettait de marcher plus facilement sur la douzaine de centimètre des talons aiguille! En haut, elle avait enfilé un soutien-gorge en cuir noir dont les bonnets découpés exhibaient fièrement la pointe de ses seins.

Son ventre plat et bronzé était souligné par un porte-jarretelles du même métal qui retenait des bas résilles. La panoplie était complétée par une paire de longs gants en agneau qui moulaient ses bras jusqu'au-dessus du coude, mais ce vers quoi convergeaient nos deux regards, c'était le gode ceinture qui saillait de son pubis! Il était parfaitement ressemblant, couleur chair, les veines légèrement saillantes et bien dessinées, et de taille tout à fait.

humaine! Surprises les filles? Bien, maintenant, et pour commencer, je vais un peu vous relooker, mes chéries! Ghislaine, tu vas rester comme ça, mais tu vas m'enlever tout de suite ce body.

Je veux tout voir à chaque fois que tu te pencheras en avant!. Non, non, ne rattaches pas le blouson, je veux aussi voir tes seins. Elle s'approcha d'elle et les caressa doucement tout en frottant son bassin contre celui de Ghislaine.

Celle-ci ne bougeait pas. Hum, ils sont doux et fermes! j'aime. Et toi, ça te plaît que je les caresse comme ça, hein? Ca t'excite de te sentir gouine, hein? Elle ne répondit rien, mais continua à se laisser faire.

j'en étais sûre. Tu te la joues "bourge", mais en fait, tu es une petite allumeuse. Remarque, pas autant que ta copine! Elle, elle se pointe sapée "grande dame", bottes genre haute couture et jupe longue en cuir, mais en fait, elle en veut plein la culotte, c'est tout! Et bien vous n'allez pas être déçues.

Allez, à poil, Corinne, à poil! Elle me laissa juste les sous-vêtements en cuir blanc achetés le matin et mes bas assortis. Elle me tendit une paire de cuissardes en cuir rouge et une jupe noire, en cuir elle aussi, qui se fermait par un zip partant de la ceinture et descendant sur toute sa hauteur.

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En fait, "hauteur" n'était pas un terme approprié, car même en ayant descendu à fond la fermeture éclair, mes fesses étaient à peine couvertes. Elle était encore plus courte que celle de Ghislaine, et c'était là la différence entre un vêtement "sexy" et un accessoire érotique "hard"! Pour commencer, vous allez me mettre en condition.

Je veux que chacune de vous deux m'excite un sein avec sa bouche pour seul accessoire! On va voir laquelle de vous deux est la plus douée. Pendant que nous faisions de notre mieux pour la satisfaire, elle nous encourageait de la voix.

Elle posa ses deux mains sur nos têtes pour les guider. Les pointes de ses seins étaient maintenant durcies et elle poussait des soupirs de plus en plus voluptueux.

Au bout de quelques temps, sa main se détacha de mon crâne et je la vis saisir son gode ceinture et commencer à se masturber comme l'aurait fait un mec.

c'est alors que je constatai que c'était un modèle double et que le mouvement qu'elle venait d'entamer avait des répercussions directes sur son bas-ventre! Profitant de l'intensité de son excitation, je poussai les testicules en latex avec le dessus de la main et amenai un doigt inquisiteur entre ses fesses.

Elle poussa un soupir plus rauque et m'incita à continuer. Peu après, elle atteint l'orgasme. Elle nous demanda ensuite de nous agenouiller pour la sucer toutes les deux en même temps.

Comme je marquais un temps d'arrêt, elle me dit : Ne me dis pas que c'est une première pour toi, je suis certaine que tu en as déjà sucé plus d'une! Et bien, crois-moi ou pas, je n'ai jamais fait ça.

Ghislaine me prit la main et me dit d'une voix douce : détends-toi et fais comme moi, je vais t'aider. Ecoute ta copine, Gill, écoute-la bien. hésitant, mais forcé d'accepter les règles du jeu ou bien d'en sortir, je m'agenouillai face à Ghislaine et approchai ma bouche du godemiché que Karine exhibait fièrement.

c'était une sensation plus qu'étrange de sentir les lèvres de Ghislaine contre les miennes et ce phallus de latex contre ma langue. Je remis mon index gauche au bord de l'anus de Karine, tandis que ma main droite se plaquait sur la toison pubienne de Ghislaine.

Pour sa part, elle masturbait le gode de la main gauche pendant que la droite caressait la cuisse de notre hôtesse sans me quitter du regard. Je sentais sous mes doigts l'excitation de Ghislaine qui augmentait.

j'appuyai mes caresses. Elle poussait des soupirs entrecoupés de petits cris. Cela m'encouragea à sucer plus activement Karine. En levant les yeux vers elle, je la vis sourire, manifestement satisfaite : c'est bien ce que je pensais : sous vos dehors "convenables", vous êtes deux chiennes.

hûûûm, j'aime ça, les chiennes, quand il s'agit de sexe! Allez, je vous déclare ex aequo toutes les deux sur cette première manche. Tu es plus douée que Gill, Ghislaine, mais il faut récompenser les efforts qu'elle fait! Elle nous fit relever et nous mit cote à cote; elle embrassa Ghislaine sur la bouche, elle lui caressa à nouveau les seins, puis sa main descendit lentement sur les hanches.

Elle força sa queue artificielle à passer entre les jambes de Ghislaine, mais sans la pénétrer. Pendant qu'elle s'activait ainsi, elle me caressait les fesses sous ma minijupe. Elle se détacha de ma compagne et me fit me retourner.

Elle se plaqua derrière mon dos et frotta sa queue dans la raie de mes fesses. Malgré moi, je poussai un petit cri. c'est ça, joue les mijaurées, ça m'amuse! De toutes façons, ça ne changera rien à ce qui vous attend! Tout en disant cela, elle remonta à moitié la fermeture éclair du devant de ma jupe, puis sa main se glissa par l'entrejambe sous mon brésilien de cuir et elle fit sortir à l'air libre ma verge raidie.

Ghislaine, prends appui sur le canapé pour te pencher en avant.. Non, pas sur le dos du canapé, il est trop haut, penches-toi sur l'accoudoir. Tu veux tout voir, c'est ça, hein? Tu veux que je joue les salopes, et bien, tiens, la voilà ma chatte.

Et bien, vas-y, mate, puisque ça t'excite tant! Au moment où elle répondit à Karine, je retrouvai dans ses yeux cet éclat métallique que j'avais entrevu lorsqu'elle m'avait découvert la veille au soir, travesti avec ses vêtements.

Elle se mit néanmoins dans la position réclamée. Penchée à ce point en avant avec les jambes tendues, sa superbe minijupe ne cachait effectivement plus rien de son intimité! Karine et moi avions une vue imprenable sur son cul et sur sa chatte.

Je frémis d'excitation. Karine s'en rendit compte : Elle te fait de l'effet, hein? Ne t'inquiètes pas, on va se la faire. toutes les deux!. Ensemble! Toujours collée à moi et sans que sa main ne lâche prise, elle me poussa en direction de Ghislaine.

Tout en me masturbant lentement, elle pointa ma verge à l'entrée du petit trou de Ghislaine. Je protestai : Non, je ne peux pas la prendre comme ça! Je ne veux pas! Ah non, et pourquoi donc? Parce que je veux être douce avec elle, je ne veux pas la baiser comme un mec en rut.

Je refuse. Je sentais le gode appuyé dans ma raie, mais résistai pourtant. Karine relâcha un peu sa pression, mais profitant de la position écartée des cuisses de Ghislaine, sa main enfonça mon sexe dans sa chatte sans plus de préliminaire.

Fort heureusement pour elle, il régnait dans l'appartement un tel état d'excitation général que la pénétration se fit malgré tout sans encombres. Karine avait laissé son index tendu plaqué contre ma queue qui allait et venait dans le ventre de Ghislaine.

Elle ne nous laissa cependant pas longtemps profiter de ces mouvements. Elle me mit son doigt dans la bouche. Je le suçai avec plaisir. Sans l'enlever, elle me roula un patin d'enfer en regardant droit dans les yeux Ghislaine qui s'était redressée.

Lorsqu'elle décolla ses lèvres de ma bouche, elle nous fit signe de la suivre dans la dernière pièce de son logement. La pièce n'était pas très grande, mais elle avait été manifestement meublée dans un objectif précis : le sexe! Un pan entier de mur était constitué d'un très grand miroir.

Un matelas de deux mètres sur trois environ occupait une bonne moitié de la surface. Il y avait à coté un banc qui ressemblait à un banc de musculation, pas très large, avec le dessus rembourré pour lui donner malgré tout un minimum de confort.

Sur deux portants à roulettes étaient suspendues plusieurs tenues typées sm. Karine me désigna le banc de la tête : Allonge-toi là-dessus, sur le dos! Et toi, Ghislaine, colle-toi en levrette sur elle.

Je m'exécutai, laissant mes talons aiguilles reposer au sol. Ghislaine s'approcha. Je lui pris la main et elle se pencha pour m'embrasser, puis elle m'enjamba et se tint un instant immobile, debout au-dessus de moi.

Karine venait de s'agenouiller à l'extrémité du banc et commençait à lécher le cuir mat de mes cuissardes rouges tout en me caressant les mollets. Elle se releva, prit mon sexe dans sa main et dégagea mon pubis pour que Ghislaine se mette en position.

Elle écarta les grandes lèvres et le plaça à l'entrée de son vagin. Ghislaine s'allongea complètement sur le dos. Je pris ses seins dans mes mains et commençai à les caresser tendrement, tout en la pénétrant aussi doucement que possible.

Aussitôt, Karine se remit à genoux et elle gratifia Ghislaine d'une superbe séance de "broutte-minou". Sa langue allait chercher son clitoris, léchait ma hampe lorsqu'elle sortait du ventre de Ghislaine, puis retournait fouiller son intimité.

Sa main gauche s'était glissé sous mes fesses et me caressait tour à tour les testicules et l'anus; sa main droite caressait l'entrejambe ou le ventre de Ghislaine qui ondulait lascivement pour profiter au mieux de la sensation de mon sexe planté en elle.

Je laissais échapper des gémissements de plus en plus rapprochés et de plus en plus sonores. Ma main gauche délaissa son sein pour aller vers son clitoris que Karine léchait avec autant d'ardeur que de volupté.

Elle poussa un long soupir de satisfaction. Sentant que j'approchais du point de non-retour, Karine profita d'un mouvement de bassin de Ghislaine pour sortir ma verge. Nous poussâmes ensemble un cri de surprise et de dépit.

Laissant volontairement ses doigts frotter contre les grandes lèvres, Karine se mit alors à me branler si fébrilement que j'éjaculai presque aussitôt. Le sperme jaillit violemment, atterrissant sur le ventre de Ghislaine, au-dessus de la ceinture de la minijupe qu'elle n'avait pas quittée.

Karine nous ordonna de ne pas bouger et se mit en devoir de nettoyer avec sa langue le fruit de ma jouissance. Elle ne cessait de nous caresser l'une et l'autre tout en s'activant.

Après s'être occupée de Ghislaine, elle prit mon sexe qui n'avait pas totalement dégonflé dans sa bouche et effaça là aussi toute trace de sperme. Gill, maintenant, je veux que tu lui nettoies la chatte avec la langue.

Tout en gardant appui sur ses jambes afin de ne pas m'étouffer, Ghislaine obéit à Karine qui lui demandait de s'asseoir sur mon visage, tandis qu'elle-même plaçait dans la raie de ses fesses ce qui me restait d'érection.

Mes mains couraient sur les cuisses de la jeune femme rousse. Je lui fis sa toilette intime, pendant qu'elles s'embrassaient toutes les deux à bouche que veux tu en se caressant mutuellement la poitrine.

Ghislaine eut un nouveau sursaut de plaisir, et je sentis avec délectation le goût de sa jouissance dans ma bouche. Elle s'avança sur ma poitrine pour me laisser un peu mieux respirer.

Je sentais le cuir de ses cuissardes sous mes aisselles et celles de Karine sur mes hanches. Sans faire de mauvais jeu de mots, pour moi, c'était le pied! Karine était hyper excitée, mais elle n'avait pas assez joui.

Elle essaya de s'enfiler mon sexe dans l'anus, mais il avait perdu un peu de sa superbe et ne réussit pas à rentrer profondément. Elle dit alors à Ghislaine : Tu vas me lécher le cul, tu vas me le chauffer à blanc, ça va l'exciter ta copine, ça va la remettre en forme! Et après ça, elle me mettra son gode à elle dedans, sous tes yeux.

Après être allé chercher un tube de gel lubrifiant, elle se mit à quatre pattes sur le grand matelas et exhiba son arrière-train. Ghislaine ne sembla pas avoir besoin de se faire prier pour s'exécuter.

Elle força Karine à écarter ses jambes au maximum, plaqua sa propre toison contre son arrière-train et se frotta longuement ainsi à elle. Ce faisant, elle prit en main le gode et le branla, faisant retrouver à Karine le plaisir qu'elle s'était accordée toute seule un quart d'heure auparavant.

Je ne perdais pour ma part pas une miette du spectacle. Aussi excitant qu'il soit, j'avais malgré tout un peu débandé. Ghislaine s'arrêta pour entamer un superbe anulingus à Karine après lui avoir dit : Sois une bonne hôtesse, ne laisse pas Gill toute seule.

Agenouille-toi devant elle, Gill, elle va s'occuper de te requinquer! Je m'approchai du visage de Karine et elle remonta presque jusqu'en haut la fermeture éclair de ma minijupe. Mon brésilien en cuir était maintenant totalement visible.

Malgré un léger manque de souplesse des cuissardes, je m'agenouillai devant elle. Sous les encouragements de Ghislaine qui lui avait maintenant introduit un doigt dans l'anus après l'avoir enduit de gel, Karine me suça et me caressa tant et si bien que je fus bientôt en état de la sodomiser.

Manifestement, Ghislaine voulait prouver à Karine qu'elle ne se laisserait jamais dominer complètement. Elle voulait lui "rendre la monnaie de sa pièce", et à son tour, ce fut sa main à elle qui planta mon sexe à l'entrée de son petit trou après l'avoir enduit de sa salive! Je saisis Karine par les hanches et m'enfonçai doucement en elle.

Elle poussa un long soupir de plaisir puis brutalement, elle s'empala toute seule en donnant un coup de reins sec, tandis que Ghislaine prenait ma place devant son visage pour se faire à nouveau lécher le clitoris.

La double pénétration qu'elle vivait ne semblait pas gêner Karine, au contraire! j'avais ramené mes mains tout en haut de ses cuisses, et sans la lâcher un instant, j'allais et venais au creux de ses reins.

Mon sexe coulissait en elle sans effort. Les encouragements de mes deux camarades de jeu me maintenaient dans un état d'excitation extrême et me permettaient une érection sans faille.

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Karine poussait des soupirs de plus en plus rauques. c'était maintenant elle qui faisait bouger son bassin à grands coups de reins pour mieux me sentir au plus profond d'elle.

Sans que je n'éjacule, elle parvint après quelques minutes à l'orgasme en poussant un grand cri de plaisir. Le sexe encore et toujours au garde à vous, je me retirai d'elle.

Karine s'allongea; je m'approchai de Ghislaine et collai mes lèvres contre les siennes. Elle me caressait les seins et murmura : Tu es l'hermaphrodite le plus extraordinaire que je connaisse.

s'il te plaît, maintenant, prends-moi comme elle. Je sais que tu peux encore. Mais. Je sais à quoi tu penses, mais je n'aurai jamais l'impression que toi, tu me "baise comme un mec en rut", tu es trop doux.

trop douce. Nous nous enlaçâmes et nous caressâmes tendrement. Petit à petit, mon majeur se concentra sur ses fesses, jusqu'à ce que je la sente bien détendue. Elle prit ma queue en bouche pour en consolider la vigueur et se retourna sur le ventre.

Karine avait repris ses esprits et étala une noix de gel sur mon gland. Le plus doucement possible, je m'enfonçai en elle, tandis que Karine recommença à se masturber avec son gode.

Je pus saisir dans mes mains la poitrine de Ghislaine et la caressai tout en allant et venant de plus vite en elle. Nous poussions elle et moi des gémissements de plaisir auxquels ceux de Karine répondaient en écho.

j'explosai finalement au moment où Karine atteignit à nouveau le nirvana. Mon corps se faisait lourd sur celui de Ghislaine qui tourna vers moi un visage souriant. Merci, Gill, merci, tu as été aussi merveilleuse que je m'y attendais.

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Nous restâmes immobiles tous les trois quelques instants. Je débandais doucement. Mais dès que Ghislaine bougea, mon sexe ramolli sortit malgré moi de son anus. Je m'allongeai alors sur le dos entre les deux filles.

Karine se leva pour aller chercher nos paquets de cigarettes, puis se rallongea entre nous deux en se serrant contre Ghislaine. Elle n'avait toujours pas quitté son gode-ceinture. Au bout de plusieurs minutes, Ghislaine rompit le silence : Dis-moi, Karine, je peux te demander quelque chose? Oui, bien sûr.

Ben, voilà, j'ai envie de te demander "Pourquoi tant de haine"? c'est vrai, quoi, depuis qu'on a commencé toutes les trois, tu sembles refuser toute démonstration de douceur. Et pourtant, je suis certaine qu'au fond, ça te plairait.

Qu'est-ce que ça peut te foutre, tu es psy? Non, mais. Ca me fait presque de la peine pour toi. Je ne te comprends pas, là. Tu sembles aimer les filles, et pourtant, j'ai eu l'impression plusieurs fois que tu voulais me.

me rabaisser, c'est ça. Me réduire au rang d'objet sexuel! Tu as honte d'être bi ou quoi? Karine tira nerveusement plusieurs bouffées de sa cigarette et finit par répondre : Tu veux que je te dise : les filles, je les baise.

Et les mecs, je les encule, je les traite comme des esclaves. n'importe quel mec, tu peux le mener par la queue, et c'est ce que je fais, au propre comme au figuré.

De toutes façons, si tu ne le fais pas, ce sont eux qui te laissent tomber pour la première pétasse qui passe. Alors voilà, je me venge. j'intervins dans la discussion : Mais si tu penses que tous les mecs sont des salauds, profite du moment présent avec les filles! Deviens exclusivement homo, et tu règles le problème.

Elles, elles ne te lâcheront pas pour la première qui passe, si? Alors, pourquoi veux-tu les baiser comme si c'était toi le mec? Qu'est-ce que tu y gagnes? Gill, Karine veut se venger à la fois des mecs et des nanas.


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  • Sans vouloir faire de psychologie de prisunic, je parierais que c'est d'une nana en particulier qui lui a piqué, comme elle dit, un mec en particulier. Je me trompe, Karine? Non, tu as raison..

  • En fait, je trouve assez drôle que ce soit toi qui me parle comme ça, Gill. Tu es quoi, toi? Une nana avec une queue, ça n'existe pas à l'état naturel, que je sache! En temps "normal", si j'ose dire, tu passes tes journées "en mec", non? Et pourtant ce soir, j'ai été la première à me laisser avoir par ton apparence, tu as bien tout fait pour te faire passer pour une nana, alors? ok, ok, là tu marques un point.

  • c'est vrai que je ne suis pas une vraie femme. Mais je veux, comment dire. Je veux vivre au maximum la part de féminité qui est en moi. Je veux faire l'amour comme si j'étais vraiment femme.

  • Je veux porter de la lingerie, je veux sentir le contact si excitant du cuir sur ma peau, je veux marcher sur des talons aiguille. Ca ne gêne personne, non? Et bien, je te dis la même chose que toi il y un instant, deviens travelo à temps complet et fais-toi défoncer le cul tous les soirs! Tu peux même te faire opérer, tu sais.

  • Non, tu ne comprends pas, je ne suis pas un travelo, un androgyne si tu veux, mais pas un trav. Je ne veux pas me faire baiser par un mec, je veux faire l'amour avec des femmes.

  • Je veux jouir en elle, je veux "être" elles. Explique-lui, Ghislaine, toi, tu m'as compris. Tu t'es très bien expliqué, Gill, Karine a peut-être juste besoin d'un peu de temps et de calme pour comprendre.

  • Tu sais, Karine, Gill m'a dit hier soir un truc et je trouve que non seulement c'est légitime, mais qu'en plus, c'est joli. En tous cas, moi, ça m'a touché.

  • Il m'a dit "On trouve normal, voire très érotique, qu'une fille pique la chemise de son mec après l'amour. Par contre, si le mec veut mettre la nuisette de sa copine, on dira tout de suite que c'est une tante, un pervers ou Dieu sait quoi".

  • Je ne dis pas que tout le monde doit faire ça, mais si le mec en a envie, après tout! Je trouve que ça peut même être une belle preuve d'amour! Moi j'aime le voir avec mes vêtements! Elle se tût un instant.

  • Je la regardais, totalement subjugué. décidément, cette fille était trop parfaite! Elle avait tout compris, elle admettait les choses tellement simplement! Elle reprit : Et puis, honnêtement, tu ne l'as pas trouvé excitant? Je dois admettre qu'en tous cas, ça a fait exploser mon scénario habituel.
c'est vrai que je ne pouvais pas traiter Gill comme j'ai l'habitude de traiter les mecs. Je pouvais pas non plus le traiter comme une quelconque pétasse, et. c'est vrai qu'il m'a fait mouiller.

c'est vrai que d'habitude, je ne jouis pas comme ça quand un mec est ici. c'est vrai que lui ne fait pas les choses comme les autres. c'est vrai que quand il t'a enculé tout à l'heure, c'était tellement doux, tellement.

Elle secoua la tête et se tût. Elle fit à nouveau rougir sa cigarette avant de l'écraser dans le cendrier. Ghislaine revint à la charge : Ben, là justement, pourquoi quand ça a été ton tour, tu t'es brutalement empalée sur lui? Il avait commencé à être aussi doux avec toi qu'il l'a été avec moi.

Je ne sais pas, c'est peut être que je ne veux pas montrer mes faiblesses, c'est peut être que je veux tout le temps garder le contrôle, je ne sais pas moi! Oh, et puis merde!.

En tous cas, ce qui est sûr, c'est que maintenant, même si tu voulais que je te prenne, en douceur ou non, je ne pourrais plus. Il y en a un qui est aux abonnés absents! j'avais parlé avec des regrets dans la voix.

Ghislaine s'en rendit compte : Ce n'est pas grave, Gill, ce n'est pas ça qui va nous empêcher de nous amuser toutes les trois, "entre filles", n'est-ce pas Karine? Oui, tu as raison, on va continuer à s'amuser.

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De toutes façons, ça ne sert à rien!. Au départ, j'avais prévu quelque chose, mais bon, vous avez raison toutes les deux, et puis ce soir, là, maintenant, j'en ai marre de jouer ce rôle de la méchante, de la dominatrice! Alors voilà, j'avoue tout.

Toi, Ghislaine, je voulais "te prendre comme une chienne", même --et surtout- si ça te faisait mal. c'était comme ça que j'y avais pensé. Et puis toi, Gill, j'avais décidé de t'enculer juste après, parce que tu m'as trompée quand on dansait, et que je voulais te rendre la monnaie de ta pièce, en quelque sorte.

Et toi aussi, je voulais que tu le sentes passer! Oui, je sais, je sais, pas la peine d'en rajouter. Bref, je voudrais vous demander,. maintenant, si je promets d'être douce comme vous deux tout à l'heure, vous voulez bien? Tu veux bien que je plante mon gode dans ton petit cul, dis, Samie? Je restai un moment interloqué.

Certes Karine me faisait maintenant presque pitié, elle avait tombé le masque et se révélait dans toute sa fragilité. Certes, quand le matin même, Ghislaine s'était plaqué contre mes fesses, la pensée de me faire prendre ainsi m'avait effleuré.

Mais malgré tout mon désir d'être femme "jusqu'au bout", j'hésitais à faire confiance à Karine, j'hésitais encore à franchir le pas. j'en étais là de mes réflexions quand j'entendis Ghislaine dire d'une voix que l'émotion rendait tremblante : Attends, Karine.

Ecoute. je veux bien que tu me pénètres, mais alors face à face, pas "comme une chienne". j'accepte, à condition qu'on s'embrasse, qu'on soit tendres. Tu vois, j'ai envie de faire l'amour, mais je n'ai pas envie de baiser n'importe comment, sans aucun sentiment.

Elle marqua un temps d'arrêt, tout en levant sa main pour ne pas être interrompue. Par contre, pour ce qui est de Gill,. enfin, c'est elle qui décide, mais.

j'aurais bien aimé être la première à lui faire ça. Gill. Qu'est-ce que tu en dis? Je. Excuse-moi, mais je préfère être honnête. j'aimerais mieux que ce soit Ghislaine..

Ecoute, si tu veux, c'est toi qui me "prépares", mais c'est Ghislaine qui me prend. Elle fut manifestement déçue, mais elle se reprit et son visage ne prit pas cet air dur que nous lui avions vu si souvent depuis le début de cette folle soirée.

Son sourire était un peu crispé, mais il n'était pas agressif. Ghislaine se tourna un peu sur le coté et sa bouche alla chercher celle de Karine. Celle-ci engagea avec douceur sa langue entre les lèvres qui lui étaient offertes : elle se laissait enfin aller à un peu de tendresse.

Je me levai et passai dans le salon prendre un verre de jus de fruits. Quand je revins dans la pièce, les deux filles s'embrassaient toujours. Je défis complètement le zip qui maintenait ce qui me servait de jupe et enlevai aussi mon brésilien blanc, ne gardant que mon soutien-gorge rembourré artificiellement, mon porte-jarretelles, mes bas et les cuissardes.

Je m'allongeai derrière Karine. Je profitais de ce qu'elle s'était tournée sur le coté pour dégrafer son soutien-gorge en cuir noir et libérer sa poitrine. Je me mis à caresser ses seins pendant qu'elle continuait à embrasser Ghislaine.

Elle poussa un soupir de contentement sans s'arrêter et frotta ses fesses contre mon bas-ventre qui resta cependant en l'occurrence non pas "de marbre", mais plutôt de "guimauve"! c'est en sentant cette caresse contre les poils de mon pubis que j'eus l'idée de faire une surprise à Ghislaine : j'attendis que les deux filles reprennent leur souffle pour demander à Karine de me céder sa place un instant.

Je m'allongeai sur le dos en serrant mes jambes, de telle sorte que mon pénis semblait avoir complètement disparu. Je demandai à Ghislaine de se coucher sur moi en retroussant sa mini-jupe de cuir afin que sa toison pubienne se retrouve en contact direct avec la mienne.

Elle s'exécuta, tout en demandant : Gill, mais qu'est-ce que? Ferme les yeux. Souviens-toi de Jo-Ann. Ghis'. c'est qui, Jo-Ann? c'est une fille qui a beaucoup compté pour Ghislaine, Karine, beaucoup compté.

Ma belle rousse comprit immédiatement ce que j'avais en tête, et elle se mit à frotter son pubis contre le mien en gémissant doucement. Petit à petit, je sentais son excitation mouiller ma peau, car elle avait réussi à écarter ses grandes lèvres par les seuls mouvements de son bassin.

De temps en temps, elle poussait de petits cris, sans doute quand son clitoris entrait trop directement en contact avec mon bas-ventre. j'avais accroché mes bras à ses épaules par-dessus son spencer de cuir rouge et l'encourageai à continuer ses mouvements.

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Oh oui! Oh oui! Viens! Oui, viens. a mon tour, je fermai les yeux. Je sentais ses cuissardes enserrer mes cuisses, ce qui maintenait mon sexe (qui retrouvait un embryon de vigueur) coincé entre mes jambes.

Je sentais tout son corps collé au mien. Je respirais dans ses cheveux et gémissais aussi fort qu'elle. Je me sentais devenir femme avec elle, j'eus l'impression que la jouissance même qui montait en moi était à 100% féminine.

Je "bandais mou", certes, mais une vague de plaisir me submergeait petit à petit, je perdais le contrôle, et pour une fois, j'acceptais de me laisser aller! j'enfonçai ma langue autant que je pus dans sa bouche lorsqu'elle se mit à m'embrasser.

Ma main droite se glissa sous son blouson pour caresser son dos, puis descendit une fois de plus vers cet aimant que constituaient ses fesses. En étirant mon bras, je réussis à atteindre l'extrémité de ses grandes lèvres : elle mouillait abondamment, et mon doigt inquisiteur lui arracha un gémissement plus sonore encore, sans toutefois que sa bouche ne se décolle de la mienne.

Je ramenai ma main, et nous léchâmes ensemble mon majeur humide de son plaisir. Karine intervint alors et insinua sa langue dans l'entrejambe de Ghislaine. Celle-ci s'immobilisa, et je fis alors bouger nos corps pour nous amener Ghislaine et moi au bout de notre plaisir! Je poussai alors un vrai cri, moi qui avais plutôt d'habitude la jouissance silencieuse.

Je n'avais pas éjaculé, ma verge était restée toute molle, mais j'avais atteint le septième ciel! Je frissonnai. Ghislaine laissa retomber sa tête sur mon épaule, anéantie elle aussi par l'intensité de notre orgasme.

Je la fis doucement basculer sur le dos, ses jambes toujours légèrement écartées, et fis signe à Karine que je lui cédai ma place. Elle s'allongea doucement sur Ghislaine qui n'avait pas encore tout à fait retrouvé son souffle.

Je la vis coller sa bouche contre la sienne, lui caresser la poitrine au passage lorsqu'elle fit lentement descendre sa main vers son ventre. Elle décolla un peu son bassin, saisit le gode qui était planté en elle, et pénétra Ghislaine tout en douceur.

Je ne ratais pas une miette de ce spectacle et je sentais avec plaisir mon sexe retrouver petit à petit une rigueur prometteuse. Ghislaine noua ses jambes autour des hanches de Karine qui allait et venait lentement en elle.

Très vite, elle recommença à grimper aux rideaux. Les mouvements désordonnés que la jeune femme imprimait à son bassin avaient pour conséquence de bloquer par moment le gode de Karine, qui, soumise à ce traitement imprévu, ne tarda pas à pousser à son tour de grands cris de plaisir.

Je me rallongeai contre elles et passai ma main sous le cou de Ghislaine pour tourner sa bouche vers moi. Les cheveux commençaient à lui coller au front, mais je ne voulais pas lui laisser le temps de récupérer, je voulais la voir jouir à nouveau, encore et encore.

Tout lui roulant un patin monumental, je réussis à faire glisser ma main jusqu'à ses reins. Une fois de plus, je promenais mon majeur dans sa raie intime. Elle reposa ses jambes sur le grand matelas et gémit "Oh non!", mais les deux petits globes de ses fesses se contractèrent malgré elle pour emprisonner mon doigt.

Elle s'arc-bouta sur ses jambes et se remit à bouger, entraînant Karine dans ses mouvements. Celle-ci se redressa, prenant appui sur ses bras et recommença à besogner la jeune femme qui, vaincue, s'abandonna complètement à nous.

Ma main droite joua avec ses seins que Karine avait découverts en se cambrant, tandis que la gauche continuait son ouvrage. Au bout de quelques minutes, Ghislaine poussa à nouveau un grand cri en atteignant son cinquième orgasme de la soirée.

Alors que ma langue titillait ses seins, elle me dit dans un souffle : Je t'en supplie, Gill, je n'en peux plus. Laissez-moi récupérer! Pitié! Tout ce qu'on veut, c'est te faire jouir, Ghislaine.

j'aime trop voir le plaisir noyer tes yeux verts, j'aime trop ton corps, et je veux le faire vibrer sans cesse. hûûûm! Tu y as réussi, je te jure! Je ne crois pas avoir pris mon pied autant de fois en si peu de temps.

Merci à toutes les deux. Tu vois, Karine, c'était bien, non? Oh oui, c'était bien! Moi aussi, je suis monté haut ce coup-ci! Elle sourit en terminant sa phrase et se retira délicatement de son vagin.

Ghislaine ferma les yeux. Karine et moi regardions sa poitrine monter et descendre tandis qu'elle essayait de ralentir sa respiration. En marchant à quatre pattes, elle contourna Ghislaine et s'approcha de moi : Allez, Gill, on se fait un petit coup de 69, ok? Elle s'allongea sur le dos et poursuivit : Allez, viens sur moi et offres-moi ton petit cul! Tu ne veux pas enlever ton gode? Non, pas tout de suite.

s'il te plaît! Suce-moi un peu! c'est Ghislaine qui réussit à me convaincre : Oh oui, Gill, fais-le. Juste un peu, Gill! Allez, fais-le. Pour me faire plaisir. Je m'agenouillai au-dessus de Karine et pris le gode en bouche.

j'y retrouvai le goût du jus d'amour de Ghislaine et fermai les yeux. Je sentais sa langue s'insinuer dans la raie de mes fesses et tourner autour de mon anus.

Ghislaine m'encourageait de la voix tout en se caressant : Vas-y Gill. Oui, comme ça. Oh!. Ca m'excite! l'excitation qui montait en moi me permit de passer outre mes préjugés et de saisir à pleine main le phallus artificiel.

j'avais oublié qui j'étais, génétiquement parlant, et je m'adonnais là à un plaisir inconnu pour moi! Au bout de quelques minutes, Ghislaine me rejoignit et nous continuâmes à trois ce 69 peu ordinaire.

Karine n'avait cependant pas perdu de vue son objectif : après avoir étalé du gel sur les pourtours de mon anus, elle avait réussi à introduire y son majeur, et elle le faisait bouger dedans pour bien me mettre en condition.

Je dois dire qu'elle y parvenait parfaitement et Ghislaine s'en rendit compte : c'est bon, Karine, je crois qu'on peut y aller maintenant! Oh, attends, juste une seconde, moi aussi, j'ai une idée : Gill, si tu veux à nouveau "devenir moi", remets les bottes bleues.

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Et tiens, mets ma mini. Pendant que je me changeais, que je retrouvais le sentiment de "devenir" Ghislaine, Karine se défit enfin du godemiché qui était planté en elle et le tendit à Ghislaine qui l'introduisit dans son propre vagin.

Guidé par Karine, je m'allongeai sur le matelas en tournant la tête vers le grand miroir. Ghislaine se coucha sur moi en plaçant ses cuisses entre les miennes. Je sentis l'une de ses mains m'écarter les fesses et la vis se reculer pour appuyer ce sexe que je sentais soudain énorme à l'entrée de mon anus.

j'avais peur d'avoir mal, peur de l'inconnu, et en même temps, j'étais maintenant sûr de vouloir la sentir au plus profond de moi. Karine m'avait par ailleurs suffisamment chauffé pour que la pression exercée par Ghislaine fasse son effet : elle venait de me pénétrer et commença à bouger doucement.

Ma respiration était courte, mais les gémissements que je poussais n'étaient dus qu'au plaisir de plus en plus intense qui m'envahissait au fur et à mesure que je me détendais.

La douleur s'estompait petit à petit et ma verge redevenait dure. Mon regard ne parvenait pas à se détacher du miroir : j'y voyais Ghislaine couchée sur moi, ses cuissardes qui me caressaient les cuisses au fil de ses mouvements.

Je m'y voyais, je regardais mes bottes ainsi que la mini-jupe un peu retroussée par son phallus artificiel qui me plongeait dans les entrailles. j'y voyais aussi Karine qui se masturbait furieusement en se pinçant les seins avec sa main libre.

Elle maintenait ses grandes lèvres écartées avec l'index et l'annulaire et son majeur s'activait sur son clitoris. Ghislaine amplifiait ses va et vient en moi en soufflant mon prénom! Je sentais son souffle sur ma nuque.

Je lui criais : Oui, continues, prends-moi. Je vais venir! Oh Gill! Je suis en toi. Je t'encule, moi. Oh mon Dieu!. Tu la sens, dis, ça te fait quoi? Je la sens bien, oui.

Ca me fait. Oh oui!. Ca me fait que je suis ta femme, continue! Elle me parlait doucement, mais je devinais qu'elle avait énormément de mal à contenir son excitation.

Son souffle à elle aussi s'accélérait notablement. La tête rejetée en arrière, Karine avait complètement enfoncé son majeur dans son vagin et agitait frénétiquement sa main droite. Le gode coulissait maintenant en moi sans la moindre difficulté, je connaissais une jouissance comme je n'en avais jamais connue auparavant.

Je gardais les yeux toujours fixés sur la grande glace, ma gorge ne laissait plus passer que des gémissements de plaisir entrecoupés deux ou trois fois de "Je suis ta femme".

Ghislaine s'arc-bouta sur les genoux pour s'enfoncer en moi jusqu'à la garde. Je poussai un vrai cri. c'est alors que, complètement prise au jeu, elle m'appela Jo-Ann et que j'atteins l'orgasme! Elle s'écroula sur moi, et continua à se tromper de prénom : Jo, ça va? Je ne t'ai pas fait mal? Non, ça va.

Et toi? hûûûm! c'était tellement bon. Oh oui, j'ai aimé! Moi aussi, finalement, je dois reconnaître que j'ai aimé! Et bien, tu es femme presque autant que nous deux maintenant! Finalement, c'est bien ce que tu voulais.

c'est Karine qui avait prononcé cette dernière phrase. Sa main reposait encore sur sa vulve et elle avait, comme Ghislaine et moi d'ailleurs, les cheveux collés au front. Oui Karine, je crois bien que c'est ce que je voulais! La main de Ghislaine dégagea doucement les cheveux de mon cou.

Elle m'embrassa très tendrement en commençant à se retirer lentement de moi. Je bloquai ma respiration pendant toute l'opération. Quand elle se fut totalement dégagée, je me retournai sur le dos.

Je lui tendis mes lèvres, m'accrochai à ses épaules et entourai mes cuisses autour de ses hanches. Je saisis sa queue pour la faire passer sous mes fesses et lui dévorai la bouche.

Puis je restai un instant immobile, profitant au maximum de ce moment particulier. Karine s'allongea à ma droite en se collant à moi autant qu'elle le pouvait. Je gardai les yeux fermés et sentis sa bouche chercher la mienne.

Sa main gantée caressait ma jambe tout autant que le cuir de mes bottes et de la mini-jupe rouge. Petit à petit, elle concentra ses caresses sur l'arrière de ma cuisse, essayant d'approcher au plus près mon anus.

Je devinai assez vite ce qu'elle avait en tête. Au bout de quelques minutes, "devinant que j'avais deviné", elle me souffla à l'oreille : Gill, je t'en supplie, dis-moi oui.

Oui, Gill, je suis sûre qu'elle fera doucement et que ça te plaira. Vas-y. Laisses-toi faire. Ghislaine se défit doucement de notre étreinte. Karine en profita pour embrasser ma fausse poitrine et promener sa langue sur mon ventre.

Nous regardâmes tous deux Ghislaine s'allonger sur le dos, écarter ses cuisses fuselées et retirer de son vagin (en profitant de l'occasion pour se redonner un peu de plaisir) le sexe en latex.

Elle me le tendit et me proposa de l'enfiler moi-même à Karine qui se laissa faire. Laissant Ghislaine mener les opérations, je me laissais guider. Elle me fit me tenir debout, jambes écartées et bras en appui sur la barre qui courait le long d'un des murs.

Elle se colla contre mon dos, me caressa tout le devant du corps, partant du cou, s'attardant longuement sur le soutien-gorge, pour finalement descendre jusqu'à mon sexe qui avait retrouvé à présent toutes ses facultés.

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