Une famille synchrone, Histoires et récits érotiques

Une famille synchrone, Histoires et récits érotiques | Ma vie sentimentale et sexuelle a vraiment commencée lorsque j’ai eu quarante-cinq ans, soit vingt-cinq ans après mon mariage. Daniel, mon époux, a trois ans de plus que moi et avait la prétention de tout connaître, hélas, il n’en était rien. Il est démonstrateur-vendeur d’ustensiles de cuisine dans les foires et salons. Notre fils, Alfred le seconde depuis maintenant huit ans dans ce petit commerce très rentable, les études n’étaient pas son fort. Ils sont quelques fois absents deux semaines consécutives, la saison se poursuit environ huit mois de l’année.

J’aime énormément mon mari, avec notre fils, ils sont comme deux frères aussi bien dans le travail que dans les loisirs. Alfred est marié avec Amélie depuis deux ans, c’est un couple parfait. Daniel et moi vivons aisément dans un bel appartement dans une luxueuse résidence de la banlieue de Bordeaux.

Un jour, un appartement sur notre palier s’est libéré, nos enfants en ont profité pour l’acquérir, ce qui nous a rapprochés pour le plus grand bonheur de nous quatre.

Daniel est un garçon très séduisant, grand brun, toujours élégant, Alfred est tout à son image, la réplique parfaite avec quelques années de moins. Sa femme, Amélie, est blonde au visage radieux, à peu près la même taille que moi, juste plus forte de la poitrine. Alors que moi j'ai une petite poitrine, avec malgré tout, des fesses importantes. Très brune, comme mon mari, je pense plaire aux hommes, mais c’est surtout mon mari qui m’intéresse. J’ai beaucoup de chance d’avoir connu ce garçon aux idées très larges, pas jaloux et qui me laisse faire tout ce que je veux.

Après l’aménagement de nos enfants, nous nous sommes encore plus attachés. Avant, ils étaient installés à deux cents kilomètres d’ici, dans la région de Amélie, ce qui occasionnait quelques difficultés sur le plan professionnel. La chance ne m’a pas quittée, car c’est grâce à ces « nouveaux voisins » que notre vie s’est transformée.

Amélie a, par le fait, le même emploi du temps que le mien, c'est-à-dire que notre seul travail est de nous occuper de notre personne et de l’appartement. Ce qui m’a permis de la connaître un peu mieux. Nous entendons très bien, son caractère, sa joie de vivre et son sourire éternel m’apporte une seconde jeunesse. Nous sortons ensemble presque tous les jours pour un ciné, un resto, chiner dans les magasins, on s’amuse à se faire draguer et à allumer les mecs. Nous sommes devenues de véritables amies intimes.

Après sept ou huit mois, un après-midi, nous avons décidé d’aller au cinéma, le temps était pluvieux, je me rends chez Amélie pour la prendre. Elle vient m’ouvrir et m’annonce qu’elle n’est pas prête, elle me propose de me servir un café, en fait, elle n’arrive pas à se décider pour une robe, une jupe ou un pantalon. Prenant les choses avec humour, je lui propose ma robe, ça va la changer, moi j’enfilerais un de ses pantalons.

Chiche, me lança-t-elle, en retournant dans sa salle de bain pour se déshabiller. Elle revient en sous-vêtements, une petite culotte blanche et un soutien-gorge très, très sexy. Ces deux pièces tranchent sur sa peau bronzée, je n’avais jamais vu Amélie en sous-vêtements. Dans mes pensée, je me dis que mon fils à de la chance d’être avec cette divine créature à qui je ne trouve aucun défaut.

L’apparition subite de ce corps superbement moulé me donne un frisson. Je reste figée, éblouie par cette vision. Amélie constate mon comportement et me demande si je vais bien, je réponds par l’affirmative, mais la malheureuse s’approche pour me toucher le front. La chaleur et l’odeur du corps presque nu accentuent mon désarroi. Je suis dans un état second. Bien que je ne me sois jamais demandé si j’aimais les femmes, là, je suis troublée par cette anatomie, je suis fascinée par ma bru.

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Je lui confesse ce qui m’arrive, touchée par mes louanges sur sa grande beauté, elle s’écarte un peu pour faire quelques pas comme le ferait un mannequin et surtout mettre un peu de gaieté afin de me remettre de mes émotions. Elle s’amuse à faire des allers-retours dans le salon, en bombant le torse pour mettre sa poitrine en valeur, elle prend des poses suggestives, ce qui me déclenche une excitation comme une jeune amoureuse. Je finis par rire de cette situation qui me dérange en sa présence.

  • Amélie prend plaisir à présenter ses charmes plus près de moi pour augmenter mon trouble. Je suis dans un état second et ambigu, une force me pousse à toucher cette poitrine, Amélie s’immobilise subitement au contact de ma main, elle me regarde dans les yeux, je lui dis :
  • Vous êtes la plus belle femme que je n’ai jamais vue !
  • Touchée par mes paroles, elle prend doucement ma main et la promène sur son corps, je me laisse entraîner dans ce chemin tortueux, ma main est collée à la peau chaude du ventre à la limite de la culotte, je ne me reconnais plus, je caresse ce corps, j’ai un peu honte de moi, je voudrais partir mais la chaleur m’envahit, mon entrecuisse est mouillé, même avec mon mari, je n’ai pas connu une telle ferveur. J’ai peur, soudain, de ce qui va, peut-être, de ce qui risque de se passer. Je me sens aussi vulnérable que si j’avais. J’ai envie de fuir à toutes jambes. J’ai la gorge nouée et j’ai très chaud. Je suis inconsciente de mes gestes, assise dans ce canapé, je caresse cette femme presque nue debout devant moi.
  • La douceur de la peau est surprenante, je n’ose plus lever la tête pour regarder Amélie, je fonds littéralement, elle met sa main derrière ma nuque et m’attire contre sa poitrine, j’ai le visage entre ses seins, je sens le battement de son cœur qui court à toute vitesse, je passe mes bras autour de son corps pour la serrer très fort, nous restons collées l’une à l’autre sans rien dire quelques instants. Elle pose tendrement sa joue sur ma tête, le nez dans mes cheveux. Je ferme les yeux et j’incline légèrement ma tête sur un côté, son visage glisse sur mon épaule. C’est très doux. Nous restons serrées l’une contre l’autre. Sa respiration est plus courte et je la sens brûlante sur ma peau, comme la mienne, comme si nous avions la fièvre l’une et l’autre. Je sens le parfum naturel de son corps, son parfum de femme. Je sens sa chaleur se répandre en moi. Je fonds, une douce chaleur se répand dans le bas de mon ventre, dans tout mon corps. Je suis trempée de désir. Amélie me caresse les cheveux, une force inconnue me pousse à dégrafer son soutien-gorge comme me le fait Daniel, j’enlève le minuscule vêtement, aidée par Amélie, c’est une poitrine magistrale que je découvre, j’enfuis à nouveau mon visage entre ses deux monticules en respirant les moiteurs corporelles.
  • Ma bru prend mon visage et lentement me présente un sein comme elle le ferait pour un bébé. Je prends, sans hésiter, le mamelon dans ma bouche et le suce naturellement. Amélie prend des bouffées d’oxygène, son corps devient plus chaud, je change de sein, Amélie plonge sa main dans l’encolure de mon chemisier pour me caresser le dos. Je suce et suce encore ses seins, mon plaisir grandit, on se détache, finalement, au bout de longues minutes en se regardant, je la trouve encore plus belle, plus désirable, elle s’approche de mon visage, prend mes lèvres, nos bouches se soudent dans un baiser infernal et interminable.
  • Amélie me ramène à la réalité en disant de sa voix la plus douce :
  • Il y a longtemps que je rêvais de cet instant, de t’embrasser, de caresser ton corps, je n’ai jamais osé te le dire et aujourd’hui, c’est venu tout seul !

Amélie vient d’employer le tutoiement à mon égard, surprise par ses paroles, je me recolle contre elle pour approuver son désir, nous étreignons fortement, puis elle dit, sans honte ni chichi :

C’est bien beau tout ça, mais je veux voir ce que tu nous caches là-dessous... ! Dit-elle, en montrant mes vêtements... Allez, enlève-moi tout ça, mets-toi à l’aise, le cinéma, ça sera pour une autre fois !

Terminant sa phrase, elle déboutonne ma robe, je m’abandonne, soumise à sa volonté.

Je me retrouve nue comme elle qui vient d’enlever sa culotte, on s’admire, je renouvelle mes compliments, elle me les retourne en disant qu’elle adore mes petits seins et la parfaite rondeur de mon derrière proéminent. Le désir monte, nous nous jetons dans les bras l’une à l’autre, on se laisse glisser sur le tapis épais, nos baisers, nos caresses n’ont pas de fin, nos jambes sont entrelacées, je frotte ma chatte trempée sur sa cuisse moite et lui demande de se laisser faire. Mes mains sont parties à la découverte de ce corps offert, c’est enivrant, ma bouche a explorée presque chaque parcelle de sa peau. J’ai passé mes mains sous ses fesses comme pour approcher la petite forêt blonde bien taillée de mes lèvres, je découvre le coquillage qui dégage des arômes inconnus pour moi, je goûte cette chose sublime. Je dévore la chatte et me découvre une inspiration ignorée, c’est un délice. Amélie appréciant mon œuvre, se démène pour me rendre le même service, elle a mon intimité sous ses yeux, je ne sais plus où je suis, ni l’heure qu’il est, nous sommes l’une à l’autre, on se lèche, on se mange, on se secoue, on s’exprime bruyamment, les orgasmes se suivent, puis au bout de combien de temps, on s’effondre, épuisées toutes les deux.

C’est à partir de ce jour que j’ai commencé à connaître le vrai plaisir du corps, nous avons passées cette première nuit ensemble comme un couple amoureux. Cela fait maintenant plusieurs semaines que nous renouvelons nos petits jeux favoris et qui restent pour l’instant notre jardin secret. Néanmoins, nous nous promettons de tout avouer un jour à nos maris.

Quelques mois ont passées, nous décidons toutes les deux de mettre Daniel et Alfred au courant de nos petits jeux, il est difficile de garder ce secret à ceux qu’on aime. Cela ne va pas être facile, malgré leur grande ouverture d’esprit, comment prendront-il la chose, leurs femmes se gouinent, en plus, la mère et la belle-fille, il peut y avoir du grabuge, cependant nous ne pouvons plus leur cacher notre secret, c’est l’amour qui commande.

Après maintes réflexions, nous avons décidé d’organiser un dîner où on leur confessera nos petites distractions intimes. Le soir en question est arrivé, nous n’en menons pas large, mais c’est bien décidé dans notre programme, connaissant parfaitement nos hommes, on a prévu une petite mise en scène.

Le dîner se passe bien comme à l’habitude, après des apéritifs volontairement copieux et pas mal de vins au cours du repas, nous sommes assez gais tous les quatre, des histoires salaces sortent de toutes les bouches. Je fais passer les hommes au salon pour prendre encore quelques alcools sur la table basse. Je mets une musique douce de danse, règle une lumière sombre, afin de créer une atmosphère appropriée, il faut réunir toutes les conditions pour que notre message passe sans trop de heurts. Nos hommes largement échauffés par les différents alcools et nos maris ont l’air d’être en très bonne disposition. D’un commun accord, largement improvisé, Amélie et moi, entamons un slow, nous nous enlaçons tendrement, Daniel et Alfred, abasourdis, s’arrêtent soudainement de plaisanter et de rire, muets, ils nous regardent danser lentement. Il faut dire qu’au fur et mesure que la danse évolue, nous nous serrons l’une à l’autre en prenant tout notre temps, sentant que le climat est favorable, on se colle joue contre joue en se caressant le dos, le spectacle que nous leur donnons les a rendu complètement silencieux. Amélie, beaucoup plus hardie que moi, me murmure des mots tendres à l’oreille, qu’elle finit par mordiller.

Ne voyant encore aucune réaction chez nos hommes toujours hébétés, nous faisons mine de les ignorer en nous regardant dans les yeux, puis très délicatement, nos bouches se soudent dans un tendre baiser. Les yeux de nos mecs semblent sortir de leur tête, ils doivent se demander s’ils ne rêvent pas. Amélie, toujours audacieuse, fait descendre le zip de ma jupe qui tombe à terre. Gonflée à bloc, je me suis promise d’aller jusqu’au bout, c’est surtout mon fils qui m’intimide, jamais je n’aurais pu faire une chose pareille sans le soutien de ma bru, je pousse ma jupe du pied vers le canapé où sont assis nos bonshommes.

Je suis en culotte sous le regard surpris de Daniel et l’œil brillant de mon garçon, ce qui nous incite à continuer notre stratagème, pour l’instant aucune réaction négative, ils restent figés dans le canapé. Amélie a posé ses mains sur mes fesses qu’elle pétrit sans timidité. J’en profite pour sortir sa mini-jupe qui suit le même chemin que la mienne, cette fois, c’est mon mari qui dévore des yeux les rondeurs de sa belle-fille, les autres vêtements s’envolent au même rythme pour nous retrouver nues toutes les deux et poursuivre notre chorégraphie comme si de rien n’était. Nos cuisses jouent ensemble, on se caresse les seins et les fesses, je jette un regard du côté des hommes stupéfiés mais un peu plus détendus, allongés dans le sofa, le spectacle semble les satisfaire au plus haut point. Comme il n’y a aucune manifestation hostile, nous appuyons davantage nos baisers, nos caresses deviennent plus précises afin de chauffer le climat et conditionner nos maris. Cette situation peu ordinaire, nous excite énormément. Notre désir augmente et les minutes qui passent sont épuisantes et terriblement longues à se demander comment va se terminer cette soirée fantasmagorique, le pire, c’est que j’ai tant envie de ma chérie. Nous dansotons sans bouger de place, enlacées, les yeux fermés, appréciant ces doux instants avec, malgré tout, un sentiment d’embarras et d’interdit. Toutefois, je me sens rassurée avec Amélie qui nous sortira toujours de la merde si ça tourne mal.

Malgré moi, je me concentre sur Alfred, pour lui, je ne suis pas qu’une femme, je suis aussi sa mère, il m’est difficile de maintenir mon regard sur mon gros bébé qui ne me quitte pas des yeux, j’arrive à percevoir son irritation intérieure.

À partir de ce moment, je n’ai qu’une envie, c’est de me rhabiller et m’enfuir dans ma chambre, le piquant de la situation me remue. Amélie me recadre en me murmurant :

Montre-lui à quoi ça ressemble une vraie femme !

Mais je comprends aussi très bien que ce sont mes sens et mon instinct qui me guident en cet instant, pas ma raison, je dois aussi m’efforcer à tenir la promesse que l’on s’est faite toutes les deux.

Je constate que c’est ainsi et que je n’y peux rien. Je suis excitée et, au fond de moi, j’adore cette situation, j’ai envie de la faire durer, de voir ce qui va se passer. Je sais maintenant que tout est possible et je compte bien sur Amélie pour prendre toute initiative.

Soudain, je sens la présence de Daniel derrière moi, il est nu, la verge dressée entre mes fesses, j’ouvre les yeux et vois mon fils dans la même tenue derrière Amélie. Voilà une aubaine bien inattendue qui coupe toute alternative envisagée dans ma tête.
Je retire mes mains du fessier de mon amante par pudeur pour les mettre autour de son cou, on se regarde en souriant et se disant que l’on a réussi notre coup.

Nous voilà prises en sandwich entre nos époux, la dureté inhabituelle de la verge de Daniel me prouve qu’il aime notre ébaudissement, ses mains caressent mes seins et par la même occasion, ceux de Amélie. Je dois me rendre compte que je ne suis pas jalouse et même au contraire terriblement excitée, je sens les mains de mon fils sur mes hanches, je vais fondre.
Nous restons tous les quatre ainsi, dandinant pendant un bon moment, toutes les mains exploitent sans aucune gêne les corps chauds, nous nous laissons caresser pour notre bonheur et celui de nos époux pendant que nos langues font la fête en prisant ces moments inoubliables. Je frémis dans les bras de Amélie, j’ai un orgasme dont je me souviendrais longtemps, ma chérie subit le même sort, secouées toutes les deux, nos maris sont obligés de nous soutenir, encore surpris par l’ampleur de notre pied.

On se détache pour reprendre nos esprits et se retrouver dans les bras de nos conjoints respectifs, Daniel m’étreint fortement en me disant des mots d’amour, de leur côté, mon fils et ma bru se bécotent comme de jeunes tourtereaux, ils ont l’air super heureux, ils prennent leurs vêtements en paquet et filent, à poil dans leur appartement, il n’y a que le hall à traverser.

Une fois seuls, Daniel ne tarit pas d’éloges pour moi et Amélie, il me couvre de baisers de la tête aux pieds, il me prend d’un seul coup, il devait avoir les couilles pleines à exploser, j’ai encore pris un super panard. Notre soirée a dépassé toutes nos espérances, je n’aurais pas imaginé un si bon résultat.

Nous n’avons pas traîné à nous revoir, c’est le lendemain matin, il était plutôt midi et encore au lit que la sonnette nous sort d’un long sommeil, Daniel surpris, enfile son peignoir pour ouvrir.

C’est les enfants. Me cria t-il.

Les mains chargées de croissants, nous les recevons, les yeux ébouriffés, Je prépare le café, Daniel installe les tasses sur la table de la salle à manger. Pendant que nous avalons le petit dèj, nous y allons bon train sur cette soirée, les hommes nous complimentent plus que jamais. Amélie et moi échangeons un coup d’œil complice. Au fur et mesure de la conversation très axée sur ces évènements, la température des corps monte, Daniel me caresse la cuisse depuis un moment, je passe ma main dans l’ouverture de son peignoir et je dis en m’adressant à Amélie :

Mais c’est qu’il bande papa.

Il est vrai que cette soirée a mis fin à toute pudeur de part et d’autre, on ressent une réelle liberté dans nos paroles et nos gestes. Pour éviter toute jalousie, Amélie fait comme moi, Amélie porte une main sur braguette de mon fils, mais ne pouvant pas atteindre ce qu’elle veut, elle détache la ceinture, ouvre la fermeture éclair et sort l’objet.

Comme tu peux le constater ton fils bande aussi... Nous ne pouvons pas laisser nos chéris dans cet état.

Dit Amélie en s’adressant à moi avec un rire amusé. Elle enlève sa robe légère et se retrouve nue :

Regarde mon chou comme je mouille !

Dit-elle en passant ses doigts sur sa chatte en regardant mon fils puis elle effleure de ses doigts humectés et parfumés, les lèvres de Alfred. Il n’en fallait pas tant pour que Alfred pousse la vaisselle sur le plateau afin de dégager la table, il quitte pantalon et chemise, couche Amélie sur la table, écarte ses jambes s’agenouille sous le regard de sa mère et son père puis lèche copieusement la chatte de sa femme. Je vois sur son visage, qu’elle apprécie cette offrande et qu’elle me fait signe de m’approcher en me tendant les bras pour m’inviter à l’embrasser, je me penche un peu, ses lèvres trouvent les miennes. Alfred la pénètre délicatement, ces jeunes sont très rapides ! Daniel et moi enlevons notre peignoir, je me couche à côté de Amélie mais dans l’autre sens, j’ai son ventre sous mes yeux, mon mari me pénètre à mon tour, mais avec plus de douceur. Collée contre ma belle-fille, je sens les soubresauts de son corps, Alfred est plus violent que son père, bloquée contre ma taille, je caresse le visage de ma bru. Mon Daniel me travaille plus doucement, c’est sa technique, il me caresse la poitrine ainsi que celle de sa belle-fille. Je m’adresse à lui :

Embrasse-la mon chéri.

Mon mari me regarde et se penche pour déposer un petit baiser sur la bouche de Amélie.

Mieux que ça mon amour, tu n’as pas envie d’embrasser Amélie ?

Daniel regarde son fils qui lui fait un signe positif de la tête, il se penche à nouveau vers Amélie qui lui tend les lèvres et sans quitter ma chatte, ils s’embrassent amoureusement sous le regard de Alfred et du mien, je sens sa verge se durcir dans mon intimité, le baiser de Amélie fait son effet. Je caresse les deux visages réunis avec un plaisir inouï et en profite pour caresser les cuisses de mon fils, au point où j’en suis, je n’ai plus aucun scrupule, au contraire, je vois dans mon fiston, mon mari avec vingt ans de moins. C’est Daniel qui se contorsionne pour prendre ma main et l’amener sur la verge de notre fils qui continue son va et vient entre les cuisses de ma dulcinée, il s’écarte un peu pour me laisser de la place, j’entoure la verge entre le pouce et l’index comme pour prolonger la chatte de Amélie. Mon fils me regarde, je lis dans ses prunelles une exaltation comme jamais je n’ai vue. Les hommes me surprennent par leur ouverture d’esprit, hélas les positions ne sont pas très appropriées et plutôt très inconfortables.

Je me dégage et fais signe à Amélie de se lever et de venir dans notre chambre, nous nous détachons et allons directement sur le lit, je me jette sur ma chérie et la dévore comme nous avons l’habitude quand nous sommes seules et surtout pour montrer à nos maris ce que nous pouvons faire toutes les deux. On se lèche, se suce comme des malades devant nos hommes, trempées de désirs, nous jouissons plusieurs fois encouragées par le regard chaud de nos époux qui caressent leur membre tendu. Je sens des mains qui courent dans mon dos, les hommes s’occupent enfin de nous. Je souffle dans l’oreille de Amélie que j’ai très envie de Alfred, elle me répond suffisamment fort pour que nos hommes entendent que je peux faire tout ce que j’ai envie. C’est justement à ce moment-là que le pénis de mon fils est à quelques centimètres du visage de Amélie, elle le prend délicatement et le présente sur le bord de mes lèvres. Je ne me fais pas prier, je m’empresse d'abord de refermer mes doigts autour, le pressant tendrement, tout en le contemplant avidement. Je tente de le comparer avec celui de son père, il a la même taille, mais un peu plus dur. La toison bien brune, un peu moins fournie. Cependant, affolé par cette main maternelle si douce qui l'étreint de façon forte agréable, Alfred agite doucement ses hanches, tentant par ce subterfuge de se masturber dans ma main.

Cependant, restant avant tout sa mère aimante et affectionnée, je m’oblige à procurer un maximum de plaisir à mon fils que je chéris plus que tout au monde. Fixant le gland qui, me semblait-il, se dilate de plus en plus. Un dernier reste de pudeur vis-à-vis de Alfred me retient. Enfin comprenant le désir de mon garçon, je salive abondamment sur le gland rose afin de l'humidifier copieusement. Oubliant alors mon mari, oubliant toutes ces années de fidélité, me refusant de voir qu’il est mon fils, je l’aspire délicatement goûtant avec ivresse ce merveilleux moment. Je le prends dans ma bouche, je déguste la friandise sous l’œil amusé de son père, Alfred se cambre de plaisir. Complètement affolé par la douceur de cette caresse interdite, il recommence à s'agiter sensuellement.

Tu aimes ? Lui demanda vicieusement sa femme.
Oh oui ! S'empresse de répondre Alfred rayonnant.

Voyant qu’il n’est pas loin de partir, je fais signe a Amélie de se mettre en position, je présente le bel organe dressé à l’entrée de la chatte palpitante de désirs de son épouse, la pénétration sous mes yeux est sublime, ce spectacle me stimule, on le serait à moins, je malaxe les boules poilues, reprends la verge en bouche pour savourer le mélange des deux intimités, pendant ce temps mon Daniel me pilonne tranquillement, Amélie se cabre sous l’onde voluptueuse en poussant de petits gémissements, je n’en perd pas une miette car je sens son souffle et la douceur de ses doigts sur mes lèvres intimes. Je replonge la trique dans la foufoune en lui caressant les fesses. Les hommes poussent des cris de bête dans leurs coups de boutoir synchronisés, ils se répandent dans nos corps, notre jouissance vient en suivant, Amélie me serre de joie, nous sombrons dans un océan de voluptés euphoriques.

Nous avons pris des plaisirs complémentaires inconnus et réussis l’impossible. Nous sommes tous les quatre, extraordinairement bien, le père et le fils se trouvent de nouvelles perceptibilités. C’est ainsi que nous avons appris que nos maris raffolent de nous voir batifoler, ce qui nous excite encore plus et voudrions aller plus loin dans nos relations. Pendant que nos maris sont au travail, nous on s’envoie en l’air en fantasmant sur d’autres séances de divertissement au sein de notre petite famille.

Après un mois de ces deux jours sulfureux, nos hommes ont quelques jours de libres, ils seraient heureux si nous organisions une « petite soirée », avec Amélie on s’attendait un peu qu’ils soient demandeurs. Aussi, nous avons eu le temps de gamberger sur ce qu’il était encore possible de réaliser entre nous quatre. Il est évident que nous attendions ce moment avec appétence, ces jours nous ont parus des mois. Nos hommes sont à nos yeux comme des dieux, ce fut tous les jours notre sujet, nous fantasmions comme des envoutées.

Le soir venu, nous avons organisées avec beaucoup d’enthousiasme ce dîner chez les enfants. Comme d’habitude, bien arrosé, pour se prolonger au salon. Sur une musique douce et lumière adéquate, nous dansons avec nos maris respectifs, puis on change de partenaire. Je danse avec mon fils en continuant de se caresser, je regarde mon époux évoluer avec Amélie. Une bouffée de chaleur se propage depuis mon bassin jusqu’à ma poitrine. Dans le mouvement plein de tendresse que vient de me faire mon fiston, je sens, avec précision son désir contre ma chatte brûlante. Je pose ma tête sur l’épaule de mon gros bébé, doucement, presque amoureusement, j’applique mes lèvres sur son cou dans une série de bisous, me grisant de la douceur de la chair tendre. Alfred a d’infinis frissons. Je prends l’initiative de prendre les lèvres de mon fils. Nos langues se bataillent un espace dans la bouche de l’autre, ou alors nos lèvres tentent de se dévorer entre elles. Ce baiser réchauffe mes sens, on se rapproche de Amélie et Daniel, les vêtements tombent un à un. Complètement nus, nous continuons de danser, nos caresses se précisent.

Toute à mon plaisir d’être embrassée, bécotée par mon fils, je ne réalise pas immédiatement la pénétration du gland entre les grandes lèvres de ma chatte. Ce n’est que lorsque le bourgeon de chair vient s’enfoncer que je prends conscience que l’inenvisageable vient de se produire. Ma raison m’implore de repousser mon fils, qui se retire très lentement, ce n’est que pour atteindre une seconde fois mon entrée ruisselante, déclenchant dans tout mon corps d’incontrôlables vagues voluptueuses. Je n’ai pas le temps de raisonner Alfred, que je suis bâillonnée par sa bouche pour m’abandonner toute à lui, percevant dans mes entrailles les puissantes giclées de semence de mon rejeton.

Allongés tous les quatre sur l’épais tapis, nous nous détendons en buvant quelques verres et prendre une légère douche.
La joie d’être là, tous les quatre, avec mon mari, notre fils et sa femme, produit dans cette grande pièce une chaleur exaltante, envoûtante, à tel point que Amélie et moi ne sommes jamais rassasiées. Nous nous enlaçons tendrement pour le plaisir de nos maris et surtout pour le nôtre, nos jambes s’entrecroisent et nos bras glissent sur nos peaux, comme si nous cherchions à nous rapprocher encore et encore jusqu’à ne faire plus qu’une. Amélie m’embrasse le front, puis nos bouches se collent l’une à l’autre dans la fougue d’un baiser spectaculaire et merveilleux. Nos bouches toujours jointes, Amélie bascule sur moi. Ses mains me parcoururent, Je sens alors son corps peser un peu plus sur le mien et la toison de son jardin secret appuyer sur mon doux triangle bien noir. Emportée par le désir de donner un excellent tableau à nos observateurs, je fais basculer Sophie sur le dos et me retrouve sur elle. À mon tour, j’embrasse ses seins tendus dont les tétons deviennent de délicieuses friandises dans ma bouche. Puis, l’esprit déserté par la raison et les scrupules, je descends progressivement le long de son ventre jusqu’à sentir, sous ma langue, le léger duvet blond qui recouvre le coquillage. Elle écarte ses cuisses, m’ouvrant ainsi le chemin jusqu’à sa minette où je plonge brutalement, m’enivrant du nectar qui perle de ses lèvres intimes. J’aurais pu continuer à lécher chaque millimètre de sa peau des heures durant. Des heures à écouter Amélie murmurer cette volupté que je lui procure. Mais elle me repousse et me fait remonter à sa hauteur. Elle enjambe alors ma tête et je vois son entrejambe descendre sur mon visage. Une fois presque assise sur moi, je poursuis l’exploration de son intimité tandis qu’elle se penche de façon à atteindre la mienne. Et c’est à mon tour de gémir sous les assauts de sa langue fougueuse, jouant avec mes lèvres et mon clitoris pendant que ma bouche trempée de plaisir embrasse frénétiquement son sexe en faisant même quelques détours par son anus. Nos hommes ont vite retrouvés leur vigueur, ils sont de chaque côté de nous en se masturbant et ne pas perdre une miette de ce spectacle. On décide alors de s’occuper d’eux, nous les couchons sur le dos, la verge pointée vers le plafond, nous entamons quelques manipulations savantes, Amélie sur mon mari et moi sur Alfred.

Daniel caresse mon visage alors que je m’applique sur notre fils, il effleure mes lèvres de ses doigts que je suce comme une petite bite, puis je prends sa main et très affectueusement, la pose sur la verge tendue de notre fiston. Daniel marque un temps d’arrêt, tous les trois, on se regarde en se demandant ce qu’il va faire, Amélie a bien compris mon idée, Daniel réfléchit, il n’a sûrement jamais pensé à une pareille éventualité, je sais qu’il m’aime comme un fou et qu’il ne peut reculer, je sais également qu’il aime énormément son fils, l’ambiance du moment nous amène à faire des choses surprenantes. En effet, après un court instant de réflexion, il referme sa main sur le membre et commence un rythme lent, pour l’accompagner, je caresse les balles de Alfred d’une main et le visage de son père de l’autre. C’est un grand moment très soutenu, nos idées commencent à se concrétiser, Amélie manifeste sa joie en suçant son beau-père pendant que Alfred se détend sous les caresses de ses parents.

Soudain, Alfred se déplace pour aller rejoindre la bouche de sa femme qui cède sa place, émerveillée par son audace, en effet, il s’est emparé de l’organe de son père, il le tète comme un gourmand. On se regarde avec Amélie, nos yeux sont remplis de joie, nos hommes sont tête-bêche et maintenant, Daniel prend la tige de son fils entre ses lèvres, ils s’absorbent tous les deux, nous sommes comblées par nos hommes. Nous nous installons derrière nos maris respectifs, je lui mordille les fesses, les écarte pour lécher la raie poilue, je sens l’excitation montée de mon mari, j’enfonce mon doigt dans l’étui chaud et serré pour lui donner un maximum de plaisirs, son orgasme est violent, il accélère ses mouvements dans la bouche de Alfred qui avale la giclée, on voit bien jusqu’où le désir peut aller.

Les hommes se regardent en souriant, une nouvelle source de bonheur est née dans cette ardeur tonifiante, pour manifester notre joie, nous nettoyons avec notre bouche les goupillons ramollis. Le père et le fils se tiennent par la main, ils sont très beaux dans cette position, on dirait vraiment deux frères, nous les embrassons tour à tour. Nous sommes de vraies sorcières.

On se repose tous les quatre, nous parlons de cet évènement nouveau qui nous a émoustillés et d’un commun accord, nous sommes prêts à recommencer cette expérience. Alfred et Daniel sont l’un à côté de l’autre, à la suite de cette conversation, ils ont une main posée sur le sexe de l’autre dans un geste amical.

Après une nuit de repos bien méritée comme on dit, le lendemain, une soirée resto où nous avons apportés beaucoup de soins à notre maquillage, la façon de nous vêtir beaucoup plus sexy, sans tomber dans le vulgaire, enfin nous voulons plaire. Et toujours nos maris nous font beaucoup de compliments sur notre beauté. Une fois rentrés à l’appartement, Amélie et moi continuons à les flatter pour leur galanterie et on y va gaiement sur les bonnes manières de nos hommes, on ne se tarit pas d’éloges sur leur corps, sur la beauté de leurs attributs. Daniel soutient que c’est son fils qui est le mieux pourvu, alors que Alfred soutient le contraire. Amélie propose :

Il n’y a qu’à présenter le matériel pour que l’on puisse juger !

Voyant la tournure des événements, Amélie nous entraîne à la chambre à coucher, toutes les deux, on s’installe confortablement sur le lit et nos deux compères doivent exécuter un strip-tease, ils se retrouvent à poil, après quelques pitreries qui nous font bien rire, nos amants ne sont pas dans une forme où on peut réellement arbitrer l’ampleur de leur anatomie, de plus, nos éclats de rire n’arrangent pas les choses et nous ne désirons pas intervenir pour ne pas fausser les règles du jeu.

Alfred use d’un autre stratagème, il pose une main sur l’épaule de son père, lui prend la verge de l’autre main et la manipule doucement, mon mari se laisse aller sous la caresse de son fils.

Amélie me chuchote à l’oreille :

Je crois que l’on va avoir du spectacle, ma chérie !

On se détend en se collant l’une à l’autre pour se préparer à recevoir une bonne dose d’excitation. La verge de Daniel prend des proportions importantes sous les manipulations de son fils, on se demande comment nos chéris vont poursuivre leur désir. Daniel, qui était passif, devient entreprenant par la douceur que lui procure son fils, à son tour il prend le biscuit plus ou moins mou pour entamer une masturbation. Le spectacle revêt un aspect beaucoup plus chaud, les verges grossissent à vue d’œil, nos amants expriment de petits sourires de satisfaction en nous regardant, ils ne pensent plus à qui a la plus belle, complètement captivés par ces impulsions novatrices. C’est encore Alfred qui prend l’initiative, il s’agenouille devant son père, le prend dans sa bouche avec beaucoup de tendresse. Amélie et moi mouillons abondamment, de plus en plus serrées l’une contre l’autre, une main entre nos cuisses ouvertes, il y a seulement quelques semaines, jamais nous aurions imaginées de telles extravagances.

Mon mari a posé une main sur la tête de notre garçon pour l’accompagner dans sa fantaisie. Alfred se dégage en disant :

Je ne sais pas si c’est la plus belle, mais je suis sûr que c’est la meilleure !

Il reprend le morceau en plaquant ses mains sur les fesses pour l’attirer et maîtriser les mouvements, il dévore la tige raide et luisante. Daniel emporté par le tourbillon se laisse tomber sur le lit à nos pieds, on se retire pour laisser la place, nos maris se retrouvent en soixante-neuf, les deux hommes se sucent mutuellement et goulûment. Nous nous régalons de la scène, j’ai la chatte complètement imbibée, Amélie est dans le même état, ma main fait un clapotis entre mes cuisses. Nos chéris adorés sont bien exposés, nous contemplons tout, comme ils sont très mignons dans cette position. Ils n’hésitent pas à passer leurs langues entre les fesses.

N’y tenant plus, on rejoint le couple déluré, Amélie se place entre les jambes de Alfred, moi entre celles de Daniel, je soutiens la tête de mon fils, ce qui fait redoubler son activité sur son père, je me mets à genoux pour qu’il pose sa tête sur mes cuisses, ce qui me permet de masturber le goupillon de mon mari pendant que mon fils lui suce le petit trou. Je prends un oreiller que je place sous la tête de mon fils et je me mets entre les deux hommes pour sucer Daniel pendant qu’il se fait faire une feuille de rose.

Je sens les vibrations de mon homme qui a la bouche pleine, il se met à crier comme une bête en rut, Amélie accélère son action sur son Alfred qui fond lui aussi. Nous les embrassons sur la bouche où on retrouve des odeurs familières.

Maintenant, nous vivons tous les quatre, ensemble, nous connaissons des moments forts et si inattendus que nous ne sommes pas prêts de nous séparer.
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