Fétichisme transvestites jouer avec travesti #2

Fétichisme transvestites jouer avec travesti #2 | Je. Excusez-moi. j'avalai difficilement ma salive, mais poursuivit malgré tout :. Je crois qu'il me faudrait des bas.

Elle poussa un long soupir, semblant agacée par mon insistance à me féminiser et passa dans la salle de bain. j'eus un nouveau choc lorsqu'elle revint 30 secondes plus tard, vêtue en tout et pour tout de la culotte noire au pompon de fourrure, avec ses bas et sa lingerie blanche à la main, tendus en offrande! Je voulus mettre immédiatement le slip brésilien, afin de le sentir encore chaud sur mon sexe et mon entrejambe.

Je dus pour cela retrousser haut la jupe, car l'élastique arrivait au-dessus des hanches. Il avait cependant l'avantage de contenir toute la longueur de mon érection pourtant imposante, seuls les testicules débordaient un peu de chaque coté de l'étroite bande de polyamide qui me passait entre les jambes.

Pendant que j'agrafai le porte-jarretelles et les bas, elle alla chercher dans la commode le soutien-gorge assorti (qu'elle-même n'avait pas jugé bon de porter pour la soirée) et en profita pour se rhabiller aussi : elle portait à présent le jean en cuir noir, un sweat-shirt blanc à même la peau et les boots beiges à hauts talons.

Vous avez encore moins de poitrine que moi, faites quelque chose. Elle avait esquissé un léger sourire en prononçant ces mots, et me tendit de quoi rembourrer le soutien-gorge.

Je commençais à me demander si sa colère n'était pas simplement un exutoire à une très grosse déception. La hargne qu'elle avait manifestée en me promettant de me faire revivre sa soirée me laissait à penser que son rendez-vous avait du tourner à la catastrophe.

Je m'assis sur le lit pour enfiler les bottes, puis le chemisier en satin. Mon sexe me faisait presque mal, tant il était tendu : je n'aurais même pas osé fantasmer sur le fait de porter les vêtements encore tièdes que cette femme si sexy avait sur elle à peine une minute plus tôt, et pourtant! "c'est ce qu'on appelle déshabiller Pierre pour habiller Paul. ou plus exactement, déshabiller Ghislaine pour habiller Gill" pensai-je silencieusement.

Elle m'invita à la précéder : Passons dans le salon, je vous suis. Au passage, elle entrouvrit la porte pour s'assurer que son fils dormait toujours paisiblement. Je m'efforçais de ne pas faire de trop grands pas et de poser mes pieds l'un devant l'autre, comme sur une ligne invisible, mais sans toutefois "tortiller du cul" de manière outrageuse.

Je sentais son regard dans mon dos, cela me stressait et m'excitait tout en même temps. Bien, on y va je plante le décor : première chose, à partir de maintenant, vous n'êtes plus Gill, vous êtes moi.

Après tout, c'est ce que vous vouliez, non?. Bien. Donc il va falloir qu'à partir de maintenant, vous pensiez comme moi. Ca ne suffit pas que vous soyez dans mes vêtements, il va falloir que vous réussissiez à être dans ma tête! Bon, alors voilà; vous avez rendez-vous un homme qui a su vous faire comprendre que vous l'intéressiez.

Il a une petite quarantaine, un look de jeune cadre dynamique et plein d'avenir, plutôt beau mec. Vous avez accepté de le retrouver au restaurant, vous savez ce qu'il veut et vous, vous êtes prête à tenter le coup.

ok?. Allez, c'est parti! Elle me passa le manteau de fourrure qu'elle avait laissé dans cette pièce en rentrant une heure plus tôt, puis m'entraîna jusqu'à la porte qu'elle referma et retourna s'asseoir au bureau.

là, voilà, vous rentrez dans la salle du resto. a vous de jouer. Au fait, moi, c'est Pascal. Dans le couloir, je pris une grande inspiration. c'était "à moi de jouer".

Je ne savais plus à quel moment tout avait dérapé, ni comment cette soirée allait évoluer. Je ne pus m'empêcher de penser que j'avais complètement gâché toutes mes chances de la séduire! Je sortis de la poche du manteau une paire de longs gants en cuir mais n'enfilai que le droit, gardant l'autre dans ma main gantée.

En poussant la porte, je balayai du regard ce qui était censé être la salle du restaurant, puis me dirigeai vers elle qui venait de se lever. Bises chastes sur les joues (à son initiative), elle m'invita à m'asseoir après m'avoir aidé à retirer mon manteau, puis attaqua : On commande l'apéritif? Pour moi, ça sera un gin tonic, tu prends quoi, toi? Gin tonic, ça me va bien.

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Elle se leva et revint avec deux verres remplis en murmurant "là, j'en ai vraiment besoin!", puis reprenant le cours du jeu, elle me dit : Je suis vraiment content que tu aies pu finalement te libérer.

Depuis l'autre soir, j'avais très envie de t'inviter et de passer une soirée avec toi. Je suis contente aussi. a la tienne. Je me rendis compte que je n'avais pas trop à me forcer, ni pour parler au féminin, ni pour la tutoyer.

Elle avala d'un trait une grande gorgée de cocktail et je sentis sa jambe caresser la mienne! Je ne bougeai pas. Le sourire qu'elle s'efforça de masquer me prouva que j'avais réagi comme elle l'attendait --et non pas comme j'aurais souhaité pouvoir le faire! Tu es très élégante.

c'est du satin, non? Je peux toucher? Elle tendit son bras par-dessus le bureau et caressa mon épaule. Oui, c'est du satin! Tu as ta baby-sitter jusqu'à quelle heure? Pourquoi? Parce qu'après le repas, on pourrait continuer la soirée ailleurs, juste toi et moi.

Elle finit son verre, alla s'en resservir un et se rassit en disant : Passons les détails, tout le repas se déroule dans ce genre d'ambiance. a votre avis, à ce moment là, je pensais quoi, moi? Jusqu'où croyez-vous que j'étais prête à aller? Je me souviens que quand vous avez reconnu la voix de Pascal au téléphone, vous avez été contente, c'est pour ça que je l'ai dit il y cinq minutes.

Je crois que. Allez-y, je vous en prie. Finalement votre franchise me plaît! Et bien, je crois que vous êtes partie au rendez-vous en espérant que la soirée se terminerait.

bien. d'ailleurs, vous m'avez dit que vous risquiez de rentrer à deux heures. Ca fait quand même long pour un repas, même dans un grand restaurant! Pour répondre à votre question, je crois que vous pensiez (à juste titre, si je peux me permettre) être une femme désirable et désirée, mais je crois aussi que vous n'êtes pas ce qu'on appelle une fille facile.

Bien vu, inspecteur Columbo! Lieutenant, Madame, lieutenant! Bref. Pendant le repas, il vous apprend qu'il est marié, qu'il a une fillette de sept ans, que sa femme est restée bosser à Paris et qu'il ne rentre que le week-end chez lui, mais qu'en fait ça ne le gêne pas trop de retrouver la vie de célibataire qu'il menait à vingt ans, etc.

On en arrive au dessert, et une fois celui-ci fini, il, enfin, je vous dis : "On va prendre le café chez moi?". Que répondez-vous à cela? Vous, enfin je veux dire, il a été correct, ou bien il a bavé sur la nappe pendant tout le repas? Il a su tempérer ses ardeurs, dirais-je, mais il a été malgré tout assez.

explicite! Alors je lui répondrais "Si tu veux, mais juste un café". Simulant notre sortie du restaurant, elle se posta derrière moi pour m'aider à enfiler "mon" manteau. Elle passa ses deux mains de chaque coté de ma nuque, pour ramener mes cheveux (un peu trop courts dans la réalité) par-dessus le col de fourrure.

Puis elle m'embrassa juste derrière l'oreille, s'attarda en faisant glisser lentement ses lèvres vers mon cou et dit : c'est bon, on y va; tu me suis avec ta voiture, ok? Lorsqu'elle posa ses lèvres contre les miennes, je ne pus m'empêcher de resserrer notre étreinte.

Elle se dégagea doucement. Je sentais sa main dans mon dos pendant que nous sortîmes de la pièce. Elle me demanda alors de l'attendre deux minutes et se dirigea vers la lingerie d'où elle revint avec son blouson aviateur sur le dos.

Maintenant mon cher Gill, nous allons faire vous et moi un aller et retour en bas de l'immeuble. Mais. Il n'y a pas de mais. c'est moi qui fixe les règles du jeu, vous étiez d'accord là-dessus, non? Ben, oui, mais.

Je me sens ridicule! c'est un peu tard pour vous poser la question! Quand vous avez pris mes vêtements sans me demander mon avis, vous vous trouviez ridicule? Tout en disant cela, elle promena son regard du col de fourrure aux hautes bottes.

Ben, j'étais seul, personne ne me voyait! De toutes façons, primo, vous ne l'êtes peut-être pas tant que ça, et secundo, vu l'heure, vous ne croiserez pas beaucoup de monde.

Allez, on y va! Nous descendîmes dans le hall, et alors que je m'arrêtai devant l'ascenseur, elle m'entraîna jusque dans la rue, près d'une voiture en stationnement. Un couple traversa devant nous pour entrer dans l'immeuble voisin.

Il sembla ne pas remarquer mon travestissement. Peut-être après tout étais-je plus crédible que je ne le pensais, tout du moins tant que je n'étais pas en pleine lumière! Reprenant alors "le cours du jeu", elle m'intima l'ordre de ne pas bouger pendant qu'elle s'éloignait jusqu'à un autre véhicule garé juste en face de l'entrée de son immeuble.

Elle revint à ma rencontre, essaya de me prendre la main. Comme je m'en servis pour tenir mon manteau fermé, elle se contenta de mon bras! Voilà, c'est ici que j'habite.

Elle s'effaça pour me laisser entrer, puis mit son bras autour de ma taille pour me guider vers l'ascenseur. En appuyant sur le bouton d'appel, elle s'arrangea pour se rapprocher très près de moi.

a travers le manteau de fourrure, je la sentais m'attirer contre elle. Sitôt entrés dans la cabine, elle accentua le mouvement et m'embrassa dans le cou pendant que ses mains passaient sous mon manteau.

La droite se posa sur ma fausse poitrine pendant que la gauche caressait mes fesses à travers la jupe de cuir. Puis sa bouche remonta lentement en direction de la mienne le long de ma joue.

Je ne sais pas ce que Ghislaine sentit physiquement lorsque Pascal lui fit vivre cette scène, en tous cas, lorsqu'elle me la fit vivre à moi, elle sentit clairement mon érection contre son ventre! Elle bloqua quelques secondes la porte de l'ascenseur qui s'était arrêté en me soufflant "Lui habitait au neuvième étage et non au deuxième", puis elle ouvrit la porte de son appartement.

dépêche-toi, entre. Elle me tira par la main pour me faire rentrer et repoussa le battant tout en me plaquant contre la cloison. Elle fit glisser mon manteau de fourrure sur mes épaules et le jeta sur un portant.

Elle plia un peu les genoux en se collant contre moi et se redressa complètement, imitant ainsi les hommes quand ils veulent faire sentir aux femmes le frottement de leur pénis le long de leur pubis.

Le mien commençait à sérieusement se rappeler à mon souvenir : cela faisait maintenant près de deux heures qu'à de brèves exceptions près, il était au garde à vous! Je lui retirai son blouson puis fit courir mes mains sur ses omoplates avant de les descendre sur le cuir qui moulait ses hanches.

Elle se frottait contre moi et m'embrassait dans le cou, je sentais la pression de son ventre contre ma jupe, de ses mains qui se promenaient sur ma nuque et dans mon dos, la tension était encore montée d'un cran! Mais lorsque ma bouche alla chercher la sienne, elle tourna la tête.

Alors, je te le fais visiter, mon appart? Et après, tu me fais le café que tu m'as promis? ok, voici la cuisine,. le salon;. la salle de bain au bout du couloir.

et ici, c'est la chambre! Viens, je te la fais visiter en détail. Le café d'abord! Tu es sûre de vouloir un café? Oui, bien sûr. Bon. Moi, je vais plutôt me prendre un whisky, tu ne préfères pas? Non, non, café, s'il te plait.

Elle revint avec deux mazagrans remplis de café en précisant : j'ai suffisamment bu, on fera comme si pour moi, c'était un whisky, d'accord? d'accord, de toutes façons, c'est vous le maître du jeu.

Je m'assis dans le canapé en ramenant délicatement la jupe sous moi. Je m'efforçais de garder les genoux serrés, les jambes un peu inclinées sur le coté. Je me répétais que quelqu'un qui portait des bottes à talons aiguilles et une jupe en cuir n'avait pas le droit de se vautrer dans un canapé les jambes écartées! Elle, pour poser les tasses sur la table basse, inclina le buste en gardant ses jambes tendues, faisant saillir ses fesses superbes moulées par le cuir et exhalant ainsi toute sa féminité.

Je pense qu'elle voulait par ces attitudes m'allumer un maximum, quitte à mettre entre parenthèses pendant un instant son personnage masculin. Je commençais à comprendre que c'était sans doute de cette manière que le dénommé Pascal avait agi avec elle! Si son but était de m'allumer autant qu'elle-même avait pu l'être par Pascal, la réussite était totale.

Cette femme était non seulement magnifique physiquement, mais elle savait en plus dégager un maximum de sensualité et d'érotisme. Elle prit une cigarette et m'en offrit une. Elle me tendit son briquet allumé et posa sa main sur ma cuisse en l'approchant du cylindre de tabac.

Elle alluma ensuite la sienne, mais laissa sa main sur ma jupe, la remontant même encore un peu plus haut. Je la laissai faire. Un peu plus tard, elle me dit : Tes bottes sont superbes, je peux les toucher? Avant que je n'aie eu le temps de répondre, elle posa sa main droite sur ma cheville, la fit remonter lentement jusqu'au sommet de la tige, puis s'insinua carrément sous ma jupe.

Elle caressait maintenant mon bas en remontant à l'intérieur de la cuisse jusqu'aux attaches du porte-jarretelles! Elle s'arrêta juste quand le bout de ses doigts arriva au contact du petit slip de satin.

j'inclinai la tête vers elle, à la recherche de ses lèvres, mais elle se recula pour retirer sa main et entreprit de déboutonner lentement mon chemisier. Elle se leva pour se placer face à moi et appuya ses genoux sur le bord du canapé, entre mes jambes qu'elle avait doucement écarté après avoir remonté ma jupe sur mes genoux.

Quelle sensation exquise! a travers le cuir de la jupe ou le satin du chemisier, je sentais ses mains aller et venir sur mes hanches, ma poitrine, mon dos.

Elle m'attira contre elle, enfouit sa tête contre mon cou en me soufflant "Tu es très belle, j'ai envie de toi". j'entrepris à nouveau de chercher sa bouche, mais, malgré mes mouvements, elle ne m'accorda qu'un chaste et rapide baiser du bout des lèvres et replongea aussitôt son visage au creux de mon épaule! j'étais tellement excité que je sentais quelques gouttes de sperme perler au bout de mon gland et venir tâcher le brésilien blanc, mais continuant sur sa lancée, Ghislaine/Pascal se contentait de toujours faire monter la pression sans me laisser espérer de soupape d'échappement (si j'ose dire! ).

La "torture" continua encore un bon quart d'heure, je crois. Elle multipliait les baisers dans mon cou, sur mes épaules ou même sur mon soutien-gorge, mais se dégageait toujours avant que nos bouches se touchent; elle caressait mes mollets, mes genoux, le dessus de mes cuisses, faisait parfois courir sa main sous ma jupe, mais ne faisait jamais plus que frôler mon sexe à travers le slip brésilien! Elle ne me laissait qu'à moitié répondre à ses caresses, c'est à dire que je pouvais caresser sa jambe à travers son pantalon de cuir, mais dès que je remontais vers son pubis, elle serrait ses jambes et m'empêchait de continuer.

Elle me laissa passer mes mains sous son sweat, je pus même un instant masser ses seins, mais elle ne m'autorisa pas à dénuder vraiment sa poitrine. Le moins qu'on puisse dire est qu'elle soufflait le chaud et le froid! Elle se leva un instant pour nous resservir un café, puis reprit son manège.

Une frustration énorme me gagnait. Je finis par lui dire : Bon, maintenant, ça suffit! Ecoutez, c'est vrai quoi, décidez-vous, ça ne peut pas durer comme ça! Sa réponse fut cinglante : c'est exactement ce que je lui ai dit! Ce salaud a passé toute la soirée à m'allumer, et quand je lui ai dit ça, il m'a répondu qu'il ne pouvait pas, qu'il était désolé mais qu'il n'oserait plus regarder sa femme en face, qu'il voulait rester fidèle, etc.

, etc. Mais alors, pourquoi m'as-tu dragué toute la soirée? Quand je lui ai demandé, il m'a répondu "Je te trouve très désirable, j'ai envie de toi, mais que je baise avec toi ou pas, je choperai les boules"! Alors j'ai ironisé en lui répliquant "Ben alors, chopes les pour quelque chose", mais lui n'a rien trouvé d'autre à répéter que "Je ne peux pas, je suis désolé" trois ou quatre fois en secouant la tête! Elle se tut un instant, puis reprit : Alors, maintenant, ça vous fait toujours plaisir d'avoir "vécu ma soirée"?.

Merde, merde, et merde! Pour une fois, je m'autorisais un peu de temps rien que pour moi, il a fallu que je tombe sur un. , sur une larve, c'est ça, une larve qui n'a même pas le courage de ses désirs! Elle s'était relevée, et brutalement, elle éclata en sanglots : Merde, j'en ai marre!.

Le salaud, le salaud. Je me relevai à mon tour et m'approchai d'elle pour la réconforter. Elle se ressaisit et me dit : Allez, c'est fini, excusez-moi. c'est vrai, c'est dégueulasse, j'ai voulu me venger sur vous, vous faire payer pour lui..

Allez récupérer vos vêtements. Pendant que vous vous changez, je vais chercher l'argent que je vous dois. Allez, rentrez chez vous, il est tard! Je l'arrêtai alors qu'elle se dirigeait vers son sac à main pour y prendre son porte-monnaie : Ecoutez.

Attendez. Elle stoppa sur place et je posai mes mains sur ses épaules. Elle ne bougea pas. Vous avez eu une soirée "galère de chez galère", et je suppose que lorsque vous m'avez vu en rentrant, ça n'a pu que raviver votre colère, je le comprends.

Mais vous savez, je déteste les généralisations hâtives du genre "toutes les femmes sont des putes" et "tous les hommes sont des salauds". Ce Pascal a manifestement des problèmes dans sa tête, il ne prend pas ses responsabilités, mais il existe quand même malgré tout des hommes qui savent être doux et tendre avec une femme.

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Ce n'était pas votre soir, ce n'était pas le bon mec, c'est tout. Elle eut un sourire triste. Je passai mes mains dans son dos et l'attirai doucement contre moi.

Elle se laissa faire et je la sentis s'abandonner sur mon épaule, mais cette fois, elle était "vraie", elle ne jouait plus. Je caressai doucement sa longue chevelure rousse.

Elle se remit à sangloter tout doucement. Je lui murmurai à l'oreille "là, c'est bien, laissez-vous aller, ne craignez rien". Elle se dégagea un peu pour s'essuyer les yeux, remit le kleenex dans sa poche, me regarda droit dans les yeux et me dit "Merci" puis déposa un baiser à la commissure de mes lèvres et se dégagea doucement.

Je la retins et elle revint lover sa tête dans mon cou. j'enfouis mon visage dans ses cheveux soyeux pour respirer encore son parfum. Lentement, délicatement, ma bouche remonta le long de sa joue.

Elle ne tourna pas la tête lorsque mes lèvres touchèrent les siennes. j'y déposai plein de petits baisers, et finalement, elle les entrouvrit. Nos langues se mêlèrent et notre étreinte se fit plus violente.

Mes mains couraient dans son dos, caressaient ses fesses et je sentis ses mains à elle peu à peu répondre sur mon corps en écho. Je lui fis lever les bras et enlever son sweat.

j'embrassai alors ses seins, j'en faisais jouer les tétons raidis entre l'index et le majeur de ma main droite en recommençant à l'embrasser. Puis je m'agenouillai devant elle en faisant glisser mes mains sur ses hanches.

Je déboutonnai son jean en cuir, fit glisser le zip, puis le pantalon lui-même. Je frottai un instant mon visage contre le pompon de fourrure de la petite culotte, puis la baissai également.

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Ma bouche vint se plaquer contre sa vulve, ma langue commença à la fouiller délicatement. Elle mit ses mains dans mes cheveux en poussant des gémissements de plaisir, plaquant ma tête contre elle pour inciter ma langue à continuer son œuvre.

Je sentais le goût légèrement acide de son plaisir couler dans ma bouche. j'aimais ça! Manifestement, elle aimait aussi. Sa respiration s'accélérait et elle répétait "Oh oui, continue, c'est bon", "oh oui, humm, j'en ai besoin", bref elle prenait son pied.

Elle fit "retomber la pression" en s'appuyant sur mon crâne pour enlever complètement le pantalon et le slip noir qui plissaient sur ses chevilles. Elle garda juste ses boots à hauts talons aux pieds.

Tu vas comprendre tout de suite, mais je veux rester aussi grande que toi. Ghislaine, j'ai envie de toi. Moi aussi, j'ai envie de toi, maintenant, là. Enlève ta jupe et fais-moi l'amour debout.

Elle me fit reculer contre la cloison. Je ne répondis pas, mais je retroussai juste la jupe dont je ne voulais pas me séparer et sortis mon sexe tendu au maximum par l'échancrure du slip brésilien.

Elle sourit, se colla contre moi, se hissa sur la pointe des pieds et enroula sa jambe gauche autour de ma taille. De ma main droite, j'écartai un peu ses grandes lèvres.

Lorsqu'elle reposa son talon au sol, je sentis ma verge s'enfoncer en elle sans effort. Oh, c'est bon, c'est si doux, si merveilleux! Mais je t'en supplie, ne bouges pas trop vite, je ne vais pas pouvoir me retenir.

Penses à autre chose, c'est ce qu'on dit, non? Comment veux-tu que je pense à autre chose? Tu es si belle, si désirable. La première fois que nous nous sommes rencontrés, au café, quand j'ai vu comment tu étais habillée, je me suis dit que tu étais l'incarnation de mes fantasmes les plus fous.


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  • Oh non, pitié, attends. Elle entama de lents mais continus mouvements de va et vient. Ne te retiens pas, j'attends ça depuis trop longtemps ce soir. Elle accéléra son mouvement et termina : Viens, oh oui, viens.

  • maintenant! Je le fis, en appuyant encore plus fort sur ses épaules pour m'enfoncer au plus profond de son ventre. Nous restâmes immobiles l'un collé à l'autre. Je débandais à peine et pus ainsi rester planté en elle.

  • a mon tour, je me mis à aller et venir en elle. Pendant les premières secondes, la sensation sur mon gland fut presque désagréable, car ma jouissance était encore trop récente, mais je continuai malgré tout.

  • Sa respiration s'accéléra à nouveau, ses soupirs devinrent plus rauques. Je sentais le fruit de mon éjaculation qui commençait à couler le long de ma verge. Elle-même se mit à bouger, mais l'excitation nous empêchait de bien coordonner nos mouvements! Au moment où elle atteignit l'orgasme, je la sentis mordre l'extrémité du col de mon spencer de cuir blanc afin de ne pas crier.

  • Nous restâmes silencieux un instant, puis elle dit : Oh merci. Merci d'avoir continué jusqu'au bout de mon plaisir. c'est rare les hommes qui font attention à ce genre de choses! c'est peut être parce que je suis l'homme le plus féminin que tu connaisses, non? Ah ça, je dois dire que c'est vrai! Et ça te fait quoi? Ben.

  • c'est bizarre. Je sais pas, j'y ai pas vraiment réfléchi. c'est clair que quand je t'ai vu tout à l'heure, ça m'a mise hors de moi. Mais tu ne t'en sors pas trop mal en fait.

  • Je veux dire en tant que femme, parce que pour le reste, tu t'en sors plutôt carrément bien, mais. Non, c'est vrai qu'en fait je sais pas trop quoi dire.

  • Par moment, j'ai senti en toi quelque chose, une douceur peut-être, typiquement féminine. Et toi? Que c'était bon de la voir se pencher en arrière pour rire, de réaliser que mon sexe la pénétrait encore.

  • Je ris à mon tour, accroché à elle, sans manifester la moindre intention de la lâcher. Et moi quoi? Ben, ça te fait quoi à toi? Tu te travestis souvent? c'est le kif absolu! Tu ne peux pas savoir à quel point.

  • Non, malheureusement, je ne me travestis pas souvent. Par contre, il m'est déjà arrivé plusieurs fois "d'emprunter" des bottes à des copines. Tu fais comment? Tu leur dis "Salut, c'est moi; tu me prêtes tes bottes"? Non, enfin, si, quelques fois ça se passe comme ça, quand je connais la fille, je lui demande carrément si je peux les mettre! Mais ce qui m'est arrivé le plus souvent, c'est de voir des bottes pas rangées et de les piquer le temps d'aller aux wc et de les essayer.
Et de te? Et de me! Elle se tut un court instant, puis me demanda: Tu fais comment exactement? Tu l'as fait ce soir, je veux dire, avant que je te surprenne? Soudainement gêné, je marquai à mon tour un instant de silence.

Mais je me décidai à continuer dans la voie de la franchise absolue. Oui.. Enfin, je. Pourquoi tu fais ça? Je ne sais pas bien. j'adore le cuir et les bottes à talons hauts, c'est plus fort que moi, si je peux les mettre, ça m'excite énormément, alors je me caresse doucement, et puis.

Je me tus un instant; elle reprit : Mais tu aimes les femmes? Ben oui, bien sûr! Tu sais, je crois qu'un homme peut s'habiller en femme sans être pour autant une folle! Je ne vois pas pourquoi un homme ne devrait porter que des grosses godasses, des tenues dites "viriles" qui affirment son coté "Moi Tarzan, toi Jane"! Tu sais, je ne me sens pas "diminué" quand je porte une jupe et des bottes, au contraire.

c'est peut-être que j'ai juste un rapport particulier à la part de féminité qui est en moi comme en chaque mâle sur cette terre.. Et puis, après tout, on trouve toujours très érotique qu'une fille mette la chemise de son amant quand elle se lève après l'amour, alors pourquoi n'admettrait-on pas l'inverse? Elle avait l'air de comprendre les confidences que je lui faisais.

Nous atterrissions doucement, mais à ma grande surprise, ma verge restait encore et toujours suffisamment ferme pour rester en elle. Sentant sur moi le chatouillement provoqué par le sperme qui continuait à descendre le long de ma verge, je lui dis : En tous cas, nana ou mec, je crois que je ne vais pas tarder à salir ma petite culotte! Moi aussi, ça coule en haut de mes cuisses.

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a nouveau, elle rit. Elle marqua un instant d'hésitation, puis me déclara : Gardes ta jupe retroussée, je vais arranger ça. Elle se hissa sur la pointe des pieds, recula très lentement son bassin, jusqu'à ce que mon gland sorte d'un seul coup du chaud fourreau dans lequel il était si bien installé.

Je ne pus m'empêcher de tressaillir. Elle s'agenouilla et entreprit alors de me nettoyer minutieusement. Elle lécha d'abord le gland en enroulant sa langue tout autour, puis elle le mit complètement dans sa bouche.

Elle le ressortit, puis me nettoya ainsi les testicules, poussant même une pointe au bord de l'anus. Ensuite sa langue remonta tout le long de ma hampe afin de continuer son ouvrage.

Pour finir, elle avala à nouveau mon sexe tout entier et commença un semblant de fellation, réussissant ainsi à faire renaître chez moi une érection totale! Elle remit mon pieu dans le slip blanc, se releva, fit retomber la jupe et déposa un baiser sur ma bouche.

Je lui caressai doucement le visage et dis : a toi de ne pas bouger, je ne veux pas que tu tâches le cuir de cette merveille en te collant à moi! a mon tour, je me mis à genoux.

Je relevai la tête pour admirer son corps entièrement dénudé. Je ne me sentais pas très à l'aise, car je n'avais jamais senti le goût du sperme sur ma langue ou dans ma bouche.

Mais, décidément, ce soir, rien ne se passait comme d'habitude! Je posai d'abord ma bouche au-dessus de son genou, puis je m'enhardis et remontai vers sa toison humide de plaisir, léchant au passage une traînée de sperme sur sa cuisse.

Je lui fis ainsi une toilette intime complète avec ma langue. Elle apprécia manifestement, et les soupirs qu'elle exhalait en étaient la preuve! Elle me fit me relever et nous nous embrassâmes à pleine bouche.

j'avais eu le baptême du sperme, et les conditions dans lesquelles il s'était déroulé me satisfaisaient pleinement. Pour me récompenser du soin que j'avais apporté à cette opération, elle se plaqua contre moi et frotta son ventre sur la jupe.

Tu sais quoi? y a pas à dire, ça me fait vraiment bizarre de me frotter contre une jupe en cuir! Et surtout d'y sentir ce que je sens! hûûûm, c'est bon.

Oui, c'est bon. Je veux qu'on fasse l'amour toute la nuit, Ghislaine. Mais je veux rester en jupe et en bottes. Je veux être toute la nuit "une femme avec une femme", tu sais, comme dans la chanson de Mecano.

Oui Gill,. , oui Corinne! Je sentais dans ma bouche les goûts mêlés de mon propre sperme et du jus de son plaisir. j'insinuai ma langue dans sa bouche et l'enfonçai profondément.

Ses mains coururent sur mes vêtements de cuir tandis qu'elle répondait ardemment à mon baiser. Je ne peux pas rester à poil comme ça, il faut que je m'habille.

Tu veux bien mettre ta mini et ton spencer rouge avec tes bottes blanches? Tiens, en attendant. Tout en prononçant ces mots, je récupérai son manteau de fourrure sur le portant et l'aidai à le passer.

Tu connais toute ma garde-robe ou quoi? Ben, tu sais, pour prendre ta jupe, j'ai du ouvrir les penderies. Les bottes, elles sont rangées dans leurs boites. Oui, c'est vrai, j'ai un peu fouillé.

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Tu m'en veux? Je sais pas. On va dire que non, pas vraiment. Je l'attirai tout contre moi et mis ma main sur son pubis en me plaquant contre le dos du manteau de fourrure.

Mon majeur s'insinua entre ses grandes lèvres. Alors, tu veux bien. Je suis sur que tu es trop belle avec cet ensemble! Elle profita quelques minutes du plaisir que lui procurait mon doigt enfoncé en elle.

Oh. et puis après tout, d'accord.. Je crois que je suis devenue aussi folle que toi! Elle me tendit la main et je la suivis dans le couloir qui menait à la lingerie.

Au passage, elle entrebâilla la porte de la chambre de son fils, et constata qu'il dormait d'un sommeil de plomb. Lorsqu'elle ouvrit la porte du placard, je me collai à nouveau dans son dos et saisis ses seins à travers le manteau.

Je sentais distinctement le contact de la fourrure contre le cuir de ma jupe, j'appuyais mon sexe contre ses fesses tout en malaxant sa poitrine. Elle me saisit la nuque en passant son bras par-dessus son épaule et se mit elle aussi à bouger lascivement.

Tout en restant collée à moi, elle descendit sur ses jambes pour enlever ses boots. c'était maintenant sa nuque qui appuyait sur la ceinture de ma jupe. Elle se redressa.

Je la pris par les épaules. Elle se dégagea ainsi de son manteau sans que je réalise comment et se retourna en me souriant. Je suis bien, là, avec toi.

Je suis certainement devenue folle, mais je suis bien. Et toi, ça va? Tu n'as pas trop mal aux pieds? On fait aller, va. En fait, on n'a pas beaucoup marché, on a souvent été assis.

Honnêtement, je dois dire "heureusement", parce que c'est vrai que les talons sont vraiment hauts et vraiment fins! Mais tu sais, j'aime tellement ça que malgré tout, je n'ai pas du tout envie de les quitter! Alors, là, chapeau, car je connais un certain nombre de nanas qui ne peuvent pas supporter des talons aussi hauts, ne serait-ce qu'une heure! Je sais pas si je suis dingue, mais en tous cas, toi tu me rends fou.

Je n'aurai pas assez de la nuit pour te le prouver! Pendant qu'elle décrochait de leurs cintres le blouson et la mini-jupe de cuir rouge, je choisis dans sa commode un mini-string, le porte-jarretelles assorti et une paire de bas noirs.

Elle ne s'étonna même plus du fait que je sache où elle rangeait sa lingerie! Je les lui tendis alors qu'elle s'apprêtait à enfiler les bottes blanches qu'elle venait de sortir de leur boite.

Tu ne me donnes pas de soutif? Tu n'en as pas besoin! j'adore ta poitrine, je veux en profiter. Elle est trop petite, ma poitrine! Tout est une question de goût.

Moi, je n'aime pas les gros seins, et j'adore les tiens, ils sont juste comme il faut, juste comme je les aime! c'est gentil, merci. Elle se hissa sur la pointe des pieds pour m'embrasser sur la bouche.

Elle avait beau au départ être un tout petit peu plus grande que moi, perché sur mes talons aiguilles, je la dominai de huit ou dix centimètres! Je la regardai s'habiller sans perdre une seconde du spectacle : elle commença par le porte-jarretelles, attacha les bas, enfila les bottes en me regardant droit dans les yeux.

Ma main droite se posa sur la bosse qui saillait sous ma jupe de cuir blanche. Elle passa ensuite le spencer en cuir à même la peau, ma main se mit en mouvement sur ma jupe.

Elle remonta le zip en s'arrêtant sous la poitrine, puis se saisit du petit slip noir. Elle me faisait assister à un vrai strip-tease "à l'envers"! Elle avait une manière de mettre ces vêtements empreinte d'un érotisme à réveiller un mort.

Je me caressais doucement. Elle m'encourageait de la voix (un peu) et du regard (beaucoup) à continuer. Elle acheva le spectacle en remontant la fermeture éclair qui fermait la mini-jupe.

Je ne m'étais pas trompé en préjugeant de l'effet que cette tenue faisait sur elle! Plus hot, c'était absolument impossible! j'avais une furieuse envie d'elle et je lui montrai en la prenant par la taille et en dévorant une nouvelle fois sa bouche.

Ma main caressa pendant les minutes qui suivirent chaque centimètre carré de son corps. Elle s'insinua sous la courte jupe rouge, joua avec le string, mon doigt esquissa une nouvelle pénétration à travers le triangle d'étoffe noire et satinée.

Je jouais avec la ficelle qui lui rentrait dans la raie des fesses, faisait claquer les attaches du porte-jarretelles sur ses cuisses longues et fermes. Je mordillais ses seins à travers le cuir du spencer, je passai ma langue entre les deux globes aux mamelons durcis par le désir, descendais ma bouche jusqu'à son nombril découvert tout en caressant son "cul de reine".

Elle répondait à mes caresses en y mettant tout son cœur, massant mon sexe à travers la longue jupe blanche que je portais toujours. Ses mains couraient sur la soie de mon chemisier, caressaient le mini blouson assorti à ma jupe.

Elle remonta même celle-ci pour jouer avec mon porte-jarretelles comme j'avais joué avec le sien! Tout en continuant ses caresses, elle me fit progressivement reculer jusqu'au bord de son lit, puis s'appuya sur moi suffisamment fort pour me faire basculer à l'horizontale.

Elle se redressa, retroussa ma jupe et fit glisser mon slip brésilien. Mais ma parole, elle est trempée! Tu mouilles comme une vraie nana! Oui, j'ai tellement envie de toi! Je vois, je vois.

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Elle rit, plongea sa tête pour avaler mon sexe et rabattit la jupe sur elle, tout en commençant à me sucer avec ardeur. Ses deux mains caressaient mes mollets bottés.

Moi, je caressais ses cheveux sous le cuir de la jupe en gémissant. De temps en temps, je bloquai ses mouvements en resserrant les cuisses. Je sentais que je ne tiendrais pas longtemps à ce régime là : Je ne veux pas jouir comme ça, je veux qu'on jouisse ensemble, les yeux dans les yeux.

Elle ressortit son visage à l'air libre, secoua sa longue chevelure rousse et me sourit. Elle se releva, ses jambes enserrant les miennes. Mes mains les saisirent, remontèrent jusqu'à la démarcation des bas sur la chair nacrée de ses cuisses.

Elle me dit alors : ok, installe-toi plus haut dans le lit. Je me déhanchais pour reculer ma tête jusqu'aux oreillers. Elle se mit à genoux au-dessus de moi, écarta le triangle de son string et descendit doucement à la rencontre de ma verge.

Précédant sa demande, je saisis celle-ci avec ma main droite pour qu'elle pointe dans la bonne direction. Quand elle sentit le bout de mon gland sous elle, elle utilisa son autre main pour s'ouvrir totalement et autoriser la pénétration.

Elle le fit entrer entièrement dans son intimité, stoppa la descente --non pas aux enfers, mais au paradis-, puis remonta d'un centimètre, s'arrêta à nouveau avant de redescendre d'autant et de recommencer plusieurs fois ce mouvement.

Je retenais mes soupirs et essayais de toutes mes forces de me contrôler. Je jouais avec la pointe de ses seins, puis ma main droite se mit à titiller son anus.

Je constatai avec satisfaction qu'elle se mordait les lèvres pour ne pas crier! Elle finit par s'empaler complètement, mais elle y mit un temps qui me sembla presque infini! Elle s'allongea complètement sur moi, et nous prîmes un instant pour reprendre tous deux notre souffle.

Je fis doucement glisser mes jambes sous les siennes. Lorsqu'elle sentit mes bottes enserrer ses hanches, elle se cambra un peu et poussa un gémissement de plaisir. Elle entama alors un lent mouvement de va et vient pendant que je m'accrochai à ses épaules.

j'eus alors l'impression que les rôles étaient inversés, et que c'était finalement elle qui me prenait et non l'inverse! Notre position faisait mettre ma verge à l'équerre, et décuplait mes sensations.

Mes yeux étaient plantés dans les siens. Je sentais le plaisir monter en moi et je la voyais elle aussi approcher de l'orgasme. Elle accéléra son mouvement. Mes jambes toujours enroulées autour de sa taille, je me mis à bouger aussi.

Sa respiration était aussi saccadée que la mienne. a bout de souffle, elle s'écroula sur moi au moment où j'explosai dans son ventre. Se souvenant de ce que j'avais souhaité, elle releva la tête pour accrocher mon regard : elle souriait.

Je répondis à son sourire et desserrai l'étau de mes jambes. Elle nous fit rouler sur le lit, toujours enlacés, afin de prendre un paquet de cigarettes dans le tiroir de son chevet.

Elle en alluma une et me la tendit. Elle défit doucement notre étreinte pour s'allonger contre mon flanc. Nous fumions sans dire un mot. Elle s'étira, poussa un soupir de bien-être et rompît le silence : Finalement, je ne regrette plus ma soirée! Moi, je ne l'ai jamais regretté, et maintenant encore moins! Gill, tu veux bien rester dormir ici? Mon problème, c'est que je dois emmener mon fils à l'école demain, enfin, tout à l'heure, et qu'il faut absolument que je dorme un peu, mais je n'ai pas envie que tu partes maintenant, comme un voleur.

Tu veux bien, dis? a condition qu'on passe toute la matinée à faire l'amour demain! Ca, c'est pas gagné, car son père doit passer prendre ses affaires, mais je ne sais pas à quelle heure il viendra.

c'est lui qui en a la garde ce week-end. Et bien tu lui mets les affaires de Florian sur le palier et il se débrouille tout seul, c'est pas compliqué! Je l'embrassai à nouveau en caressant son corps.

Gill, on se change et il faut qu'on essaie de dormir, ok? Tu me prêtes ta chemise de nuit? Oui, viens avec moi. Nous enlevâmes tous deux bottes, jupes et lingeries.

Elle me tendit une longue chemise de nuit noire en satin, qui descendait jusqu'aux chevilles, mais était fendue sur le coté gauche jusqu'en haut de la cuisse! Elle-même en prit une à peu près identique, mais rouge et avec des motifs en dentelle.

Dans les draps, elle se tourna sur le coté après m'avoir roulé un dernier patin. Je me collai dans son dos et frottai mon érection renaissante dans la raie de ses fesses tout en prenant ses seins à pleine main.

Gill, je te jure que Florian est impitoyable, dans trois heures à peine, si je ne suis pas allé le réveiller, c'est lui qui va débarquer, et je ne veux pas qu'il te voie avec moi au lit.

Je comprends, je te laisse dormir, mais je reste juste un peu collé à toi. Le sommeil nous gagna finalement tous les deux au bout de quelques minutes. Un peu avant l'aube, je me mis à rêver : Ghislaine et moi étions couchés, elle avait rejeté les draps au bout du lit et me caressait la poitrine, car dans mon rêve, j'avais de petits seins dont les mamelons durcis tendaient le satin de la chemise de nuit que je portais.

De la pointe de sa langue, elle me caressait le visage. Puis sa main quittait mes seins pour descendre entre mes jambes, et là, elle trouvait --manifestement avec satisfaction- un pénis qu'elle s'attachait alors à faire augmenter de volume.

Elle arrivait à ses fins, puis passait sa main sous la chemise de nuit pour le saisir et me masturber. c'est à ce moment précis que je m'éveillai pour constater que ce que j'avais cru être un rêve n'était que le "Bonjour" particulier que Ghislaine m'accordait!
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