Fétichisme transvestites jouer avec travesti #5

Fétichisme transvestites jouer avec travesti #5 | Elle fit prendre sa place à Karine, mais fit passer le gode entre mes jambes avant de s'agenouiller devant moi et de prendre en bouche tour à tour ces deux phallus.

Karine bougeait lascivement, et je sentais son gland me caresser les testicules. En même temps, elle m'embrassait dans le cou en me disant que j'étais belle et qu'elle avait envie de moi.

De son coté, Ghislaine faisait tout ce qui était en son pouvoir, et Dieu sait qu'il était grand, pour faire monter mon excitation! Tant et si bien que je finis par dire "Prends-moi" à Karine qui n'attendait que ça pour se dégager un instant.

Ghislaine enduisit de gel la pointe du gode qu'elle guida ensuite au bord de mon orifice. j'avais eu tort de craindre que Karine agisse avec brutalité. Au contraire, elle s'enfonça en moi avec douceur, tout en me tenant fermement par les hanches.

Le souffle court, je me regardai à nouveau dans le miroir : j'étais là, jambes tendues et écartées, et à nouveau, je profitais du spectacle de ma sodomisation. Cette position me permettait de voir encore plus distinctivement que tout à l'heure les détails de la scène : Karine ne portait plus que ses longs gants, ses cuissardes blanches, son porte-jarretelles de cuir noir.

et ce sexe de latex qui me procurait des sensations dans tout le ventre! Je trouvais qu'il se dégageait d'elle une puissance érotique considérable. Je voyais ses seins fièrement dressés.

Parfois, elle pliait un peu les genoux et lorsqu'elle se relevait, elle leur faisait caresser mon dos nu. De temps en temps, sa main droite délaissait ma hanche pour saisir ma queue et me masturber.

Je haletais. Au moment où elle s'enfonça à fond en moi, je me contractai malgré moi. Dans le mouvement, le gode faillit sortir de son vagin. Elle poussa un cri de surprise et se plaqua brutalement contre mon dos.

c'est ainsi que nous parvînmes ensemble à l'orgasme. Je me sentais épuisé de plaisir! Nous défîmes lentement notre étreinte. Je me rallongeai sur le grand matelas et observai Ghislaine : elle masturbait maintenant frénétiquement Karine avec le gode et lui disait : a ton tour de connaître deux orgasmes successifs sans même avoir le temps de reprendre ton souffle! La seule réponse de Karine fut un long gémissement de plaisir.

Nous allâmes tous les trois sous la douche, histoire de nous remettre de nos émotions. Je ne me trompais pas en pensant que cela donnerait lieu à de nouveaux débordements! Effectivement, les filles commencèrent tout de suite à se chamailler pour savonner ma verge qui se raidissait sous leurs caresses.

a mon tour, je me collais dans le dos de Karine pour lui savonner la poitrine. Sa peau était encore plus douce sous la mousse blanche. Au fur et à mesure que mes mains la caressaient, je sentais la pointe de ses seins se durcir.

Elle se cambrait, mais veillait à ce que ses fesses restent toujours plaquées sur mon sexe qui retrouvait son allant. Elle décida ensuite de m'épiler les aisselles à la crème dépilatoire et me fit lever les bras.

Elle se chargea du coté gauche tandis qu'elle laissa à Ghislaine le soin de s'occuper du coté droit. Quand l'opération fut terminée, elle fit volontairement tomber la savonnette et demanda à Ghislaine de la ramasser.

La perche qui m'était tendue était bien trop belle, et lorsque celle-ci se baissa pour s'exécuter, je m'empressais de lui mettre ma queue entre les jambes. Elle rigola en se rejetant en arrière, me gratifiant ainsi d'une caresse très agréable.

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En sortant de la salle de bains, nous tombâmes d'accord sur le fait de manger pour reprendre des forces. Comme il était près de minuit, les deux filles décidèrent de nous faire livrer une pizza plutôt que de chercher un restaurant.

c'est Karine qui sortit la première de la salle de bains après avoir enfilé un long déshabillé rouge à l'aspect satiné : Je passe la commande et on s'occupe de redonner à Gill un visage plus féminin, car démaquillé et avec les cheveux lavés mais pas encore secs, il fait un peu désordre, non? ok, mais avant de s'occuper de Gill, si on fouillait dans tous tes placards pour se rhabiller? Tu permets? d'accord! Venez avec moi dans la chambre.

La pièce était spacieuse et le mur opposé à la tête de lit était entièrement recouvert d'un immense placard à portes coulissantes, celle du milieu formant un grand miroir.

Notre hôtesse nous en expliqua l'agencement : Il y a trois penderies, et chacune a un style bien précis : les deux latérales contiennent les vêtements "classiques" que je peux mettre n'importe quand et celle du milieu, c'est pour tous les vêtements un peu sexy.

c'est dedans que je range notamment mes cuirs et mes fourrures que je qualifierai de "civilisées". Tout mon attirail "hard", par exemple la mini que tu avais tout à l'heure, Gill, mais aussi des habits en latex, c'est dans la pièce où on était tout à l'heure, celle que j'appelle le baisodrome! Si ça vous dit.

Et là, vous voyez, à chaque fois, il y a une partie qui fait commode pour y stocker les sous-vêtements ou ranger les bottes et les cuissardes bien à plat.

Ce qu'il y a au milieu me branche bien, moi. Dis, c'est bien foutu, ton système, c'est vrai! Tout en disant cela, Ghislaine écarta un à un les différents cintres : elle avait repéré une combinaison en cuir et voulait l'examiner de près.

Elle n'était pas doublée et tellement fine qu'elle en semblait presque élastique, comme une seconde peau. Karine venait de raccrocher le téléphone et l'exhorta à la passer telle quelle, sans remettre de sous-vêtements.

Ghislaine ne se fit pas prier et l'enfila aussitôt : la fermeture éclair démarrait très bas, au niveau du pubis. Karine la saisit doucement, tout en s'arrangeant pour que Ghislaine sente nettement la caresse de sa main sur son ventre.

Elle arrêta le zip avant que le cuir n'enferme les deux globes des seins. Le cuir la moulait merveilleusement, soulignant la beauté sculpturale de son corps. Elle compléta la tenue en enfilant dessous une paire de bottes noires à talons aiguilles.

Pendant qu'elle se chaussait, je découvris sur un cintre une robe sans manche, en cuir bien entendu, noire elle aussi. Le bas était orné d'un ourlet de fourrure de la même couleur, très douce au toucher.

l'arrière de cette robe s'arrêtait en dessous des omoplates. Mais si le devant paressait plus sage, semblant couvrir "juste ce qu'il faut" une poitrine féminine, je constatai en la plaquant sur moi qu'elle ne descendait qu'à mi-cuisses! Dis, Karine, si ça c'est "civilisé", qu'est-ce que ça doit être quand c'est sexy! Tu veux l'essayer, Gill? Vas-y! Je pense que tu devrais rentrer dedans sans problème.

Oh oui, je veux. Pas qu'un peu même. Mais il faudrait que je me refasse pousser les seins! Oh, j'ai une idée. Tu ne crois pas si bien dire, tiens! Ne bouges pas, j'ai un truc super.

Elle fouilla l'un des tiroirs de la commode et se redressa l'air triomphant. Elle tenait dans les mains deux faux seins en latex. Tiens, prends ça. Si tu préfères, j'ai aussi carrément le soutif garni, mais c'est le modèle "King Size", je te préviens.

Je le fais porter d'habitude aux mecs qui ne se tiennent plus dès qu'ils voient une paire de gros nibards. Tu sais, c'est pour les mater, et ça, ça leur rabaisse le caquet, je t'assure.

Mais j'ai pas l'impression que ça te branche, toi, je me trompe? Non, pas du tout, je préfère la qualité à la quantité!. Eh, mais dis-moi, ça a l'air super, ton truc! On fait comment pour les fixer? c'est adhésif? Oui, ça adhère tout seul à ta poitrine.

Tu sais, il y a longtemps que je ne les avais pas ressortis. j'avais presque oublié qu'ils étaient dans ce tiroir! La preuve, c'est que je n'ai pas pensé plus tôt à te les proposer.

j'ai vécu un temps avec un garçon qui acceptait parfois de se la jouer transformiste, mais seulement pour pimenter notre vie sexuelle. On avait trouvé ça dans un sex-shop, et ça marchait bien : il ne pouvait pas danser le twist avec, bien sûr, mais tant qu'il bougeait "normalement", ça tenait en place sans soutif! Elle poussa un long soupir et reprit : Enfin, c'est le passé tout ça.

c'est terminé maintenant. c'était lui? Je veux dire, tout à l'heure, quand on a parlé toutes les trois. Oui, c'était lui. Tiens, vas-y, tu vas pouvoir mettre cette robe comme on la mettrait Ghislaine et moi, je veux dire sans rien dessous.

Alors là, merci, Karine, vraiment, c'est génial. Merci. De rien, Gill, de rien. Elle m'aida à fixer les deux globes de latex sur ma poitrine. Quand ils furent en place, elle fit courir dessus le bout de ses doigts avant d'en agacer les pointes avec sa langue tendue.

Je ne pouvais bien sûr pas ressentir directement le contact de sa langue, mais une émotion trouble m'envahissait. Je levai les bras pour enfiler la robe : elle était entièrement doublée, et je fis volontairement durer la caresse de la soie sur ma peau, depuis mon torse jusqu'au bas-ventre.

Deux fines lanières de cuir la maintenaient sur mes épaules, tandis qu'une fermeture éclair qui démarrait à la naissance de la raie des fesses la faisait mouler mes hanches.

j'étais aux anges, et mon sexe récupéra à nouveau la rigidité qu'il perdait régulièrement par moments. Ghislaine me tendit une paire de cuissardes blanches. c'étaient en fait des genouillères en cuir mat, de forme cavalière avec une fente d'aisance sur la partie supérieure arrière de la tige.

Elles étaient entièrement doublées en peau, sauf justement la partie au-dessus du genou qui était doublée en fourrure, blanche elle aussi. Tiens, mets ça. Ca ira très bien avec ta robe! Karine sortit son nécessaire à maquillage et troqua son déshabillé contre l'ensemble et les bottes blanches que Ghislaine portait en arrivant.

décidément, il n'y avait pas qu'à moi que la mini-jupe et le blouson rouges faisaient de l'effet! Tout en travaillant à me redonner un visage le plus féminin possible, Ghislaine regardait Karine enfiler ses vêtements à même la peau.

Une fois habillée, elle me tendit un slip rouge et noir afin de "dissimuler un peu ce renflement peu féminin". l'expression nous fit rire tous les trois, et j'acceptai de l'enfiler.

La partie arrière était en vrai satin, tandis que le devant était entièrement constitué de dentelle finement travaillée. Le slip était vraiment sexy et à défaut de dissimuler mon érection, il la "canalisait" un peu en plaquant ma verge contre mon ventre! dès que les deux filles eurent fini de me remaquiller, je me regardai dans le miroir : une dizaine de centimètre de peau nue était visible entre le blanc des cuissardes et l'ourlet de fourrure noire de ma robe.

Heureusement, Ghislaine m'avait épilé les jambes vingt quatre heures plus tôt! Mes deux faux seins faisaient parfaitement illusion, surtout dans la mesure où le haut de la robe masquait en partie la ligne de démarcation entre le latex et ma peau.

Quant à mon visage, j'avais encore un peu de mal à le reconnaître sous la perruque et le maquillage. Comment me trouves-tu? Très féminine, si c'est à ça que tu penses! Oui, c'est ce que je me demandais.

Merci. Moins de trois minutes après le livreur de pizza sonna à l'interphone. Il devait avoir entre vingt et vingt cinq ans, et son prénom (Eric) était inscrit en lettres blanches sur sa combinaison de tissu rouge.

Ghislaine et moi étions installés sur le canapé du salon. Nous entendîmes Karine lui dire : Suivez-moi, s'il vous plaît, c'est par ici. Pas de problème, je vous suis.

où vous voulez! Oui, oui, où vous voulez. Et bien vous, vous ne manquez pas d'air, au moins! Ben non, pourquoi? Je ne sais pas, moi. Vous avez une petite copine, je suppose? Oui, mais ça ne m'empêche pas d'être prêt à vous suivre.

où vous voulez. Ah ben d'accord! Ce n'était pas un grand brun bronzé athlétique ou autre cliché du séducteur type, mais il se voulait sûr de son charme et semblait n'avoir aucun complexe! En posant le carton à pizza et la bouteille de rosé sur la table, il nous dévisagea Ghislaine et moi de pied en cap, puis il balaya la pièce du regard en s'attardant sur les jupes en cuir et les paires de bottes posées au bout du canapé.

Avant de sortir, il se retourna vers Karine et lui dit avec un clin d'œil largement appuyé: Surtout, si vous avez besoin de quoi que ce soit, n'hésitez pas à faire appel à moi.

Je m'appelle Eric.. De quoi que ce soit, d'accord? j'ai compris, merci.. Au revoir! Karine le raccompagna et nous dit en revenant : Vous voyez. Qu'est-ce que je vous avais dit? c'est tous les mêmes, les mecs! Bah, tu sais, il est jeune, pas trop mal, et il a envie de tester son charme, c'est tout.

Ce n'est pas que ça, Ghislaine. Il est comme tous les autres, il se laisse guider par sa queue, c'est tout! Il suffit qu'il voie une nana habillée un tant soit peu sexy pour avoir envie de la sauter.

c'est à ce genre de mecs que tu fais vivre ce dont on parlait tout à l'heure? Oui, Gill, exactement. Avec ces mecs-là, je n'ai qu'un mot à dire et ils viennent ici.

Après, je peux faire ce que je veux d'eux, ils sont prêts à n'importe quoi dans l'espoir de me baiser. Mais en fait, c'est moi qui mène la danse.

Et au final, c'est moi qui les baise! Je ne suis pas d'accord avec toi, Karine. Tu généralises beaucoup trop. Tous les mecs ne sont pas des salauds, il en existe quand même quelques-uns uns de biens! Tout en parlant, nous nous étions mis à table et avions attaqué la pizza.

Pendant le repas, nous parlâmes de choses et d'autres, de musique et de cinéma notamment. Puis, à propos d'un film, la conversation revint sur ce sujet. Elle montait toute seule en pression et finit par dire : Tiens, et bien tu sais quoi? On se demandait à l'instant que manger pour le dessert, vous allez voir! Elle décrocha le téléphone et commanda un pot de crème glacée.

Elle termina en précisant qu'Eric nous avait déjà livré une pizza une demi-heure avant, et que puisqu'il savait où se rendre, autant que ce soit lui qui soit chargé de cette commande.

Karine, attends, je ne sais pas pour Ghislaine, mais moi, je n'ai pas envie de partouzer. Jusqu'à maintenant, ça n'a pas eu l'air de te gêner. Et puis qui te parle de partouze? Je veux juste,.

je vais juste vous montrer qu'un mec ne réfléchit plus dès qu'il bande. La tension de la bite doit leur déconnecter les neurones, ah, ah, ah! Je suis comme Gill, je n'ai pas envie de me foutre à poil devant lui, on est d'accord? Oui, oui, pas de problème.

La seule chose que je vous demande, c'est de vous embrasser et de vous caresser un peu toutes les deux, pas plus. On est ok, vous restez habillées, ça vous va? ok, ça va pour moi! Ca va pour moi aussi.

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Karine descendit un peu le zip du spencer de cuir rouge qui dévoilait maintenant à moitié ses seins. Elle ne portait pas de bas, mais elle enfila devant nous un string en dentelle blanche.

La jupe était toujours aussi courte et aussi excitante. même si j'étais totalement subjugué par Ghislaine, je dois reconnaître que je trouvais cette brunette vraiment très sexy, "très bandante" disent les hommes dans ces cas-là.

Un quart d'heure plus tard, Eric était à la porte. Quand il pénétra dans le salon derrière Karine, son regard était littéralement vissé sur les fesses moulées par le cuir rouge.

Pour ma part, j'étais assis un peu en biais dans le canapé à la droite de Ghislaine, les genoux bien serrés, ma main plaquée sur son entrejambe. Elle avait posé sa main gauche sur mon sein et son bras droit enserrait mon épaule.

Devant ce spectacle, il s'immobilisa, la bouche ouverte. a coté de lui, Karine riait sous cape, attendant de voir la suite de sa réaction. Vous. Quoi, nous? Vous êtes lesbiennes? Je veux dire, toutes les trois? Disons que nous sommes.

ouvertes à toutes les expériences! Quoi, ça vous choque? Non, enfin, oui. Enfin, je ne sais pas, mais. Il manque forcément quelque chose,. je veux dire. Karine bichait littéralement devant le malaise qui s'était emparé du jeune homme.

Elle alla ranger la glace dans le congélateur, la paya et repartit à l'attaque de plus belle : Vous voulez dire qu'une femme ne peut pas monter au septième ciel si il n'y a pas un mec pour lui tenir l'échelle et la faire grimper? c'est pas ça, mais.

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Il me semble que. Mais quoi? Que quoi? Une femme ne peut pas parvenir à l'orgasme sans être pénétrée par le sacro-saint phallus d'un homme? c'est ça? Tiens, pour voir, demandez à votre petite amie ce qu'elle en pense, vous risquez d'être surpris, moi je vous le dis! Vous savez, mon petit Eric, une amie de ma mère avait l'habitude de dire "On est bien mieux toute seule qu'avec un homme : au moins, comme ça, on sait quand il faut commencer et quand il faut s'arrêter"! Qu'est-ce que vous pensez de cela, hein? Mais c'est pas pareil, là, vous n'êtes pas toute seule.

c'est finement observé, mon cher, je dois le reconnaître! Mais une femme sait comment réagit une autre femme. Elle a la même sensibilité, vous comprenez? Alors, de temps en temps, ça fait du bien.

Elle me regarda droit dans les yeux et reprit: Je sais qu'il existe des hommes qui font attention à tout ça, qui savent être à l'écoute de l'autre, mais c'est plutôt rare.

Je ne suis pas d'accord avec vous. Ah oui, vous n'êtes pas comme ça vous, peut-être? Vous êtes toujours attentionné, vous, hein? c'est sûr, vous l'êtes tellement qu'il y a une heure vous m'avez dit droit dans les yeux que le fait d'avoir une copine ne vous empêcherait pas de me suivre "où je voulais"! Pour se redonner une contenance, il posa son casque sur une chaise.

Un instant déstabilisé, il réussit malgré tout à retomber sur ses pieds : Ca n'a rien à voir. c'est juste que. j'admire toutes les belles choses qui sont sur terre! "La chose" vous remercie! Ce n'est pas ce que je voulais dire, je suis sûr que vous avez très bien compris.

Ce que je comprends surtout, c'est que vous ne pensez qu'avec votre queue. n'importe quoi! Ah oui? même sans vous voir, j'ai senti le poids de votre regard sur mes fesses il y a deux minutes.

Quand vous êtes venu tout à l'heure pour la pizza, j'ai vu, on a vu toutes les trois comment vous nous matiez! Je suis sûre que vous avez raconté ça à vos copains livreurs en rentrant, quelque chose du genre "Putain les mecs, vous auriez du voir ça, trois canons, hyper sexy, je suis sûr qu'elles doivent être bonnes!".


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  • Peut-être même que vous vous êtes branlé en y repensant. Bon, ça suffit. là, vous pétez un plomb, je me tire, moi. Ben voyons, c'est trop facile! Arrêtez votre cinéma, Monsieur le macho! Je suis prête à parier que vous bandez, oui, là, maintenant, et que ça vous excite d'imaginer que vous auriez pu vous faire trois nanas d'un seul coup, surtout des bi-! Ca vous plairait de penser que vous leur avez offert sur un plateau "ce qui leur manque forcément", n'est-ce pas? Tout en finissant sa tirade, elle s'était rapprochée de nous.

  • Elle s'assit à califourchon sur moi et colla sa bouche contre la mienne. Je lui caressai la poitrine. Elle fit onduler son bassin d'avant en arrière en se frottant lascivement contre le bas de ma robe.

  • Dans le mouvement, elle avait un peu retroussé la minijupe et dévoilait à moitié le string de dentelle blanc aux yeux exorbités d'Eric. Je regardai dans sa direction : il n'avait pas bougé.

  • Karine s'en aperçut aussi et tourna sa tête vers lui. Allez, je suis sûre que vous en mourrez d'envie : branlez-vous! Je vous interdis de nous toucher, mais je vous autorise à vous soulager.

  • Il restait toujours immobile, comme sonné. néanmoins, on pouvait voir très distinctement que sa combinaison de tissu rouge était déformée au niveau du ventre! Karine se releva et porta une nouvelle estocade : lentement, elle fit descendre entièrement la fermeture éclair de son blouson, et redressa fièrement sa poitrine.

  • Il fit un pas en avant, mais elle l'arrêta d'une voix cassante : j'ai dit on ne touche pas! Ghislaine posa la tête sur mon épaule et sa main s'insinua sous ma jupe.

  • Je l'embrassai en caressant ses seins à travers la fine épaisseur de cuir. Nous voulions malgré tout voir tout ce qui se passait : Karine se caressait elle aussi la poitrine, et Eric finit par craquer.

  • Il fit tomber à ses pieds sa combinaison et son caleçon et s'astiqua frénétiquement le manche. Ghislaine me souffla à l'oreille qu'il était bien monté mais qu'elle n'avait envie que de moi.

  • Sa main était remontée jusqu'à mon sexe et elle le caressait à travers les dentelles de ma petite culotte. Karine se retourna et nous sourit d'un air vainqueur. Elle regarda avec gourmandise la main de Ghislaine qui s'affairait sous ma robe.

  • Elle asséna alors au jeune garçon le coup de grâce en achevant son strip-tease : tout en ondulant du bassin, elle ôta son blouson. Ma main descendit à la recherche de la vulve de Ghislaine en frottant doucement le cuir de sa combinaison.
Elle l'emprisonna entre ses jambes. Je lui soufflai : Tu mouilles? Oui, j'ai envie de toi. Mon doigt se débattait entre ses jambes serrées. Tu as envie de moi, là, maintenant?.

Tout de suite? Oui, mais je ne peux pas. Je ne veux pas. Pas devant lui! ok, tu as un sursis. Tout à l'heure, juste toi et moi, on le fera.

Oui! Karine fit glisser sa minijupe au sol, puis enleva finalement son string dans un mouvement très érotique. Elle le fit un instant tournoyer sur son doigt, puis elle le lança dans sa direction en lui disant : Tiens, je te le prête.

Tu as deux minutes! Il s'interrompit un instant pour l'attraper au vol et le porta à ses narines. Il continuait à nous regarder toutes les trois, mais son excitation l'avait emporté sur ses préjugés.

Sans se préoccuper de nous, il le mit autour de sa verge et sa main reprit son va et vient frénétique. Karine l'encourageait de la voix en riant. Les deux minutes ne s'étaient pas écoulées qu'il explosa dans la dentelle.

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Il resta là, presque immobile, la culotte blanche souillée de son foutre masquant toujours son gland. Il y a des serviettes en papier sur la table. Essuie-toi et tire-toi..

Allez, rends-moi ma culotte, je vais la mettre au sale tout de suite. Je. Je t'en prie, ne dis rien. Rhabille-toi et retourne travailler, ou bien rentre voir ta copine, fais ce que tu veux, je m'en fous! Tu m'as juste une fois de plus donné la preuve qu'une fois qu'il est excité, un mec ne sait plus réfléchir.

Du bout des doigts, il tendit le string à Karine. Elle le saisit à pleine main sans sourciller. Elle ne broncha pas plus lorsque sa main entra en contact avec du sperme qui s'était agglutiné sur le fond de sa lingerie.

Elle avait gagné son pari, mais ne semblait pas plus que ça savourer sa victoire. Elle se dirigea vers la salle de bain en secouant la tête. Eric, lui, semblait toucher le fond.

Le caleçon toujours sur les chaussettes, il saisit une serviette en papier et se retourna pour essuyer les dernières gouttes qui perlaient au bout de son sexe. Puis il renfila sa combinaison, prit son casque et se dirigea vers la porte sans dire un mot.

Lorsque Karine revint dans la pièce, j'avais largement ouvert la combinaison de Ghislaine, afin de pouvoir lui dévorer les seins. Pendant que ma langue s'activait sur ses tétons raidis par le désir, je fis descendre au maximum la fermeture éclair.

Je constatai qu'elle mouillait abondamment et devinai que son excitation avait certainement laissé des marques sur l'entrejambe! Karine, elle, avait gardé aux pieds les bottes de Ghislaine, mais avait remis son déshabillé rouge.

Elle posa soigneusement sur le dos d'une chaise l'ensemble de cuir qu'elle avait jeté un peu n'importe où lors de son strip-tease. Ghislaine l'appela : Viens là, viens. On va se donner du plaisir une dernière fois toutes les trois, et après, on lève le camp.

Ca a été une très bonne soirée, mais je commence à être crevée! Non, je peux pas. j'en ai marre. Je suis dégoûtée là! Tu vois, sincèrement, ça ne me fait même pas plaisir, ce qui vient de se passer! Ca me fout les boules d'avoir eu raison.

Arrête de te faire des nœuds au cerveau, Karine! Allez, viens. Approche-toi. détends-toi! Elle obéit et se tînt debout devant elle. j'avais ressorti ma main de son entrejambe et j'embrassai à travers le cuir son ventre plat et ferme.

Karine se relaxait au fur et à mesure que les longues mains de Ghislaine caressaient ses hanches et ses fesses à travers le satin de son déshabillé. Au bout d'un moment, elle se cambra, noua ses doigts dans la chevelure de la jeune femme rousse et guida sa tête jusqu'à son pubis.

Je me levai alors pour me coller contre son dos et frotter ma queue à travers ma robe contre le satin rouge. Je plaquai mes mains sur ses cuisses et retroussai progressivement sa chemise de nuit jusqu'à la taille.

Ghislaine embrassa sa toison pubienne et je sentis ses mains lui écarter les fesses afin que mon phallus coulisse encore mieux tout le long de sa raie. Devinant les pensées de Ghislaine, j'amplifiai et accélérai progressivement mes mouvements de va et vient.

Karine remonta son bras droit pour me saisir par la nuque et se tordit le cou pour m'embrasser sur la bouche, puis elle se raidit soudainement et poussa un cri de jouissance.

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Je m'agenouillai alors devant Ghislaine qui était restée assise et lui enlevai ses bottes l'une après l'autre. Je portai la deuxième à mes narines et respirai avec délice l'odeur de la doublure en peau chauffée par ses pieds.

Je tendis ma langue et la promenai sur le haut de la doublure. Finalement, je la reposai délicatement au sol. Elle me regarda en souriant. Je me redressai un peu et Karine m'aida à dénuder ses épaules.

dès qu'elle la fit se lever, je fis glisser très lentement le cuir de la combinaison sur ses hanches, puis sur son bassin et enfin sur ses cuisses effilées.

Quand j'arrivai aux genoux, je plongeai la tête entre ses jambes pour lécher la cyprine qu'elle avait laissé échapper à l'intérieur de la combinaison. j'achevai de la dévêtir et collai ma bouche contre son sexe humide de désir.

Karine se mit à lui caresser les seins et à l'embrasser tout en léchant son cou et son visage. Elle poussait de lents gémissements de plaisir et gardait les yeux mi-clos.

Karine s'accroupit et lui embrassa langoureusement l'intérieur des cuisses. Puis elle se releva en écartant les jambes au-dessus de ma tête et nous continuâmes nos caresses jusqu'à ce qu'elle parvienne à son tour à l'orgasme.

Je sentais son corps tout entier frissonner. Je maintins mes mains plaquées sur ses fesses et la serrai contre moi pour ne pas qu'elle bascule. En levant la tête vers elle, je souris en voyant ses yeux verts noyés de bonheur.

Je me relevai lentement en frottant mon corps contre son corps nu, puis m'écartai délicatement. Je leur proposai d'aller à la cuisine pour nous préparer un café, mais Karine déclara : Non, non, le café attendra encore un peu.

d'abord, il y a la glace, mais surtout, il y a toi, Gill. Tu n'es vraiment pas comme la majorité, et il n'y a pas de raison que Ghislaine et moi ne te témoignions notre gratitude.

Allez, reviens, assieds-toi sur le bord du canapé, là. j'obtempérai et Ghislaine me fit allonger et écarter un peu les jambes. Elles s'agenouillèrent toutes deux, la brune à ma droite, la rousse à gauche, et, ensemble, firent glisser mon slip de dentelle au sol.

Ghislaine dégagea ma verge raidie de sous ma robe, puis elle promena mon gland contre l'ourlet de fourrure. Mon sexe avait été tellement sollicité depuis un peu plus de vingt quatre heures qu'il en devenait presque douloureux.

j'avais malgré tout une envie folle de ces deux filles. Mon excitation ne retombait pas. Je poussai des soupirs entrecoupés d'onomatopées et de gémissements. Ceux-ci redoublèrent quand elles commencèrent à me sucer toutes les deux ensembles.

Elles se roulaient des pelles avec ardeur et ma queue se retrouvait tour à tour dans la bouche de l'une et de l'autre! Leurs langues se cherchaient tout en s'enroulant autour de mon gland.

Elles savaient maintenant parfaitement ce qui m'excitait, et je sentais leurs mains courir sur mes cuissardes ou sur mes hanches gainées de cuir. Parfois, l'une prenait le dessus sur l'autre, alors elle engloutissait entièrement ma hampe dans sa bouche.

Dans ces moments là, je dois reconnaître que Karine était particulièrement douée. De sa langue, elle repoussait mon gland jusqu'au bord de ses lèvres, puis elle l'aspirait jusqu'au fond de la bouche et répétait ce mouvement de plus en plus vite.

En temps normal, je suis certain que je n'aurais pas résisté longtemps à un tel traitement, mais là, avec tout ce que j'avais déjà donné de moi-même, la fellation semblait pouvoir s'éterniser.

Parfois, un spasme m'envahissait, mais Karine et Ghislaine avaient juré de ne pas s'arrêter tant que je n'aurai pas éjaculé! c'est Karine qui fixa alors les règles d'un nouveau jeu : On s'empale sur Gill chacune à notre tour, et on a une minute pour le faire jouir.

Si on n'y arrive pas dans la minute, c'est l'autre qui prend la place et qui essaye, d'accord? ok, je commence? Non, c'est moi qui ai eu l'idée, donc, c'est moi qui m'y colle, ah, ah, ah! Et moi, je n'ai pas le droit de donner mon avis? Pour toute réponse, elle se plaça face à moi, saisit ma verge dans sa main gauche, écarta ses grandes lèvres de l'autre et la fit plonger dans son vagin en s'asseyant sur moi.

Elle colla ses lèvres contre les miennes et bougea son bassin d'avant en arrière. Elle prit ses seins à deux mains et les frotta contre les miens, mais au bout d'une minute, elle dût céder la place à Ghislaine.

Elle s'approcha, absolument nue, et après avoir retroussé encore un peu plus haut ma robe, elle s'assit sur moi afin que je la prenne en levrette. Elle enroula ses chevilles autour de mes mollets bottés et se renversa en arrière, pesant de tout son poids sur ma poitrine.

Je saisis la sienne à pleines mains tout en embrassant ses longs cheveux roux. Elle avait une manière de contracter son bas-ventre tout en se cambrant sur moi qui me donnait l'impression qu'elle voulait aspirer mon pénis.

a mon tour, je me cambrai pour maintenir mon corps à l'horizontale et la pénétrer ainsi plus profondément. Sentant que la minute allait arriver à expiration, elle accéléra son mouvement.

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Je poussai un grand cri et déchargeai alors en elle. Je la sentis sourire lorsque mon corps épuisé se laissa retomber sur le canapé. Sentant que je commençais à débander, elle se retira doucement pour s'asseoir à coté de moi.

Je me sentais vidé comme je ne l'avais jamais été, mais pour rien au monde je n'aurais voulu céder ma place! Bonne perdante, Karine alla préparer du café. Pendant ce temps, Ghislaine enfila les sous-vêtements de cuir, les bas, ainsi que la jupe et les bottes bleues que je portais en arrivant.

Le café était corsé et nous fit du bien à tous les trois. Il était à présent deux heures du matin. Ghislaine se leva et commença à desservir la table.

Karine, ça a été une soirée comme on en fait peu, je dois dire! Mais entre le peu de sommeil de la nuit dernière et les excès de plaisir, je ne tiens plus debout.

Et puis, tu sais ce qu'on dit, "les meilleures choses ont une fin"! Oui, tu as raison, il faut bien s'arrêter à un moment ou un autre. Tu fais quoi, Gill? Je rentre avec Ghislaine, Karine.

Je suis vraiment content de te connaître, mais. On se reverra? Non, pas que toi et moi, je veux dire tous les trois. Je pourrais vous présenter Linda! On pourrait se faire une super soirée toutes les quatre! Qui c'est, Linda? c'est mon amie avec un grand 'a'.

Ouh là là, je sens le traquenard, moi! Ca y est, c'est ta haine des mecs qui te reprend, et tu veux me tuer, hein, c'est ça? Arrête de dire des bêtises, Gill.

Allez, file. Ne fais pas attendre Ghislaine, et fais très attention à elle! Une dernière fois, je me changeais : je rendis à Karine son slip arachnéen, ses cuissardes et sa robe.

j'allais décoller les faux seins, mais elle posa sa main droite devant sa bouche tout en tendant son bras gauche devant elle : Non, Gill. Garde-les! Ca me fait plaisir de te les offrir.

Moi, je n'en ai pas réellement l'usage, je veux dire, ils ne me servent plus à rien maintenant. Alors plutôt qu'ils prennent la poussière au fond d'un tiroir, peut-être qu'à toi, ils pourront servir.

De temps en temps. Je sais pas quoi te dire, Karine. Ben alors, dis juste "merci Karine"! Merci, Karine. Je déposai un chaste baiser sur sa joue. Elle me le rendit et hocha la tête en souriant : Finalement, c'est peut-être un signe du destin.

Tu es peut-être l'androgyne qui me permettra d'exorciser mes vieux démons, celui qui me réconciliera avec les hommes et avec les femmes. Je ne sais pas, Karine, mais ce qui est sûr, c'est que ça fait suffisamment longtemps que tu te bouffes la vie.

j'espère sincèrement que tu pourras vivre tout ça plus simplement. Et si je suis le détonateur dans cette histoire, et bien, tant mieux! Mais tu sais, je n'ai pas le sentiment d'avoir fait grand' chose pour toi.

Oh si, Gill! a toutes les deux en une soirée, vous avez fait beaucoup pour moi, je te jure. j'achevai de me rhabiller et nous prîmes congé de Karine en lui promettant de revenir la voir.

Dehors, la nuit était douce. Tout en marchant lentement, le bras de Ghislaine accroché au mien, je pensais que chacune de mes enjambées devait dévoiler l'espace d'un instant ma minijupe.

Les talons aiguille de nos bottes claquaient sur le trottoir. Presque machinalement, je caressai de ma main gantée le col de fourrure claire du manteau. Le regard fixé au loin, j'entendis Ghislaine me murmurer : Ca va, Gill? Oui, oui, ça va.

Je suis crevé, mais ça va! Drôle de soirée, hein? Ah ça, tu peux le dire! Je n'aurais jamais cru que le baby-sitting pouvait mener aussi loin! La baby-sitting? Ah oui, c'est vrai! Ca a commencé comme ça!.

Et tu regrettes? Quoi? d'avoir accepté de venir faire du baby-sitting mercredi dernier. La seule chose que je regrette, c'est de ne pas avoir su plus tôt que tu avais besoin d'une baby-sitter! Tu es bête! Dis, Ghislaine, que va t'il se passer maintenant? Je veux dire, comment ça va évoluer, nous deux? Elle ne répondit pas.

Nous arrivions à la voiture, elle me tendit les clefs et me dit : Ca ne te dérange pas de conduire, je suis complètement claquée! Si tu veux. Je la regardais s'installer dans la voiture.

Elle se rejeta en arrière sur l'appui-tête, ferma les yeux et poussa un long soupir. Je démarrai en douceur. Gill? Oui. Je. Je voulais te remercier. De quoi? d'avoir dit que tu voulais rentrer avec moi! c'est que.

Chut! Ne dis rien, Gill, ne dis rien. On rentre. On rentre à la maison dormir. Et on verra plus tard de quoi demain sera fait!
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