Fétichisme transvestites jouer avec travesti #3

Fétichisme transvestites jouer avec travesti #3 | Je suis contente que tu sois encore là. On a un quart d'heure avant que j'aille réveiller Florian.

j'ai envie que tu me prennes, là, très vite, tu veux bien? Je rêvais que j'étais devenu hermaphrodite grâce à toi! Racontes moi ça pendant que tu me fais l'amour.

Prends-moi. Elle ressortit sa main et je fis passer ma chemise de nuit par-dessus ma tête avant de m'allonger sur elle en lui dévorant les seins à travers le tissu.

Ce faisant, je retroussai sa longue nuisette jusqu'aux hanches, lui fis écarter les jambes avec mes cuisses et la pénétrai sans autre préliminaire. Mon sexe ne rencontra aucune difficulté à s'enfoncer en elle.

Je me mis à la besogner doucement, mais elle me demanda d'accélérer le tempo. Je me retirai alors d'elle et m'allongeai sur le dos, puis lui demandai de se coucher sur moi pour la prendre en levrette.

Je plaquai une main sur son pubis et agaçai sa poitrine de l'autre, tout en lui laissant modifier à sa guise le rythme de la pénétration. Mon majeur caressait son clitoris gonflé et les sensations que cela générait lui firent augmenter le rythme.

Je me raidis pour exploser en elle lorsqu'elle atteignit l'orgasme sous mon doigt. Mes deux mains reprirent leurs caresses, mais sur un rythme beaucoup plus lent. Nous reprenions tous deux notre souffle.

Elle éclata d'un rire clair et me dit : c'est ce que j'appelle bien commencer la journée! Allez, c'est l'heure pour moi de rentrer dans l'arène! Je dus patienter un peu plus d'une heure, seul dans sa chambre tandis qu'elle préparait Florian pour qu'il aille en classe.

Elle repassa en coup de vent et me souffla : Je l'accompagne à l'école et je suis là dans dix minutes, ça te va? De toutes façons, je n'ai pas le choix, hein? Allez, je me consolerai avec tes vêtements! En disant ceci, je lui fis remarquer que j'avais enfilé la nuisette rouge qu'elle venait de quitter.

Je me dépêche, en attendant, tu pourras passer à coté tout à l'heure, je te prépare des habits et je file. Lorsque je pénétrai dans la salle de bains, je vis deux tas de vêtements posés cote à cote : d'une part mon jean, mon sweat-shirt, mes sous-vêtements et mes tennis, et à coté, son jean en cuir, le sweat blanc qu'elle avait enfilé la veille, un mini-slip taille basse, un soutien-gorge assorti et ses boots noirs, ceux dont les talons ne mesuraient "que" quatre centimètres! Sur la glace, un post-it mentionnait "Devinette : Un des deux tas est celui que j'aimerais que tu choisisses, lequel? p. s. : n'oublies pas que le père de Florian vient tout à l'heure".

Je me dis que cela devait l'exciter de m'imaginer face à son ex, portant ses habits à elle. Pour ma part, je n'éprouvais pas la moindre gêne à cette idée, bien au contraire, trouvant tout au plus les talons des boots un peu "remarquables" sur des pieds de mec.

Quand elle revint, j'avais pris ma douche et je remontais le zip du pantalon de cuir qui moulait mes fesses. hûm, j'apprécie le choix que tu as fait! Moi, j'apprécie celui que tu m'as donné! Je ne sais pas comment te dire, mais,.

ça me fait vraiment quelque chose de savoir que tu portes mes vêtements,. même les plus intimes! Oui, vraiment bizarre comme sensation. Je suis désolée, je n'ai pas de talons moins féminins, tu es sur de vouloir les porter, je veux dire, même devant mon ex? Je te jure que oui, tu ne peux pas savoir comment, à moi aussi, ça me fait quelque chose! j'achevai de m'habiller pendant qu'elle me regardait, puis nous passâmes dans le salon.

Je pense qu'il devrait arriver bientôt. Je lui dirai que tu es venu pour réparer le micro, ça te va? Aucun problème, je referai ce que j'ai fait hier! Je m'approchai d'elle et la prit dans mes bras en caressant son corps.

Elle portait ses bottes blanches, sa jupe verte en cuir droite qui descendait à ses genoux et le chemisier en soie verte que je lui avais déjà vu le premier soir.

"Que portes-tu là dessous?" lui demandai-je en retroussant sa jupe. La même culotte que toi, mais en blanc. Elle se trémoussait au fur et à mesure que ma main s'aventurait plus avant.

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Nos langues s'emmêlèrent. Attends, je vais au moins allumer le pc, au cas où il arriverait! Elle eût à peine le temps de préparer du café que l'on sonnait à la porte.

Je m'assis devant le clavier et relançai un examen de la surface du disque dur. c'était Frédéric, son ex. Elle me présenta à lui comme "la baby-sitter, qui avait gardé Florian ce mercredi et accepté de revenir ce matin où il n'avait pas cours pour réparer l'ordinateur".

Nullement gêné par les talons que je portais, je me levai pour lui serrer la main. j'avais été suffisamment naturel pour qu'il ne remarque rien. Je viens de proposer un café à Gill, il doit être prêt, tu en veux un? Oui, merci, je veux bien.

Elle revint de la cuisine et posa trois mazagrans sur la table basse. Je m'approchai pour prendre celui qui m'était destiné, et voyant que Frédéric regardait à coté, je me penchai pour le saisir en gardant les jambes tendues, de manière à tendre le cuir du pantalon sur mes fesses, copiant ce que Ghislaine m'avait montré lors de notre "jeu de rôle" de la veille au soir.

Je vis une lueur s'allumer dans ses yeux verts. Elle m'invita à m'asseoir à ses cotés sur le canapé, laissant le fauteuil en face de nous au père de son fils.

Frédéric s'absenta une minute pour se rendre aux toilettes. Elle se rua sur moi Ne me refais pas ça, ou je ne pourrai pas me retenir et je te sauterai dessus.

Ca, quoi? Tu sais très bien ce que je veux dire. Non, je te jure! Te pencher comme ça, j'ai eu une envie folle de te mettre la main aux fesses! Elle dit cela en faisant glisser lentement ses doigts vers ma braguette.

Je dus tirer un peu sur le sweat pour masquer mon érection alors que Frédéric revenait. Les cafés terminés, elle alla sans dire un mot chercher les affaires de Florian et les lui tendit.

Il les prit et lui dit au revoir. a mon tour, je me levai et dit à Ghislaine : Bien, voilà, c'est terminé. Je vais vous laisser, et merci encore pour le café.

Elle fut d'autant plus surprise que mon (faux-) départ n'était pas prévu initialement, et je me retrouvais seul avec son ex à attendre l'ascenseur. c'est lorsqu'ils claquèrent sur le carrelage du palier qu'il remarqua la hauteur et la finesse de mes talons.

Il ne me dit rien, mais je suis à peu près sûr qu'il se posait des questions sur mes goûts vestimentaires! Je fus moi-même très étonné de ne pas me sentir "plus gêné que ça".

Une fois sur le trottoir, je déclinais sa proposition de profiter de sa voiture en lui disant que la mienne était garée à l'autre bout de la rue. j'avais eu envie de cette sortie, mais je n'aspirais maintenant qu'à retrouver Ghislaine, ses bottes et ses jupes en cuir! Je la rejoignis dans l'appartement.

Gill, s'il te plaît, repenche-toi en avant comme tout à l'heure, quand tu as pris ton café sur la table. Alors que je m'exécutais, elle se positionna derrière moi, mit ses deux mains sur mes hanches et se plaqua contre mes fesses.

Tu sais quoi, je voudrais pouvoir te prendre, comme ça! Elle me fit redresser, puis, toujours collée à moi, elle défit la fermeture éclair de mon pantalon, le fit glisser au sol et caressa doucement mon phallus à travers la petite culotte.

Elle le prit ensuite dans la main gauche, pendant que la droite se mit à caresser le soutien-gorge que je portais sous le sweat-shirt, puis elle entama avec son bassin un mouvement d'avant en arrière.

Oh, j'aimerais tellement te baiser comme ça! Tu passes toute la journée avec moi en femme? Je ne demande pas mieux, mais si je veux être un tant soit peu crédible, il faut que je fasse un saut chez moi pour me raser.

Tout en parlant, je passais les mains derrière moi afin de caresser ses fesses à travers sa jupe de cuir. Elle stoppa son mouvement et poussa un soupir de plaisir.

Je remontais ma main droite vers sa nuque et me tordis le cou pour l'embrasser sans desserrer notre étreinte. ok Gill, je t'emmène chez toi et au passage, je m'arrêterai au magasin pour acheter une perruque.

Je devais déjà le faire la semaine dernière et je n'ai pas eu le temps, mais, en plus, ça pourra te servir! Ghislaine, il faut que tu arrêtes de me caresser, sans ça je vais exploser sur ton parquet.

Non, je refuse! j'essuierai, mais je veux voir le sperme jaillir de ta queue. Elle continua, et le vit. Dans la boutique, elle choisit une perruque couleur châtain, à cheveux mi-longs.

En riant avec la vendeuse, elle m'en coiffa. Je riais avec elles. Je portais les mêmes vêtements que devant Frédéric, y compris les boots. Elle remit la perruque sur sa tête, la paya et nous quittâmes le magasin.

Je me sentais bien, et l'offre de Ghislaine me laissait entrevoir un week-end de rêve. Nous dûmes faire deux fois le tour du pâté de maisons avant de trouver une place pour nous garer.

Arrivés au pied de mon immeuble, elle me demanda : Tu habites à quel étage? Au deuxième, comme toi, pourquoi? Parce que je veux te voir monter l'escalier devant moi.

Tu as un très beau cul. Pas aussi beau que le tien. Sitôt fermée la porte du deux pièces que je louais, elle enfourna sa langue dans ma bouche, tout en me pelotant les fesses.

Tu me préfères en brune ou en rousse? Je m'en fous, je te préfère tout court. Bonde, brune, rousse, j'ai sans arrêt envie de toi. Je ne débande pas depuis hier soir! Honnêtement, j'en suis même presque étonné! Je descendis le zip qui fermait sa jupe, mais sans toucher au bouton pression, puis glissant ma main sous le cuir par l'échancrure, je la caressai à mon tour.

Mon doigt parcourait la raie de ses fesses en appuyant sur le satin. Bientôt, elle n'y tînt plus et dégrafa elle-même sa jupe. Elle la fit glisser au sol, pendant que je me défis à mon tour du doux pantalon de cuir et des boots.

j'ôtai ensuite le sweat, pour me retrouver devant elle vêtu uniquement d'un mini-slip rouge et d'un soutien-gorge assorti (mais hélas, vide)! Elle ne portait plus pour sa part que ses superbes bottes blanches et sa culotte, blanche elle aussi et comme elle l'avait dit identique à celle que je portais moi-même.

"Tu rêvais de quoi, déjà, lorsque je t'ai réveillé ce matin?" me demanda-t'elle malicieusement en faisant descendre sa main sur mon ventre. Elle me coiffa alors de la perruque qu'elle venait d'acheter.

Elle me sourit de toutes ses dents, m'enleva le dernier rempart à ma nudité, et le fourra dans le bonnet droit de mon soutien-gorge. Puis elle enleva son propre slip, le mit dans l'autre bonnet, rajouta un mi-bas dans chaque "pour faire bonne mesure" et me dota ainsi d'une poitrine 90B! Elle me fit asseoir dans le canapé clic-clac qui meublait mon salon, s'assit à califourchon sur moi en plaquant la pointe de ses tétons contre mes faux seins et colla ses lèvres contre les miennes.

Elle entortillait ses doigts dans la perruque et je sentais ses ongles dans mon cou tandis que sa langue s'enfonçait sans relâche dans ma bouche. Tu vois que tu n'es pas loin d'être un hermaphrodite! Ma seule réponse fut un gémissement de plaisir lorsqu'elle s'empala sur moi.

Elle prenait plaisir à frotter ses bottes de haut en bas contre la peau épilée de mes mollets. Nous jouâmes à faire se toucher l'extrémité de nos deux langues tendues ; nous prenions nos seins à pleines mains pour les mettre face à face et nous caresser mutuellement avec.

Dis-moi, Ghislaine, tu es bi? Non, je n'ai pas envie de coucher avec une fille, si c'est ce que tu veux savoir, je n'ai pas vraiment de fantasmes homo.

Par contre, depuis toi, je suis "hermaphrodito-sexuelle"! Et toi, tu es bi? Non, moi c'est pareil, je n'ai aucune envie de coucher avec un mec, par contre faire l'amour avec une fille en me prenant moi-même pour une femme, c'est mon fantasme absolu! Tu es mon fantasme absolu! Nous étions tous deux si excités que nous parvînmes très vite à l'orgasme.

Après avoir repris nos esprits, je lui demandai : Tu crois vraiment que je peux faire illusion, je veux dire, dehors, avec l'aide de cette perruque? Oui, enfin, du moins tant que c'est dans un endroit où les gens ne font pas trop attention aux autres.

Tu as des traits assez fins, et une corpulence qui passe. Après tout, je mesure bien 1m76! Par contre, c'est sûr que ça ne serait pas aussi évident dans un endroit où les gens ont plus facilement tendance à te dévisager, genre soirée privée par exemple.

Mais en fait, si ça se trouve, il suffirait de t'épiler un peu les sourcils et je pense. Tu penses quoi? Je pense que, même si ce n'est pas ce que tu recherches, pas mal de mecs te regarderaient! Mais c'était quoi le but de ta question au départ? Et bien, je.

Je voudrais. Enfin, ça m'exciterait qu'on reparte d'ici en ayant échangé nos vêtements. Tu veux dire qu'on retourne chez moi, toi en jupe et moi en pantalon? Oui, s'il te plaît.

d'accord, Corinne. Après tout, c'est moi qui t'ai parlé la première de passer ta journée "en femme". Elle m'embrassa, se rassit normalement dans le canapé et déchaussa ses bottes, puis me les tendit.

Pendant que je les enfilai, elle mit le jean en cuir sans m'avoir repris la petite culotte! Pendant qu'elle passait le sweat, je mis sa jupe à même ma peau, puis je boutonnai le chemisier en soie.

Elle sortit une trousse de maquillage de son sac à main. Il contenait une pince à épiler, un tube de rouge à lèvres, un de mascara ainsi que de l'ombre à paupières.

Grâce à cet attirail, elle réussit à féminiser un peu mon visage. Elle se recula pour contempler son œuvre et me dit : y a pas photo, je suis devenue définitivement "hermaphrodito-sexuelle"! Je te plais vraiment, comme ça, ou bien tu dis ça pour me faire plaisir? Non, non, tu m'excites énormément, je te jure.

Pendant que nous attendions l'ascenseur, elle me tendit son sac à main : Tiens, il vaut mieux que ça soit toi qui le portes, ça va mieux avec ta fourrure qu'avec mon flight! Nous nous dirigeâmes vers sa voiture.

Je n'étais que moyennement à l'aise, et Ghislaine le sentit : Ne t'inquiètes pas, je te jure que les gens te prendront pour une nana. Je m'efforçais de bien poser la plante de mon pied sur le sol en même temps que le talon aiguille, afin de ne pas vaciller.

Petit à petit, voyant que les passants que nous croisions ne me dévisageaient pas avec effarement, je pris de l'assurance. Nous roulions depuis cinq minutes quand Ghislaine me demanda à brûle pourpoint : j'ai une idée.

On va passer par le centre commercial, tu vas voir, je suis sûre que tout le monde te prendra pour une "vraie" femme. La seule chose qui pourrait te trahir, c'est ta voix, alors ne parle pas trop et le tour sera joué! Nous déambulâmes dans la galerie marchande.

Je sentais le doux frottement de la jupe sur mes cuisses nues, le col de fourrure de mon manteau me caressait le cou et j'éprouvais un plaisir intense à marcher sur huit centimètres de talons aiguilles.

Tellement intense que je sentis que ma verge se raidissait et se mettait à l'équerre sous ma jupe! Malgré la température clémente qui régnait dans la galerie, je ramenai sur moi les pans de mon manteau.

Qu'est-ce qu'il t'arrive, Gill? Tu n'as pas froid quand même? Non, pas du tout. c'est juste que je n'ai pas de culotte et que je recommence à bander sérieux! j'ai peur que ça ne se voie trop.

Ghislaine me prit le bras et m'entraîna dans un magasin de lingerie. La vendeuse était plutôt mignonne, brune avec des cheveux mi-longs et des yeux bleus qui illuminaient son visage.

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Elle portait elle aussi des bottes, noires à hauts talons sous sa jupe en daim; elle devait avoir 25 ans environ. Elle s'avança en nous souriant : Bonjour Mesdames, puis-je vous aider? Bonjour.

Nous regardons, merci. Elle me serra un peu plus fort le bras et me souffla à l'oreille : Tu vois, qu'est-ce que je t'avais dit? j'ai peur qu'elle ne me reconnaisse.

Je suis passé devant cette boutique il y a dix-neuf jours, ils avaient une pub "Osez le cuir pour vos sous-vêtements" et j'ai passé dix minutes à mater la vitrine.

Elle y est toujours, au coin, là-bas. Tu ne l'as pas vue? Non. Enfin, c'est vrai que depuis quelques minutes, j'étais concentré sur un autre problème, qui est de moins en moins réglé, d'ailleurs, et c'est ta faute! Allez, je vais t'acheter quelque chose de sexy pour me faire pardonner.

où est-elle, cette lingerie cuir? t'es folle. Et alors? Ca me plaît, je me sens bien, c'est pas tous les jours! Elle appela la vendeuse. s'il vous plaît, Mademoiselle, nous voudrions voir les modèles correspondant à l'affiche en vitrine.

Vous voulez voir nos modèles cuir? c'est cela, oui. Suivez-moi. les voici. c'est du premier choix, je vous assure. Ils sont même lavables en machine avec un programme "textiles délicats".

Elle se tût un instant pour nous laisser regarder les différents ensembles. Il y avait deux modèles de slips, l'un de type taille basse classique, et un autre genre "brésilien", montant très haut sur les hanches, mais très échancré sur les cuisses et assez étroit sur les fesses! On pouvait choisir le soutien-gorge avec ou sans balconnet, et ajouter ou non à la parure un porte-jarretelles.

Le tout était bien sûr très sexy, mais cela faisait "classe" et non pas "hard" comme la lingerie cuir que l'on trouve habituellement dans les sex-shops. Ghislaine interrogea la vendeuse : Et à porter? Vous les avez essayés? Oui, j'ai même acheté cet ensemble.

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Je vous promets que c'est très agréable à porter. La jeune fille rougit un peu, puis elle ajouta en souriant : Et, entre nous, je peux même vous dire que ça fait beaucoup d'effet à la personne qui vit avec moi! Ghislaine sortit un slip brésilien, un soutien-gorge à balconnets et un porte-jarretelles des pochettes dans lesquelles ils étaient rangés.

Elle écarta mon manteau et posa la culotte par-dessus ma jupe en se reculant d'un pas pour regarder. Taille "m", ça devrait t'aller, non? Pour la première fois depuis notre arrivée, la vendeuse s'adressa directement à moi : Vous avez des cabines d'essayage à votre disposition, Madame, mais à priori, je pense que c'est votre taille.

Allez-y, essayez le, je vous en prie. Je répondis juste "Merci" en forçant un peu ma voix et pénétrai avec Ghislaine dans la cabine. Fait assez rare, surtout dans les galeries marchandes, elle était assez spacieuse et possédait une vraie porte au lieu du rideau habituel! c'était décidément mon jour de chance.

Ghislaine colla son bassin contre le mien pour descendre la fermeture éclair de ma jupe. Allez, essayes-ça, je suis certaine que tu en meurs d'envie. j'enfilai le brésilien en cuir en profitant de la sensualité de ce contact : c'était effectivement très confortable, et en plus, la coupe permettait de contenir mon érection, même si les moindres formes de mon sexe étaient révélées par la finesse du tissu.

Elle enleva son sweat et essaya le soutien-gorge. Il lui allait très bien. Je lui dis à quel point je la trouvai désirable en caressant sa poitrine à travers le cuir.

Elle poussa un gémissement. Arrête ou je vais avoir besoin de m'acheter une culotte moi aussi. Oh, je voudrais que tu puisses mettre ta bouche ou ta main pour constater l'effet que ça me fait! Chiche! Sans attendre sa réponse, je fis glisser son pantalon et plaquai ma bouche contre son sexe humide de désir.

Elle poussa un nouveau gémissement de plaisir, un peu plus sonore. j'enfonçai ma langue plus avant. Elle saisit ma tête à pleines mains en la serrant plus fort contre elle.

Je m'activais tant et si bien qu'elle jouit rapidement. Elle ressortit seule de la cabine, la vendeuse nous attendait : Alors, Mesdames, qu'en pensez-vous? Et bien, cela plaît tellement à mon amie qu'elle va les garder sur elle, si toutefois vous voulez bien enlever les étiquettes! Elle revint bientôt et me rendit les trois pièces de lingerie.


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  • Pendant ce temps, Ghislaine prit discrètement sa carte bleue dans "mon" sac à main et se rendit à la caisse. Je retournai m'enfermer dans la cabine pour remettre le slip et le porte-jarretelles, bien que ne portant pas de bas! Avant de rejoindre Ghislaine, je saisis un body bleu et noir en velours polyamide sur un portant.

  • Elle interrompit sa conversation avec la jeune femme pour me demander : c'est quoi, ça? Ca, c'est pour toi, je te l'offre. c'est gentil, merci beaucoup, Gill. Elle déposa un baiser sur ma joue, en s'arrangeant pour atteindre du coin de la bouche la commissure de mes lèvres.

  • Je sortis son porte-monnaie (car le mien était resté dans la poche du blouson qu'elle portait) et tendis l'argent à la vendeuse. En me rendant la monnaie, elle me déclara après un temps d'hésitation : Je disais à votre amie que j'aimais beaucoup votre tenue.

  • Vous avez de très belles bottes! Merci, mais les vôtres ne sont pas mal non plus. Quelle est votre pointure? 39, pourquoi? Vous voudriez les essayer? Oh oui, j'aurais beaucoup aimé, mais, là, je ne peux vraiment pas, c'est dommage!.

  • Oui, dommage, je regrette! Enfin, en tous cas, merci, c'est gentil de votre part. Ghislaine se serra contre moi en me prenant le bras et intervint alors dans la discussion : Et ce soir par exemple, vous pourriez? Ca vous dirait? Vous finissez à quelle heure? Enfin, je dis ça, mais c'est juste parce que vous aviez l'air déçue,.

  • je ne voudrais pas vous imposer quoi que ce soit. Vraiment, c'est trop, merci! Le magasin ferme à 20 heures, mais moi, je finis plus tôt. Si vous voulez, repassez ici vers 18H30.

  • j'accepte votre proposition. d'accord, on fait comme ça alors. Je m'appelle Ghislaine, et voici mon amie, Corinne. Moi, c'est Karine. Alors, à tout à l'heure et vivement 18H30! Ghislaine saisit la pochette en plastique contenant nos emplettes et me prit la main pour sortir du magasin.

  • j'étais un peu surpris, mais cela ne me déplaisait pas. a peine arrivés à l'angle de la boutique, elle me dit : Je suis sûre qu'elle est de la pelouse! Que quoi? Qu'elle est homo! Je ne peux pas te dire comment je le sais, mais j'en mettrais ma main à couper.

  • Et puis tu as remarqué, elle a dit "la personne avec qui je vis" et non pas "mon petit ami"! Ca ne veut rien dire. Si, si j'en suis sûre.

  • Je ne sais pas pourquoi, mais elle m'excite, cette fille, pas toi? Elle a l'air toute gentille comme ça, mais je suis certaine que c'est une vraie panthère! Je croyais que tu n'avais pas de fantasmes homo.
Non, j'en ai pas, mais d'abord, c'est toi qui as commencé à lui proposer d'essayer tes bottes, enfin, mes bottes! Et puis, tu as vraiment une très très mauvaise influence sur moi, tu me pervertis complètement, mais quand j'ai cru sentir qu'elle aimait les filles, je me suis mis à penser que ça pourrait être, disons, intéressant, qu'on passe une soirée toi, moi et elle! Mais si elle est de la pelouse, comme tu dis, elle aura senti que je ne suis pas une vraie nana, c'est pas possible autrement! Peut être que si.

Ou alors peut être qu'elle n'a fait attention qu'à moi. Je ne sais pas quoi te répondre, Gill, je ne sais pas. En tous cas, je te jure que ça m'excite beaucoup! Arrête de toujours te poser des questions, profite, ma chérie, profite! Aujourd'hui, tu es une femme, tu portes des bottes, du cuir, de la lingerie.

c'est ce que tu aimes, non? Alors moi, je me fous complètement du reste, de savoir si je deviens homo, bi ou n'importe quoi. tu me fais mouiller, et j'aime ça.

là, voilà, c'est dit, tu me fais même devenir vulgaire. Alors on rentre vite à la maison, et on fait l'amour toutes les deux, point! Un quart d'heure plus tard, nous étions à nouveau chez elle, toujours aussi excités.

Je veux enfiler le body que tu m'as offert et te voir en sous-vêtements! Changes toi, je me déshabille. Elle fit voler son sweat et je rattrapai son pantalon de cuir au vol.

j'enfouis ma tête dedans pour renifler jusqu'à quel point les émotions que nous avions vécues au centre commercial lui avaient fait de l'effet. Je léchai avec volupté la doublure de soie.

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Qu'est ce que tu fais? Je lèche les marques de ton désir. Elle s'approcha de moi, encore nue, le body à la main. Je la saisis par la taille, coinçant le pantalon entre nos deux corps, et l'embrassai.

Pendant que j'ôtai ma jupe et mon chemisier, elle enfila la lingerie et alla chausser ses bottes bleues nuit à talons métalliques. Je vis à son regard que je la faisais autant mouiller qu'elle me faisait bander! Une nouvelle fois, nous fîmes l'amour.

Je dois dire honnêtement que cela ne m'était jamais arrivé auparavant. La plastique parfaite de cette femme associée au fait qu'elle me faisait vivre mes fantasmes les plus fous me donnait une énergie dont je ne revenais pas moi-même! Pendant que mon sexe allait et venait dans son ventre, elle m'avoua que depuis qu'elle avait parlé avec Karine à la caisse, elle fantasmait sur le déroulement de la soirée: j'imagine sa tête quand elle découvrira ta verge sous le cuir de ta jupe! Si ça se trouve, ça lui fera autant d'effet que ça m'en a fait! Peut-être au contraire que ça la dégouttera! Peut-être que ça sera une partie d'enfer! Je ne te savais pas lubrique à ce point.

Moi non plus, mais c'est de ta faute, c'est toi qui me rends comme ça. Nous décidâmes de manger et de nous reposer avant d'aller retrouver Karine. Au réveil, Ghislaine finit par me raconter qu'elle avait eu jadis une expérience saphique qui lui laissait encore aujourd'hui un souvenir troublant : Ce matin, je t'ai dit que je n'avais pas de fantasmes ou de désirs homo.

En fait, ce n'est qu'à moitié vrai. Quand je faisais mes études, ma meilleure amie était en formation pour devenir esthéticienne. Nous avions toutes les deux dix neuf ans.

Un jour, elle me proposa d'aller dans son studio pour lui servir de modèle pour ses "travaux pratiques". Elle avait pu emprunter du matériel à son école et voulait l'essayer.

Elle me fit d'abord un soin du visage, me maquilla soigneusement et de manière beaucoup plus complète que je ne le faisais habituellement, puis me proposa de m'épiler les aisselles.

j'enlevai donc mon pull et me retrouvai en soutif devant elle. Ensuite, elle me demanda d'enlever mon jean pour me faire une "jambe complète". Elle acheva l'opération en enduisant mes jambes d'une lotion adoucissante.

Elle procéda avec beaucoup de douceur, de sensualité, même. Je n'étais pas vraiment gênée, après tout, nous étions entre filles et nous nous connaissions depuis trois ans. là où je marquai un temps d'arrêt, c'est quand elle me dit qu'elle pourrait terminer son tp en me faisant "un maillot" beaucoup plus facilement si j'enlevais ma petite culotte.

Elle me dit que, pour que je me sente moins mal à l'aise, elle pouvait elle-même enlever sa jupe en jean et son corsage. Avant que j'aie pu répondre quoi que ce soit, elle se retrouva en sous-vêtements devant moi.

Je l'avais toujours trouvé très belle, elle était aussi grande et mince que moi, mais je me souviens que j'enviais sa poitrine plus "avantageuse" que la mienne. Ghislaine, je ne comprends pas pourquoi tu fais un complexe comme ça sur tes seins! Je te jure que je les adore tels qu'ils sont.

Gill, je t'en prie, laisse-moi finir. Elle était donc là devant moi, et nous nous regardions. Je pense que je devais les fixer du regard, ses seins, car elle dégrafa son soutien-gorge, ses yeux bleus toujours plantés dans les miens, puis elle fit glisser à terre son mini slip satiné.

Totalement nue, elle s'approcha alors de moi et acheva de me déshabiller. Je restai sans voix, comme paralysée. Elle, très naturelle, exécuta son épilation maillot, puis se recula d'un pas comme pour contempler son œuvre.

"Tu vois, tout s'est très bien passé, n'est ce pas?" me demanda-t'elle. Je bredouillai un "oui, merci". Elle m'aida à me relever puis me dit "Allons, Ghis', détends-toi" et m'attira contre elle.

Malgré moi, je sentis saillir la pointe de mes tétons quand son corps se colla contre le mien. Elle m'embrassa dans le cou, puis ses lèvres remontèrent petit à petit, très lentement, pour finir sur ma bouche.

Ses mains commencèrent à caresser mon dos, mes fesses et ma poitrine, pendant que sa langue s'insinuait entre mes dents. Elle était tellement douce que je me détendis peu à peu, jusqu'à répondre timidement à ses caresses.

Elle déplia alors le canapé clic-clac qui nous avait servi de cabine d'esthéticienne et me prit par la main pour que je m'allonge. Oh Gill, c'était il y a dix ans, et je m'en souviens tellement fort! Je me souviens qu'elle s'était couchée sur moi et qu'elle frottait son pubis contre le mien.

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Sa main descendit machinalement jusqu'à son entrejambe. Je me masturbai doucement moi aussi. Elle reprit : Nos deux toisons se mêlaient, la blonde et la rousse. Elle avait réussi à lever mes inhibitions, et je me laissais aller au plaisir qui nous envahissait toutes les deux.

Nous avons joui ensemble, au même moment, je sais que ça paraît fou, mais c'est vrai, c'est comme ça! j'avais déjà eu des petits amis, mais ils faisaient tous une fixation sur la pénétration, les plus attentionnés savaient à peine me procurer un plaisir clitoridien.

Jo-Ann, elle, m'a fait monter au ciel quatre fois cette après-midi là, juste avec sa bouche et ses mains! Je sens presque encore sa langue titiller mon clitoris. Elle avait écarté mes jambes et les avait fait passer sur ses épaules.

Ensuite, moi aussi, je lui ai donné du plaisir: j'ai fait jouer son clito sous mes doigts, j'ai planté mon majeur au plus profond de son intimité. Ca y était, je me lâchais : je l'ai embrassé à pleine bouche, j'ai retiré mon doigt et nous l'avons léché ensemble pendant qu'elle introduisait son propre doigt en moi.

Hum, quelle après midi! Et vous l'avez refait après? Juste une fois. Elle a pris un autre appart avec un copain et on n'en a plus reparlé. Mais nous nous voyons toujours, plus ou moins régulièrement.

Tiens, en y repensant, je crois que c'est elle qui m'a donné l'amour du cuir, car je me rappelle qu'elle avait une jupe noire, longue et ample en agneau plongé, un peu comme la blanche que tu portais hier soir.

Elle valait à l'époque une petite fortune, c'est son père qui lui avait offert pour ses dix-huit ans. Alors, pour mes vingt ans, je me suis offert mon jean en cuir noir et dès que j'ai commencé à travailler, j'ai craqué sur ma première jupe en cuir, la blanche justement.

Par contre, pour les bottes et les talons hauts, c'est plutôt moi qui lui ai appris à en porter quotidiennement! Au départ, elle préférait les escarpins avec 4 ou 5 centimètres de talons au maximum.

d'après ce que j'ai vu, c'est la hauteur minimale pour toi, non? Tu as raison, c'est vrai que j'adore les talons hauts. Elle poussa un gros soupir et dit en repensant à ce qu'elle venait de me confier : Ah là là, Gill, ce que c'est que la nostalgie quand on s'y met, hein? Elle se leva la première sans me laisser le temps de répondre et nous prîmes une douche ensemble.

Elle me remaquilla très minutieusement car elle voulait que je fasse totalement illusion. Je la suivis dans la lingerie et lui demandai : Bon, alors, on s'habille comment? Pour les sous-vêtements, pas d'hésitation, on met ceux qu'on a achetés ce matin.

Pour le reste, on fait dans le sexy, ça te dit? Elle éclata soudain de rire en regardant la pendule : Allez, allez, on active, tu as mis trop de temps à te maquiller! Que veux-tu, il y avait beaucoup de travail.

Ne le dis pas sur ce ton malheureux, tu me plais beaucoup. Alors, on fait dans le sexy ou pas? Oh oui, sans hésitation! Alors tu mets ta mini rouge et les bottes blanches, ok? Si tu veux.

Tu mets quoi, toi? Si tu me le permets, ta jupe blanche. Et les bottes noires, celles avec la chaînette aux talons. Une lueur d'émotion passa dans ses yeux verts, et elle me dit avec douceur : Oui, Gill, je te le permets.

Mais si tu veux me faire encore plus plaisir, prends plutôt les bleues avec le talon métal, elles te rendent encore plus sexy. Une demi-heure plus tard, nous attendions Karine au café situé en face du magasin de lingerie.

Ghislaine portait son superbe maxi-manteau de fourrure. Pour ma part, lové dans le manteau de cuir gris, je prenais un plaisir extrême à marcher perché sur les onze centimètres de mes talons métalliques.

La doublure en satin de ma longue jupe en cuir crissait doucement sur mes bas à chacun de mes mouvements. Jamais de ma vie je ne m'étais autant senti femme.

Plusieurs mecs nous dévisagèrent avec. intérêt, ce qui provoquait après coup à chaque fois une crise de fou rire à Ghislaine. Le bouquet eu lieu lorsque Karine nous rejoignit à la terrasse, quand un homme d'une quarantaine d'année percuta la poussette d'une mère de famille en se retournant pour nous mater! Elle s'assit à nos cotés et commanda un café.

Elle nous remercia d'être venus et nous quittâmes rapidement le bar. Nous la suivîmes en voiture jusqu'à chez elle. Elle nous fit asseoir dans son canapé et s'assit sur un pouf après nous avoir servi un apéritif.

Elle en vint rapidement au but de notre rencontre. Dites-moi, les filles, elles appartiennent à qui finalement, ces bottes? Les blanches sont en fait à moi, mais les bleues qu'elle a aux pieds sont à Corinne.

En énonçant ce gros mensonge (qui soit dit en passant me flatta énormément), Ghislaine pencha sa tête sur mon épaule, comme pour annoncer d'entrée de jeu la couleur à notre hôtesse.

Et vous faites souvent des. échanges comme ça? Pas toujours, mais ces temps-ci, ça nous arrive pas mal! En tous cas, c'est vrai que les deux paires sont très belles.

Alors vous voulez les essayer maintenant? Oui, je veux bien. Merci Ghislaine, c'est bien Ghislaine, n'est-ce pas? Ghislaine se pencha un peu pour faire glisser le zip tout le long de son mollet.

Karine la regardait faire. Elle prit la botte qui lui était tendue, caressa le cuir en s'extasiant sur la qualité et la finition. Elles sont vraiment très très belles.

Et la finesse de la fermeture éclair, c'est dingue, je croyais que c'étaient des cavalières! Je vous. On peut se tutoyer, ça ne vous gène pas? Pas du tout.

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ok, et bien je te félicite, tu as vraiment bon goût, Ghislaine. Elle la reposa à terre et remonta un peu sa longue jupe en daim pour ôter à son tour ce qui se révélèrent être des cuissardes! Dans la mesure où elles étaient faites dans un cuir mat et très souple et où les talons (d'une demi-douzaine de centimètres environ tout de même) avaient un aspect "civilisé", rien ne laissait présager cette (très agréable à mes yeux) surprise.

Elle les tendit à Ghislaine et enfila aussitôt les bottes blanches. Ghislaine fit de même avec les cuissardes, remonta la fermeture qui courait sur la moitié de la hauteur de son mollet et étira sa jambe pour tendre le fourreau de cuir qui la gainait maintenant jusqu'à mi-cuisses.

Un petit lacet, noir lui aussi, terminait la tige, mais plus pour l'aspect décoratif que pour ajuster la botte. Lorsqu'elle se releva du canapé, je ne pus retenir un "Waow" d'admiration.

Voir les jambes (superbes) de cette grande jeune femme moulées par les cuissardes et couronnées par la minijupe rouge était un spectacle extrêmement excitant, et mon bas ventre me le fit savoir aussitôt! Mais surtout, cette femme avait en plus "a touch of class" comme disent les Britanniques qui fait que ce qui aurait fait vulgaire, pour ne pas dire pute, sur nombre de fille passait très bien sur Ghislaine.

Karine se releva à son tour et me demanda : Tu en dis quoi, toi, Corinne, à part "Waow"? j'en reste sans voix. Voulant maintenir l'équivoque sur ma vraie nature, j'avais répondu comme si j'avais été atteint d'une extinction de voix.

Elle éclata de rire, prit Ghislaine par la taille et me dit : Viens avec nous dans la chambre, j'ai une armoire avec une porte miroir. Nous aussi, on veut voir ce qu'on donne chaussées ainsi.

Revenus dans le salon, elle alluma la radio et nous continuâmes à siroter nos verres. Au bout de quelques temps, elle fit la moue devant la programmation musicale et choisit un disque de slows qu'elle posa sur la platine.

Elle s'approcha face à nous, s'inclina cérémonieusement et nous demanda en essayant d'imiter la voix de Jean-Pierre Marielle : Mesdemoiselles, l'une de vous deux accepterait-elle de danser avec moi? Vas-y Gill.

Non, toi d'abord. j'irai après. Votre amie a raison, Mademoiselle. Je ne peux en faire danser qu'une à la fois, mais, ne vous inquiétez pas les deux y auront droit.

Elle ne put garder son sérieux jusqu'à la fin de la phrase et éclata d'un rire clair. Manifestement un peu tendue maintenant qu'elle se retrouvait au pied du mur, Ghislaine accepta cependant de danser avec Karine.

Celle-ci mit son bras gauche dans le dos de Ghislaine pour la plaquer contre elle, tandis que sa main droite venait se poser juste à la jointure de l'ensemble de cuir rouge vif.

Au bout d'un court instant, je vis sa main descendre sur la fesse de Ghislaine tandis qu'elle enfouissait sa tête dans la chevelure rousse. Quand Karine posa ses lèvres dans son cou, elle ne réagit pas non plus.

Je profitai un peu de ce spectacle qui m'excitait, puis me levai à la fin du morceau en leur disant : Continuez, les filles, je passe au bar remplir les verres et je reviens tout de suite.

Comme je m'y attendais, Karine avait manifestement décidé de ne pas perdre de temps et les deux filles s'embrassaient langoureusement quand je revins dans la pièce. Elle avait baissé le zip du mini blouson de cuir rouge et caressait la poitrine de Ghislaine à travers son body.

Repensant certainement à la conversation que nous avions eu avant de quitter son domicile, Ghislaine s'enhardissait de plus en plus et commençait à répondre à son tour aux caresses qui lui étaient prodiguées! Je posai les verres sur la table basse et décidai de "rentrer dans la danse" à mon tour.

Je voulais cependant retarder au maximum l'instant où Karine découvrirait que je n'étais pas vraiment une femme. Je me saisis donc de sa main qui caressait le cul de Ghislaine et la posai sur ma hanche en plaquant ma verge tendue dans la raie des fesses de Ghislaine.

Je mis une main sur le sein que Karine avait laissé libre tandis que l'autre allait chercher le bassin de la jeune vendeuse. Sa réaction ne se fit pas attendre : elle tendit le cou pour avancer sa bouche à la rencontre de mes lèvres maquillées.

j'avançai moi aussi la tête et sentis sa langue lécher mon rouge à lèvre avant de s'insinuer entre mes dents. Coincée entre nous deux, Ghislaine réussit cependant à entamer une ondulation de son bassin qui fit encore monter la tension d'un cran.

Comme si cela n'était pas suffisant, elle retroussa complètement sa minijupe. Je sentais le cuir de ma jupe glisser sur son body, et ces sensations étaient répercutées directement sur mon érection.

Karine se recula de trois pas, et ma main droite se retrouva sur le bassin de ma belle rousse incendiaire. Tout en disant à Ghislaine "Surtout, n'arrêtes pas!", elle fit glisser au sol sa longue jupe en daim, dévoilant un slip mauve rehaussé de dentelles.

Lorsqu'elle se recolla contre Ghislaine, je tournai ma main de sorte que mes doigts se retrouvent emprisonnés dans l'entrejambe de Karine. Ma "geôlière" en sembla ravie. Nous dansâmes un moment ainsi enlacé(e)s tou(te)s les trois, puis Ghislaine se dégagea de notre étreinte, me laissant face à face avec Karine.

Je remis aussitôt ma main à la même place afin qu'elle ne sente pas directement mon érection. Ses mains glissèrent sur mes hanches et elle me demanda : Qu'est ce que tu portes là-dessous? Des bas, des collants ou rien du tout? a toi de le deviner.

Je pris sa bouche et mon majeur s'insinua par l'entrejambe de son petit slip. La moiteur que je sentis sous mon doigt confirma les suppositions faites par Ghislaine lorsque nous étions sortis du magasin : Karine était manifestement excitée par les caresses féminines --ou supposées telles.

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