Fétichisme transvestites jouer avec travesti #1

Fétichisme transvestites jouer avec travesti #1 | Il y a de cela quelques années, j'ai "profité" d'une période de chômage pour reprendre mes études, et obtenir un diplôme plus élevé dans ma branche professionnelle.

Bien qu'étant indemnisé par les Assedics, j'étais loin de rouler sur l'or, aussi acceptai-je sans hésiter la proposition que me fit une étudiante de ma promo avec qui j'avais sympathisé : Dis-moi, Gill, je sais que généralement, ce sont surtout les filles qui font ça, mais accepterais-tu de me remplacer pour une séance de baby-sitting? Elle m'expliqua qu'elle avait pris cet engagement avec une nouvelle "cliente" quelques jours auparavant, mais qu'elle venait d'apprendre la veille au soir que, exceptionnellement, son petit ami serait en ville ce jour là.

Ne voulant pas la priver de la joie de ces retrouvailles (elle ne voyait son boy-friend qu'un week-end sur deux), je lui dis que j'étais d'accord, à condition bien sûr que sa "cliente" le soit aussi.

Contactée par téléphone, celle-ci nous demanda si nous accepterions de la rencontrer dans un café afin de discuter directement de cela. c'était une femme d'un mètre soixante dix-neuf environ, mince, d'une trentaine d'années comme moi; elle portait un long manteau de cuir gris en agneau voilé, un pull angora et un pantalon en velours "peau de pêche" de couleur noire qui tombait sur des boots en cuir beige à hauts talons.

Elle me posa quelques questions et je compris vite qu'elle voulait en fait surtout se rendre compte de visu à quel type de garçon elle avait affaire avant d'éventuellement lui confier son fils pour une soirée.

Il faut préciser que, dans la mesure où j'avais quitté le monde du travail pour reprendre ces études, j'avais de plus que les autres étudiants qui eux poursuivaient un cursus "normal".

c'est peut-être cela qui rassura quelque part Ghislaine (c'était le nom de la "cliente"). Elle accepta finalement que je garde son fils de 4 ans le mercredi soir suivant et rendez-vous fut pris pour 19 heures.

a l'heure précise, je sonnai à sa porte. Elle habitait un immeuble cossu du centre ville. Au café, je l'avais déjà trouvé très belle, mais lorsqu'elle m'ouvrit, je ne pus m'empêcher de marquer un temps d'arrêt.

Elle portait un chemisier vert émeraude et une jupe en cuir gris souris, serrée de la taille aux genoux et s'évasant ensuite en forme de corolle pour descendre à hauteur des chevilles; sa longue crinière rousse flamboyait en s'étalant sur la soie : elle était superbement désirable! Ses yeux verts pétillaient de malice lorsqu'elle me demanda "Et bien, que vous arrive t'il? Vous rentrez?".

Je lui répondis "Oui, oui, bien sûr. Excusez-moi, mais je. je suis soufflé par votre élégance". Elle éclata de rire "La flatterie ne sert à rien, mon cher, ce n'est pas ça qui fait que je vous paierai plus cher! Allons, allons, assez plaisanté, je vais vous présenter Florian".

Nous fîmes donc tous trois connaissance, puis elle me laissa ses instructions et conclut : "Florian doit aller se coucher à 20 heures, et surtout rappelez-vous que c'est un sacré comédien, ne vous laissez pas embobiner! Je pense rentrer entre onze heures et minuit, comme je vous l'ai dit l'autre jour, c'est d'accord? Allez, je vous laisse, je vais être en retard. En dernier ressort, tenez, voici le numéro de mon portable".

Elle se dirigea vers un des placards de la lingerie qui jouxtait sa chambre à coucher et acheva de s'habiller pour sortir. Elle saisit une paire de bottes cavalières noires montant haut sur le mollet; la particularité (et le charme) de ces bottes venait de la petite chaînette en métal doré qui soulignait les talons aiguilles.

Je masquai tant bien que mal l'émoi qui me coupait la respiration, mais ne perdis pas une miette du spectacle lorsqu'elle fit glisser son mollet dans le fourreau de cuir.

Tout en pariant en moi-même qu'une femme comme elle portait des bas et non des collants, je me promis de venir visiter cette penderie une fois que Florian dormirait.

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a ce point du récit, il convient de préciser ceci : en ce qui me concerne, Gill est le diminutif de Samuel et malheureusement pas celui de Corinne! Mais d'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours aimé passer des vêtements féminins.

Chaussant du 39/40 et taillant 38 pour les habits, je n'ai en général pas trop de difficultés à assouvir cette particularité. Cette promesse que je venais de me faire devint une certitude lorsqu'elle acheva de s'habiller en mettant son maxi manteau en cuir gris! Pendant la demi-heure qui suivit le départ de sa mère, j'autorisai Florian à regarder une vidéo-casette de dessins animés.

Je n'eus finalement pas trop de mal à l'envoyer au lit, et peu après 20H15, je pus constater avec plaisir qu'il s'était endormi profondément. Je me dirigeai rapidement vers la lingerie et ouvris la porte d'une des trois penderies qui meublaient la pièce.

Je vis un manteau en fourrure blanche descendant aux chevilles et l'enfilai aussitôt. Elle contenait également deux vestes noires, l'une en fourrure et l'autre en cuir, ainsi qu'un blouson très court en cuir rouge et un blouson de type "aviateur" marron.

Mes yeux et mes mains s'attardaient sur ces vêtements, je voulais les porter tous! Je me baissai pour chercher les boots que je lui avais vus au café, car j'étais bien décidé à les essayer.

Je m'étais dit que, vu sa taille, elle devait chausser au moins du 39. Je ne m'étais pas trompé. Regardant sous la semelle, je vis le chiffre '7'. La chance me souriait! En hâte, j'ôtais mes chaussures et mes chaussettes et les enfilai.

Ils m'allaient bien et les neuf centimètres de talon ne me gênaient pas pour marcher, comme je pus le constater en me dirigeant vers la chambre de Florian située à l'autre extrémité du couloir.

Je tremblais d'excitation en entrebâillant sa porte, à l'idée qu'il pourrait s'être réveillé et qu'il me voit vêtu du manteau de sa mère et de ses boots! Mais l'attrait du "danger" s'avérait plus fort que tout : pas de problème, le garçon était bel et bien parti pour faire sa nuit.

La soirée m'appartenait donc et je sus à cet instant que les cours que j'avais amené afin de réviser ne sortiraient pas (ou tout au moins pas avant 23 heures dans le meilleur des cas) de la pochette plastique dans laquelle eux aussi dormaient profondément! Je revins sur mes pas et un examen du contenu de l'armoire me révéla la présence de quatre paires d'escarpins et de deux autres paires de boots (rouges et noirs).

a part les boots noirs dont les talons ne mesuraient "que" quatre ou cinq centimètres, toutes ces chaussures possédaient des talons de sept ou huit centimètres en moyenne. Manifestement, cela ne gênait pas Ghislaine de culminer entre un mètre quatre vingt et un mètre quatre vingt cinq! Je me mis quelques minutes à découvrir plusieurs paires de bottes soigneusement rangées à plat dans leurs boites en carton.

La première était vide, car c'est d'elle que provenaient celles que Ghislaine avait aux pieds. Dans la deuxième, je vis des bottes gris clair en croûte de cuir, zippées sur toute la hauteur de la tige.

La doublure en peau beige attirait l'œil et paraissait être un modèle de douceur. Les deux boites suivantes contenaient des bottes respectivement blanches et bordeaux à talons très fins et tout aussi hauts que les autres.

Lorsque j'ouvris le dernier carton, j'eus la respiration coupée : la lumière des spots encastrés accrocha un reflet sur les talons carrés en métal argenté de bottes bleues nuit, très fines, à la tige très haute.

Elles me semblaient sorties tout droit d'un défilé de haute couture! Je les saisis aussitôt. j'étais dans un état second et commençais à déconnecter de la réalité. Je me dis que je n'avais pas le droit de cacher de telles merveilles sous mon pantalon et décidait d'aller trouver une jupe dans l'autre armoire.

j'avais quelque part la sensation de violer l'intimité de cette femme inconnue 48 heures plus tôt, mais n'en éprouvais même pas de honte, emporté par mon désir. Ce que j'avais déjà vu de sa garde-robe me laissait à penser qu'elle et moi avions les mêmes goûts, et qui sait, peut-être les mêmes fantasmes : elle aimait manifestement les talons hauts, les bottes, le cuir et la fourrure! j'étais prêt à parier que je pourrais trouver au moins un pantalon ou une jupe en cuir à mettre sur moi.

Je ne fus pas déçu : je trouvai --en plus des vêtements plus "classiques"- deux pantalons en cuir, l'un noir de coupe "jean taille basse", l'autre couleur sable dont la particularité était d'avoir une fermeture éclair sur le coté et non sur le devant, assurant ainsi manifestement une coupe très près du corps.

Je dénichai aussi trois jupes dont je testai la longueur en les plaquant sur ma taille : la première que je saisis était blanche et descendait un peu au-dessus des chevilles; la deuxième tombait juste au-dessus du genou, elle était de couleur vert émeraude et la coupe paraissait très belle bien que très simple; enfin la troisième.

que dire d'autre sinon qu'elle "chauffait énormément"! Elle était rouge vif et vraiment très courte. Elle constituait un ensemble avec le blouson spencer tout aussi mini. et tout aussi "chaud"! Bien que n'ayant que partiellement entrevu les jambes de Ghislaine lorsqu'elle avait enfilé ses bottes une heure auparavant, j'imaginais sans peine l'effet qu'elle devait faire habillée ainsi! Mon sexe, qui avait déjà fortement augmenté de volume quand j'avais troqué mes tennis pour les boots beiges, tendait maintenant sans équivoque la toile de mon jean bleu délavé.

Tous ces habits avaient un point commun : le cuir était d'excellente facture, très souple, presque élastique; sa garde-robe devait valoir une petite fortune! On voyait là la marque d'une personne connaissant et aimant cette matière.

Manifestement, Ghislaine choisissait soigneusement la qualité et la couleur de ses tenues. Je détachai la mini-jupe et le spencer des cintres sur lesquels ils étaient suspendus, sortis les bottes blanches de leur emballage et passai dans la chambre de Ghislaine attenante à la lingerie.

Je posai délicatement le tout sur son lit et me déshabillai à la vitesse de l'éclair, n'aspirant qu'à sentir au plus vite le contact sensuel sur ma peau! La jupe était tellement "mini" qu'elle descendait à peine sous mes fesses! Bon coté des choses, cela me permettait de sortir mon sexe pour me caresser sans avoir à la retrousser! Je m'assis sur le lit pour enfiler les bottes en tremblant d'émotion.

Premier soulagement, je pouvais rentrer mon mollet, un peu juste, certes, mais sans risque néanmoins de les abîmer. Sachant que mon pied gauche est un peu plus fort que le droit, je craignis un instant le pire, mais la chance était décidément avec moi, car là encore, mes craintes s'avérèrent vaines et je pus me relever botté.

Retournant dans la lingerie, je pus me voir dans une des portes miroir : de toute évidence, cette tenue ne faisait pas autant d'effet (ou tout du moins pas le même) sur moi et sur sa propriétaire légitime, mais mes yeux montaient des bottes à la ceinture de la jupe avec ravissement.

Je sortis mon sexe, à présent tendu au maximum, et commençai à me masturber doucement, puis le rentrai sous la courte jupe. Je pénétrai à nouveau dans la chambre et me dirigeai au fond vers la salle de bain.

Il ne me fallut pas longtemps pour découvrir ce que je cherchais, à savoir la panière à linge. Elle était presque vide, mais je trouvai dedans des sous-vêtements qui n'appartenaient manifestement pas à Florian! En équilibre sur le fin talon aiguille, je passai la première jambe dans la petite culotte noire, changeai (sans trébucher! ) de pied d'appui pour passer la deuxième et plaquer le tissu satiné sur mon intimité.

j'ôtai le blouson et agrafai ensuite dans mon dos le soutien-gorge assorti et le rembourrai avant de remettre le manteau de fourrure par-dessus le spencer rouge. La sensualité et la douceur de la caresse de la doublure du maxi sur mes cuisses découvertes par la jupe hyper courte me faisaient frissonner de plaisir et je décidai de retourner me voir dans la glace.

Le contact de ces matières si érogènes pour moi sur ma peau provoquait une excitation si forte que je dus interrompre mon "auto-contemplation" pour aller me soulager dans les toilettes.

j'expulsai cinq longs jets de sperme dans la cuvette. Après avoir remis mon sexe légèrement déturgescent dans son logement de satin, je décidai de visiter en détail le grand appartement : une belle entrée desservait à droite un wc--salle d'eau, puis la cuisine (spacieuse) avec une petite terrasse; à gauche, on trouvait un salon avec une cheminée d'angle; cette pièce était éclairée naturellement par une large baie vitrée qui donnait sur une deuxième terrasse couverte.

Une porte séparait l'espace "jour" de l'espace "nuit". Un couloir permettait d'accéder à gauche à la chambre de Florian et à un deuxième wc; sur la droite s'ouvrait la fameuse lingerie, jouxtant la chambre à coucher et une salle de bains qui avait deux entrées, l'une au bout du couloir et l'autre directement dans la chambre de la merveilleuse Ghislaine.

Tout l'espace "nuit" étant recouvert de moquette, je savais que ce n'était pas le cliquetis de mes talons hauts qui pourrait réveiller Florian. Ces quelques minutes m'avaient permis de me calmer un peu et de retrouver mes esprits.

Revenu dans la chambre de Ghislaine, je m'allongeai un instant sur son lit en l'imaginant. Que faisait-elle à cet instant? Elle m'avait dit être invitée à une soirée dans le cadre de son travail.

j'imaginai tous ses collègues masculins lui faire du gringue et baver à qui mieux mieux en la regardant. Je recommençai à me caresser. Il me restait encore un placard à explorer : celui qui contenait les tiroirs renfermant ses sous-vêtements.

Je n'eus pas beaucoup à chercher pour trouver un ensemble slip/porte-jarretelles/soutien-gorge et des bas. Je découvris également trois paires de gants en cuir très fins, montant plus ou moins haut sur les avant-bras.

Je me déshabillai à nouveau pour me changer, puis retournai à la penderie pour essayer la longue jupe blanche et les bottes bordeaux. Une fois rhabillé et botté, je ressentis en marchant le plaisir trouble du frottement des bas contre la doublure de la jupe lorsque je remis sur son cintre l'ensemble rouge.

Je marchai de long en large devant la glace, faisant voler et s'enrouler autour de moi le bas de la jupe, puis je m'allongeai sur le lit. Je caressais ma fausse poitrine, mes jambes gainées de cuir, puis je retroussai la jupe en me tortillant et promenais mon doigt ganté sur le fond du petit slip.

Mes mains allaient et venaient, non pas sur ma peau, mais sur cette matière qui me fascinait tant : le cuir. Je passai ainsi peut-être une demi-heure, caressant mon sexe tendu sous la jupe, puis n'y tenant plus, je me masturbai fébrilement jusqu'à éjaculer dans des kleenex que j'étais allé chercher quelques minutes auparavant.

Je restai quelques temps allongé en continuant à promener mes mains sur moi avant de me relever, puis je décidai d'essayer la troisième jupe. Elle était très confortable, et finalement, elle aussi "en jetait un maximum" grâce à la qualité de la coupe.

Je chaussai les bottes grises. Je déambulai d'une pièce à l'autre pour profiter de mon plaisir. Je pus constater que je ne rencontrais aucun problème pour porter n'importe lequel de ses habits.

Le hasard fait parfois bien les choses. j'essayai dans la soirée ses deux pantalons de cuir, toutes les autres paires de boots et de bottes, ainsi que les deux vestes ¾! Le temps passa ainsi doucement : Florian dormait à poings fermés, et moi je déambulai, travesti avec les vêtements de cette femme que je ne connaissais même pas.

Par mesure de prudence (je n'osais imaginer la réaction de Ghislaine si elle m'avait surpris ainsi), je décidai un peu avant 23 heures de remettre mon jean et mes tennis.

a contrecœur, la tête encore dans les nuages, je m'assis dans le canapé du salon et sortis mes cours. Ghislaine rentra à 23H30. Elle était toujours aussi belle, et en la regardant, je pensai "Cette femme est un vrai canon. Le pied, c'est qu'elle a les mêmes mensurations que moi, je peux porter ses vêtements, mettre ses chaussures; elle n'en sait rien bien sûr, mais je le peux, et en plus, je l'ai fait, waow!".

Comment s'est passée la soirée, Florian a été sage, il n'a pas fait trop de comédie? Absolument pas, il a à peine rechigné à aller au lit, non, non, il ne m'a posé aucun problème.

Il dort comme une souche depuis plus de trois heures. Bien, tant mieux. Donc vous ne garderez pas un trop mauvais souvenir de cette expérience. Si je ressortais un autre soir, vous accepteriez de revenir? Elle marqua un court instant de silence, puis ajouta avant que je n'aie le temps de répondre : Vous voulez prendre un dernier café, je n'ai pas envie de me coucher tout de suite?.

Remarquez, vous devez être crevé, vous. Excusez-moi. Non, non, je vous en prie, ça va. j'accepte votre café avec plaisir. Et oui, bien sûr que j'accepterais de revenir. Si ça vous peut rendre service.

Elle avait posé le long manteau gris sur un portant à coté du canapé. Pendant qu'elle se rendait dans la cuisine pour préparer le café, je ne pus résister à la tentation de l'enfiler, juste pour quelques secondes.

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Je frottais mon visage contre le col, autant pour en sentir la douceur que pour renifler le parfum de la jeune femme mêlé à la senteur du cuir. Elle revint bientôt et s'assit à coté de moi.

Je répondis à ses questions sur mon parcours professionnel et ma reprise d'études. Ah, vous êtes dans l'informatique! Ben, justement, depuis dix-neuf jours, j'ai des problèmes avec mon micro, vous pourriez m'aider?.

Pas ce soir, bien sûr, mais un autre jour? Vous pourriez? Evidemment, je vous dédommagerais! Je lui répondis que je ne lui garantissais pas de réussir, mais que cela ne me dérangeait pas d'essayer.

Par contre, pas question que vous me payiez pour ça. Je me contenterai d'un sourire! Ecoutez, demain soir, je ne peux pas, mais si vous voulez, vendredi, je termine les cours à la fac à 17H30.

Moi, je termine à 17 heures le vendredi. Bien, alors disons vers 18 heures chez vous, ça va? Ca va pour l'heure, mais ça me gêne pour l'argent. Pas moi.

Elle me régla "les frais de garde" en y incluant même la demi-heure passée à boire le café et je rentrai chez moi, repensant à cette soirée extraordinaire au sens étymologique du mot! j'étais ravi à l'idée de retourner chez elle, en fait, j'aurais fait n'importe quoi pour la revoir.

Seul dans mon lit, j'essayai de trouver quel prétexte me permettrait de mettre à nouveau ses vêtements. Le vendredi, je me présentai à l'heure dite avec deux disquettes dans une main et un bouquet dans l'autre.

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Sa surprise provoqua une réaction aussi spontanée qu'inattendue : elle me fit la bise en disant "c'est trop gentil, merci beaucoup, mais vous n'auriez pas dû!". Je n'osai pas lui répondre que le contact de sa joue sur la mienne valait largement quelques fleurs! Elle s'effaça pour me laisser entrer et me demanda si je préférais boire un café ou un apéritif.

"Comme vous" lui répondis-je en pénétrant dans le salon. Pendant que j'allumai l'ordinateur, elle revint avec deux verres et des amuse-gueule posés sur un plateau. Elle portait les boots noirs, ceux qui avaient le moins de talons.

Elle était vêtue de son jean en cuir et d'un pull rose très court qui laissait voir son nombril. Le pantalon la moulait, soulignant ses hanches et mettant en valeur ce qu'il est convenu d'appeler "un cul de reine"! Elle vint s'asseoir à mes cotés devant le micro.

Pendant qu'elle exécutait devant moi la manipulation qui provoquait le plantage, je réussis à effleurer un court instant son genou. j'avais un mal de chien à me concentrer pour analyser le problème, j'avais envie de la prendre dans mes bras, de caresser tout son corps.

Heureusement pour moi, il s'agissait d'un problème à la fois mineur et connu, et je pus le corriger rapidement à l'aide d'une des disquettes. c'est sûr que globalement, il marchait quand même, mais ça plante toujours au mauvais moment ces engins là! Vraiment, je ne sais pas comment vous remercier! Ecoutez, il y aurait bien quelque chose, mais je ne sais pas si je peux.

Je vous en prie, dites. Et bien, voilà, vous me refaites la bise et on est quitte! d'accord? d'accord. Elle sourit et se pencha vers moi. Elle ne me fit pas une bise "à la sauvette", non, elle posa délicatement ses lèvres sur mes joues à quatre reprises.

Tout en sirotant nos verres, nous parlâmes de choses et d'autres. Elle m'expliqua qu'elle était divorcée depuis un an, qu'elle travaillait dans une maison d'édition, mais qu'elle avait parfois du mal à concilier ses exigences professionnelles avec son "job de maman".

c'est à ce moment que le téléphone se mit à sonner. Elle décrocha le combiné et son visage s'éclaira lorsqu'elle reconnut son interlocuteur. Puis je la vis se renfrogner en répondant : Ce soir? Merde! Non, je suis désolée, ce n'est pas possible.


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  • Tu sais, avec mon fils, je ne peux pas me libérer comme ça. Mais non, c'est pas de la mauvaise volonté, mais comment veux-tu que je trouve une baby-sitter comme ça, au pied levé.

  • Et en plus, dans une heure! Et bien, tu l'annules la réservation, qu'est-ce que tu veux que je te dise.. Attends. Ne quittes pas, une seconde, s'il te plait.

  • Ce changement de ton soudain était dû au fait que depuis sa dernière réplique, je lui faisais de grands signes. Elle mit la main devant le micro du combiné et je lui dis : Je ne voudrais pas que vous puissiez croire que je me mêle de ce qui ne me regarde pas, mais si ça peut vous rendre service, je peux garder Florian.

  • Je vous jure que je n'avais rien prévu de spécial ce soir. Non, je ne peux pas vous demander ça, c'est pas possible. Pas, comme ça, "à l'arrache"! Je vous promets que ça ne me dérange absolument pas.

  • Si vous voulez sortir, allez-y. Elle reprit le combiné et dit Je peux te rappeler dans cinq minutes? ok, donne-moi ton numéro. Cinq minutes. Merci. a tout de suite.

  • Elle raccrocha et se tourna vers moi : Vous êtes sérieux? Ecoutez, vous venez de me dire que vous sortiez trop rarement à votre goût parce que ce n'est pas toujours facile de faire garder son enfant.

  • On s'est plutôt bien entendu lui et moi l'autre soir, je vous trouve très sympa, et je vous répète que moi, je n'avais rien de prévu. Mais cette soirée risque de se terminer tard, peut-être deux heures ou trois heures du matin! Et puis je n'ai même pas de quoi vous faire à manger, j'avais prévu de commander une pizza pour Florian et moi ce soir! Et bien, vous commandez la pizza pour Florian et Gill, c'est tout.

  • Je ne vois pas quel est le problème! Bon, j'accepte, mais à une seule condition : je vous offre la pizza et je considère que votre séance de baby-sitting a commencé à 18 heures.

  • c'est à prendre ou à laisser! d'accord, je prends. Elle avait fini par se rendre à mes arguments. j'avais fait le maximum pour la convaincre, et j'avais réussi! Mieux, elle m'avait fourni elle-même le prétexte que je cherchais pour me retrouver à nouveau seul chez elle! Elle rappela son mystérieux correspondant et lui fixa rendez-vous au restaurant pour une heure plus tard.

  • Elle appela ensuite pour se faire livrer une pizza, puis me dit : Je ne sais même pas quoi me mettre. Ah! Je déteste me préparer en quatrième vitesse comme ça.
Merde! Euh, pardon. zut! Je n'aurai pas du accepter. Si je peux me permettre, vous êtes parfaite comme ça; le cuir et la fourrure, pour moi, c'est le top de l'élégance pour une femme.

Pour ça, je suis d'accord avec vous. Personnellement ce sont des matières que j'adore. Mais je veux porter une jupe. Alors, voyons voir ce que nous avons, vous me direz ce que vous en pensez, ok? Sur son invitation, je la suivis dans la lingerie.

Elle ouvrit la porte de la penderie et me demanda mon avis en sortant la jupe longue en cuir blanc et un chemisier en soie noire. "Stop! Ne cherchez pas plus, je pense que vous serez absolument superbe, je ne sais pas quoi dire d'autre. Et ce n'est pas de la flatterie" ajoutai-je en lui faisant un clin d'œil malicieux.

Allez, c'est vendu. Je vous laisse vous occuper de Florian, je prends une douche et je file. Elle nous retrouva vingt minutes plus tard attablés devant la pizza. La jupe semblait vouloir s'enrouler autour d'elle chaque fois qu'elle se tournait pour se montrer sous tous les angles! Elle constituait un ensemble avec un spencer en cuir blanc qui faisait plus encore ressortir les courbes de ses hanches et de son fessier.

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Elle avait aux pieds ses bottes bleues. Cette femme était vraiment définitivement canon! Je jalousai un instant l'inconnu qui aurait le plaisir de passer cette soirée avec elle, mais me consolai en pensant qu'à défaut de la tenir dans mes bras, moi, je passerai quelques heures dans ses vêtements! "Vous êtes superbe" lui dis-je en insistant sur le présent du verbe être.

j'ajoutai en souriant : Et ce n'est toujours pas de la flatterie, mais juste une constatation. Merci, c'est gentil. Tenez, je vous redonne le numéro du portable, on ne sait jamais.

Elle enfila le maxi manteau de fourrure qu'elle avait déposé dans le salon et, la main sur la poignée de la porte, elle ajouta : Je pense rentrer vers deux heures, deux heures et demi, ça ira? Je vous le promets.

Tout ira bien, ne vous occupez pas de l'heure et profitez de votre soirée. Comme la veille, j'attendis l'heure où Florian serait couché et endormi pour assouvir mes fantasmes.

Dans la salle de bains, je me mis complètement nu, puis enfilai la nuisette qui était accrochée derrière la porte. Elle était rigolote autant que sexy : noire et presque transparente, avec un ourlet en fausse fourrure blanche en bas et un petit pompon assorti sur la pointe de chaque sein; une petite culotte avec une boule de la même fourrure cousue au niveau du pubis complétait l'ensemble.

Je me mis en quête de savoir à mon tour "ce que j'allais me mettre sur le dos"! Je savais que je disposais de plusieurs heures et je voulais "devenir Ghislaine" pour cette tranche de la nuit.

Levant tour à tour chaque bras, je pulvérisai son déodorant sous mes aisselles. Comme j'ai l'habitude de porter des verres de contact, et donc de toucher mes pupilles, je n'eus aucune difficulté à cerner mes yeux au khôl et à allonger mes cils avec du mascara.

Je terminai cette séance de maquillage par du fard à paupières et du rouge à lèvres, en faisant bien attention à ne pas déborder autour de ma bouche. Etape suivante, les sous-vêtements : avant d'aller fouiller dans sa commode, je décidai d'examiner le contenu de la panière à linge.

j'y trouvai trois jeux de sous-vêtements, dont un ensemble trois pièces et des bas qui n'y étaient pas la fois précédente. Avec un esprit de déduction que Sherlock Holmes n'aurait pas renié, j'en déduisis que j'avais sous la main la lingerie qu'elle portait lors de sa dernière sortie.

Je humais avec délectation ses culottes tout en me caressant sous la chemise de nuit. Après quelques minutes où je profitai langoureusement du plaisir qui montait en moi, j'ôtai celle-ci pour attacher le porte-jarretelles avant d'enfiler (par-dessus les attaches, comme il se doit) le petit string dont ma verge tendue dépassait outrageusement.

j'enfilai ensuite les bas, les agrafai en haut de mes cuisses et rembourrai le soutien-gorge avec deux petites culottes. j'avais envie de remettre l'ensemble mini-jupe et spencer en cuir rouge que j'avais tant apprécié deux jours plus tôt.

Je complétais ma tenue en enfilant les bottes blanches. Je retournai contempler mon image dans le grand miroir. Je tendis mes jambes, cambrai le dos et sortis de sous la jupe ma verge tendue : je bandais "comme un taureau".

Je voulais malgré tout maîtriser mon excitation, faire durer la vague de plaisir qui m'envahissait. Je me masturbai lentement, et je finis par éjaculer dans les mouchoirs en papier.

Je m'essuyai soigneusement afin de ne pas tacher la doublure, car même en débandant un peu, mon sexe avait beaucoup de mal à tenir tout entier sous le petit triangle du string! La jupe était vraiment très courte : le seul fait de me pencher en avant dévoilait presque mes fesses! Je prenais aussi plaisir à me baisser, genoux serrés.

Je passais ainsi une heure à bouger "comme une femme". Revenu devant la penderie, je choisis de mettre les bottes noires à talons aiguilles qu'elle avait porté l'avant-veille. En fait, j'eus envie de finir la soirée vêtu des habits qu'elle portait le "premier soir".

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Avant de décrocher la jupe en cuir grise qui me faisait de l'œil sur son cintre, je me retournai un instant vers le miroir. Ce n'était pas par esprit de narcissisme, c'était plutôt pour constater de visu la féminité que j'étais capable de dégager.

Les bas noirs brillaient et faisaient ressortir le rouge vif de la mini-jupe. Je la remplaçai par la jupe longue en cuir gris et mis sur mon bras le maxi en cuir dans les poches duquel je trouvai une paire de gants noirs en chevreau.

Je revins fouiller dans la panière à linge et en sortis le chemisier de soie. Machinalement, je reniflai sous les manches pour y retrouver son odeur. En me regardant à nouveau, j'avais l'impression que je devenais vraiment Ghislaine, du moins tant que je ne regardais pas mon visage! Je retournai dans le salon, profitant à chaque seconde de l'émoi que provoquaient en moi la marche sur les hauts talons, la douceur du frottement de la jupe sur les bas et l'odeur de son parfum accrochée aux vêtements.

Les talons aiguille associés à la jupe serrée jusqu'aux genoux m'obligeaient à faire de petits pas. c'était là aussi une sensation à laquelle je n'étais pas habitué, mais qui contribuait à maintenir au plus haut mon degré d'excitation.

Je me forçai malgré tout à faire durer le plaisir et je résistai à la tentation de me branler à nouveau. Ne négligeant pas (malgré tout) la raison première de ma présence, je jetai un œil par la porte de la chambre de l'enfant pour m'assurer que tout allait bien.

Je ramassai mes propres habits que j'avais jeté en vrac dans la salle de bain et les posai sur la patère derrière la porte. Je décidai ensuite de regarder un peu la télé pour passer le temps, sans cesser malgré tout de profiter des sensations inimitables que je tirais de mon travestissement.

Je passai ainsi une nouvelle heure, puis ne trouvant pas d'émission à ma convenance, j'éteignis le poste. Un peu avant 22 heures 30, je pénétrai une nouvelle fois dans "l'espace nuit".

En passant devant la chambre de Florian, j'entendis un gémissement. Je poussai la porte et compris qu'il devait faire un mauvais rêve. Au moment où je me penchai sur le lit, il entrouvrit un œil et murmura dans un demi-sommeil "Maman".

Je lui répondis "Je suis là. Ce n'est rien, mon chéri, c'est un mauvais rêve, ça va passer". Ces paroles étaient sorties de ma bouche sans préméditation aucune, mais il faut croire que je m'étais vraiment tout à fait pris à mon propre jeu! Je déposai un baiser sur son front.

Etait-ce à cause de l'odeur du parfum dont j'étais imprégné, je ne sais, toujours est-il que sa respiration se calma et qu'il se rendormit presque aussitôt. Je sortis sans bruit de la chambre.

c'est au moment précis où je faisais demi-tour après avoir fermé la porte de la chambre que l'imprévisible se produisit : je me trouvai nez à nez avec Ghislaine que je n'avais pas entendu arriver dans mon dos! Je vis la stupéfaction sur son visage se transformer en fureur à peine contenue.

Non, mais, je rêve! décidément, c'est la soirée. Enlevez-moi ça tout de suite. Immédiatement! Ecoutez, je peux tout vous expliquer. Je pourrais essayer d'inventer n'importe quoi, mais je préfère vous dire la vérité : c'est pour pouvoir ressentir ce qu'une femme telle que vous peut vivre en étant vêtue ainsi que je me suis permis d'enfiler vos vêtements.

Comment ça, "ressentir"? Non mais vous êtes malade! Mais, je vous jure, c'est la vérité. Je voulais savoir quel effet ça fait de porter une jupe en cuir et des talons, et en essayant les vôtres, je voulais me mettre à votre place un instant.

Vous mettre à ma place? Non, mais c'est pas possible!. Enlevez-moi cette jupe et ces bottes. Tout de suite! Vous mettre à ma place?. Non mais je rêve! Je ne sais pas quoi vous dire de plus.

Je. Je suis désolé. désolé? Pas tant que moi! Et dire que je vous faisais confiance, je vous trouvais même plutôt sympa, moi aussi. Je vous jure que si vous les avez abîmées, vous allez casquer.

Vous faites quoi comme taille de vêtements et comme pointure? Je chausse du 39 et je prends du 38 en pantalon. n'ayez aucune crainte, j'ai fait très attention. Pendant cet échange, nous avions pénétré dans la lingerie.

Je déposai les gants sur une étagère, puis me retournai pour déboutonner le chemisier de satin et enlever le soutien-gorge. c'est lorsque je fis glisser la jupe que je l'entendis : Oh non, c'est pas vrai! Elle venait de découvrir sur moi les sous-vêtements qu'elle avait déjà portés.

Je me retournai vers elle en cachant tant bien que mal ce qui restait de mon érection dans le string. Ses yeux verts lançaient des éclairs. c'est pas vrai, non, vraiment.

Je cauchemarde! Allez, à poil, merde! Elle suspendit rageusement la jupe grise sur son cintre pendant que j'enlevais les bottes. Je commençai à traverser sa chambre pour replacer la lingerie fine dans la panière à linge, mais elle m'arrêta de la voix.

Mais j'ai laissé mes vêtements à moi dans la salle de bain. Je m'en fous complètement! Restez là! Ne bougez plus! Elle me prit les sous-vêtements des mains et les alla les déposer à coté.

j'étais maintenant complètement nu, je ne me sentais pas franchement à l'aise, immobile sous son regard glacé. Parce que, pour vous, ça ressent quoi, une femme, hein? Vous croyez que tout est toujours rose parce qu'on porte de la lingerie sexy? Non, ce n'est pas aussi simple que ça, je sais bien, mais.

Vous croyez que tout est facile parce qu'on est perchée sur dix centimètres de talons? a cet instant, une lueur étrange passa dans son regard. Elle reprit : Vous vouliez "ressentir ce que je vis tous les jours", vous "mettre à ma place", hein, c'est bien ça? c'est ce que vous voulez.

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c'est bien ce que vous avez dit, hein? Et bien,. Oui,. Enfin, c'est ce que je vous ai expliqué. Et bien, vous allez le voir, ce que ressent une femme, vous allez le "ressentir", ce que j'ai vécu ce soir.

Alors pour commencer, je vais vous faire connaître les joies de l'épilation. Ecoutez. Il n'y a pas de 'Ecoutez'. Vous avez voulu vous prendre pour une nana, je vous promets que je vais vous faire assumer ce choix jusqu'au bout.

On va finir ce petit jeu que vous avez commencé. Mais à ma manière, sinon, je vous jure que vous allez le regretter! Et que ça vous plaise ou non, ça va commencer par une épilation.

Venez avec moi à coté. Elle sortit de l'armoire de toilette un épilateur à la cire et me fit signe de la tête de m'installer. Pendant que l'appareil chauffait, je me sentais à la fois très mal à l'aise et survolté.

Je me posais des questions sur les motivations qui poussaient Ghislaine à "prolonger mon jeu, mais avec ses propres règles". Pour quelles raisons rentrait-elle à 22H30 alors que sa soirée était censée durer jusqu'à deux heures du matin? Est-ce que vous me permettez de.

masquer ma nudité? Du moment que vous gardez les pattes à l'air, je m'en fous complètement! Depuis que j'avais ôté ses vêtements, ses propos étaient encore plus cassants, plus relâchés.

Sa colère faisait voler en éclat sa distinction habituelle. j'allongeai mon bras en direction de la patère, mais au dernier moment, au lieu d'y prendre mon slip, je saisis la nuisette et la petite culotte noire.

Lorsqu'elle me vit les enfiler, elle eut un haussement d'épaule : De toutes façons, au point où on en est. c'est à dire que, tant qu'à faire, si je dois continuer à jouer à la femme.

j'avais répondu un peu crânement, pour essayer de percer son état d'esprit. Ma verge avait retrouvé un volume conséquent à partir du moment où j'avais mis la nuisette. Elle sembla ne même pas s'en apercevoir et commença à étaler la cire sur toute la longueur de mes jambes.

Je tressaillis sous la brûlure. Elle me dit en retenant un léger tremblement dans sa voix "Ca n'est qu'un début!". Effectivement, l'arrachage de la bandelette (et de celles qui suivirent) me fut beaucoup plus pénible, d'autant plus qu'elle ne prit volontairement pas de gants --au sens propre comme au sens figuré! Elle fit par contre preuve d'un self-control étonnant en épilant le haut de mes cuisses, ignorant complètement le fait que mon sexe faisait une bosse sans équivoque sous le polyamide transparent de la nuisette! néanmoins, au fur et à mesure que l'opération avançait, elle se montra moins sèche dans ses gestes.

Elle finit par débrancher l'appareil et me dit calmement "Attendez encore une minute, ce n'est pas encore tout à fait fini". Elle prit un flacon et me le tendit en ordonnant "Etalez-vous ça sur les jambes, ça calmera la sensation de brûlure".

Effectivement, passées les premières secondes où le picotement fut avivé, je me sentis vite soulagé. Elle m'invita à me changer et à repasser dans la chambre. Elle se calmait petit à petit.

Alors, ça vous a plu de "jouer à la femme"? Ecoutez, j'ai été totalement franc avec vous depuis le début, je vais continuer : je voulais, j'aurais vraiment voulu être à votre place.

Je me suis senti tellement bien quand j'ai mis vos vêtements et vos bottes tout à l'heure, j'ai essayé d'imaginer ce que pouvait être votre soirée. Et oui, excusez ma franchise, mais je ne regrette pas.

Tout le monde dira que ça ne se fait pas, à beaucoup de points de vue, mais j'ai trouvé ça. merveilleux, je n'ai pas d'autres mots. Alors, oui, "ça m'a plu de me sentir femme"! Elle se raidit à nouveau et rebondit sur ce que je venais de dire : Vous voudriez être à ma place? Vivre mes soirées? Très bien, cette fois-ci, vous l'aurez voulu! Sa voix était redevenue cassante.

"Je vais vous la faire revivre, ma soirée, et on verra si vous pensez toujours la même chose après!" (Sa voix monta d'un ton) "déshabillez-vous! Tout de suite! Et ne bougez pas" Alors que j'obtempérais, il se passa quelque chose de complètement incroyable.

Elle enleva son spencer, déboutonna son chemisier en satin noir, puis fit coulisser la fermeture éclair dans le dos de sa jupe et la laissa glisser au sol. Elle apparut alors devant moi, vêtue en tout et pour tout de ses bottes (si érotiques avec leurs talons métalliques), d'une paire de bas tenus par un porte-jarretelles et d'une petite culotte satinée blanche! Elle était largement échancrée sur les cuisses, ce qui fait qu'entre les bottes, les bas et ce slip, ses jambes paraissaient interminables.

Elle avait une poitrine superbe, des petits seins fermes et hauts perchés. La pointe de mon gland touchait maintenant mon nombril tellement je la trouvais désirable. Je n'étais pas encore au bout de mes surprises.

Elle se baissa pour ramasser sa jupe, me la tendit en disant "Puisqu'il semble que vous rentriez dans mes habits, mettez ça". Je ne pus réprimer un frisson lorsque je remontai le cuir en le faisant caresser mon sexe sur toute sa longueur! Ghislaine ne me quittait pas des yeux.

j'essayai d'avoir une attitude féminine pour remonter le zip dans mon dos, je ne voulais pas donner l'image grotesque que donnent parfois des travestis trop mâles dans leurs gestes autant que dans leur morphologie.

Elle ôta ses bottes et me les tendit : Allez, on continue. Je suppose que vous avez fouillé dans les placards et vous savez donc sans doute que j'en ai plusieurs paires, mais c'est celles-ci qui ont les talons les plus hauts et qui sont les plus serrées.

On va voir combien de temps vous tiendrez avec ça aux pieds!
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