Ma copine me fit revenir à la réalité

Ma copine me fit revenir à la réalité | A l’époque où tout commença, je n’étais encore qu’un jeune homme de 20 ans. Non. Je me fais mousser en parlant de moi comme un jeune homme : je n’en avais ni l’apparence, ni la maturité. Non en effet. Je n’étais encore qu’un simple adolescent.

Fraîchement diplômé du baccalauréat et nouvellement accepté à Science Po. J’étais un adolescent frustré car rien dans mes relations sexuelles ne m’apportaient l’excitation, le danger et la touche de perversité que je recherchai. Comprenez que de simples fellations et missionnaires étaient pour moi bien peu, aux vues de toutes les potentialités que pouvaient offrir deux corps déchaînés par le désir de l’autre.

Ce que je vais vous conter à présent semble incroyable, et je ne saurais l’expliquer ni à vous, ni à moi. Alors je me contenterai de le raconter. Pourtant mon vœu le plus cher s’est réalisé durant une fraîche nuit d’automne. Mais avant d’en arriver là, je vais vous raconter ce qui se passa un peu plus tôt.

Depuis la rentrée, je m’étais fait beaucoup d’amis dans la promotion, et notamment Hervé. C’était un jeune fils de riches, pourtant il était très sympathique. Il avait reçu une éducation stricte et bourgeoise ; mais ayant fait l’expérience du rejet et des critiques durant le lycée, il savait désormais se comporter comme un jeune universitaire de son temps, et n’était que plus apprécié pour son humilité et sa gentillesse. Cependant, durant les premiers mois, sa mère l’attendait – discrètement dans un bar voisin – après ses journées de cours, et après que la sortie de l’école ait été désertée, ils rentraient ensemble dans leur belle résidence de 180 m², en plein Paris. Bien qu’Hervé ait réussi à cacher ce petit secret à tout le monde (les ragots sont plus rapide que la lumière), je m’en étais rendu compte par hasard au cours du mois d’octobre. Je devais rencontrer mon oncle paternel, venu dans la capitale pour la semaine, et il m’avait donné rendez-vous dans ce même pub. C’était pur hasard ! Hervé ne m’avait pas vu, car il faisait dos à l’entrée, mais j’avais vite repéré sa veste toujours impeccable sans le moindre plis et sa sacoche en cuir d’un brun très clair (qui d’autre pouvait porter ça à 19 ans ?!). Mais j’avais surtout repéré sa mère. Nous sommes le 19 octobre et je viens pour la première fois de ma vie de tomber amoureux. D’une femme mariée et mère d’un de mes très bons amis. Autant dire d’une créature inaccessible. Je ne pris qu’un café avec mon oncle et parti donc avant qu’Hervé et sa mère ne s’en aillent. J’eu alors tout plaisir d’observer cette femme. Très classe, elle avait pourtant un style très classique. Ses cheveux blonds, presque châtains, étaient coiffés en un chignon impeccable. Ils étaient lisses et brillaient sous les petites lumières jaunes de l’établissement. Ses yeux étaient grands, mais leur couleur m’échappait. Elle avait un nez fin et aquilin qui ne demandait qu’à être embrassé. Son cou était dépourvu de bijoux inutiles et se suffisaient à lui-même, tant ses traits semblaient avoir été tracés par De Vinci. Son tailleur, d’un bleu acier plutôt clair, était sans aucun doute taillé sur mesure, et rehaussait avec bon goût sa peau claire. Le bouton rehaussait quant à lui une poitrine qui, sans se prétendre énorme, devait être moelleuse, ronde et parfumée d’un Chanel n°5. L’éclairage jouait en la faveur de son fin décolleté, et n’importe qui pouvait deviner ces deux sublimes sphères parfaitement symétriques. Simultanément, cette veste mettait en avant la fine taille de cette dame. Me trouvant un peu de biais, je pouvais voir que sur la banquette de cuir rouge reposait des hanches généreuses, bien au chaud dans leur jupe. Elle s’arrêtait au niveau des genoux, point de départ de ses mollets superbement gracieux. Pour finir, des Louboutins garnissaient ses petits pieds.

Voilà ce qu’il en était. En 10 minutes, j’étais tombé amoureux de cette dame et je lui vouais désormais un culte impressionnant. Les vidéos pornographiques et autres récits bisexuels qui me plaisaient tant avant étaient devenus ternes, et je ne trouvais mon plaisir qu’en pensant à cette femme. J’en devenais étrange, il m’arrivait parfois de sécher le dernier cours pour aller me cacher près de leur bistro, afin de l’épier. Je me contentais de cette vision, qui ne durait pas plus de 5 minutes au maximum, mais la voir marcher et entrer dans le bar me ravissait. Sa démarche était gracieuse et ses hanches soutenaient un fessier bien garni. Plus tard j’observai Hervé entrer dans ce bar : sa mère l’accueillait toujours avec une chaleur époustouflante. Elle le prenait dans ses bras, l’enlaçait comme si elle ne l’avait vu depuis des années, le gâtait de ses lèvres rouges de baisers gourmands, et des regards pleins d’amour.

Une nuit, alors que j’éprouvais une fatigue mortelle et une tristesse infinie au cours d’une énième insomnie, je maudis Hervé de posséder une mère si aimante. J’étais en colère et grognais sous ma couette pendant des heures. Je m’endormi sans en avoir conscience, à bout de force.

Le lendemain matin (bien qu’il fût 14h50), je me retrouvai dans une chambre inconnue. La tête dans les nuages, je n’y fis pas attention, pensant seulement que c’était un rêve. Dans cette chambre se trouvaient 3 portes. L’une indiquait clairement les toilettes. Je pissai longuement. Dans le miroir qui était à ma droite réfléchissait l’image d’Hervé. C’était étrange, je n’avais jamais été un autre que moi dans mes rêves. J’observai ce corps qui n’était pas le mien. J’étais étrangement musclé. Non, ce n’est pas le bon terme. Mon corps était plutôt bien dessiné, mes abdominaux et pectoraux biens individualisés. C’était agréable à voir. Le pénis qui pendait entre mes jambes était bien plus large, et était surmonté d’un petit rectangle de poils bruns. Une ligne de ces mêmes poils remontait jusqu’à mon nombril, qui sortait. Cette vision était pourtant légèrement floue, et je repérai rapidement une paire de lunettes proche de mon lit.

En terminant de pisser, j’attendis un peu. Je compris que ce n’était pas un rêve. Lorsque je pissais en rêve, je me réveillai subitement, paniqué, honteux d’avoir mouillé mes draps blancs. Pourtant je ne pouvais me convaincre que je n’étais pas en train de rêver, car aucune autre possibilité ne s’offrait à moi. Alors que j’examinai la chambre, on frappa à la porte. Sous le choc, je vis la mère d’Hervé entrer et s’approcher de moi, l’air préoccupée. J’étais bouche bée car je n’y comprenais rien, et elle se jeta sur moi. D’une main sur mon front, elle prit ma température, et conclu que je n’avais pas de fièvre. Son visage semblait bouleversé, la mère qu’elle était craignant que son fils soit malade. Elle me trouvait chaud et me prit dans ses bras, m’ordonnant de me remettre au lit et qu’elle allait m’apporter des médicaments ainsi qu’un bon déjeuner. J’étais confus, je ne réalisai pas. Aussi je ne pris aucun plaisir à l’avoir serrée contre mon torse nu. La seule chose qui me frappa, ce fût ma queue presque dure du réveil qui était maintenant elle aussi collée contre sa cuisse gauche, et glissait dangereusement vers son entre-jambe. Elle ne s’en offusqua pas, ne remarqua même pas et me quitta après un long baiser sur le front. Elle me dépassait d’une tête. Elle repartie. Ce devait être le weekend, elle portait une légère tenue de sport en coton gris. En repartant, la vision de son derrière termina de m’achever. Je me mis rapidement au lit, à 14h52. Je détestai Hervé d’avoir une si belle propriété et une si belle mère. Rapidement, et avant son retour, je m’endormis.

Je me réveillais 10 heures avant cet événement, à 4h49 du matin, le jour d’avant. Ce n’était qu’un rêve, bien curieux. Mes draps étaient secs.

A 10h du matin, je me réveillai de nouveau, toujours dans ma chambre. Devant le miroir, j’étais de nouveau moi. Je passai toute la journée du samedi à m’interroger sur les événements de la nuit. C’était contraire à un rêve, j’avais contrôlé la situation de A à Z, bien qu’étant sous le choc. En rien la situation était loufoque.

Je passais une semaine à essayer de me concentrer sur les premiers examens arrivant. Mais le vendredi soir, je surpris de nouveau Hervé et sa mère, au cinéma cette fois. Elle resplendissait et beauté et tenait Hervé par le bras. Qu’elle chance il avait de se montrer avec cette déesse. Lui qui avait une apparence de petit merdeux.

Le soir, avant de trouver un sommeil qui se cachait bien, je haïssais Hervé tel un sorcier.

Cela se produisit de nouveau. Il était 7h47 et je me trouvais chez Hervé, dans la peau d’Hervé, et avec la vue pourrie d’Hervé. Mon premier réflexe fût de prendre ses foutues lunettes. Elles étaient lourdes, mais j’y voyais désormais clair. Mon lit n'était pas vide ce matin là. Je ne voyais qu'une épaule noire, et une bras bien garnie. Je le caressais pour en éprouver la texture. C'était moelleux et une petite couche de gras devait garnir cet épiderme. Comme je me redressai, je découvris des cheveux crépus, noir, très très courts. Une africaine, certainement. En la découvrant du drap, je pus admirer un corps plus foncé que le chocolat au lait, bien en chair. Chaque partie était agréable au toucher. La poitrine était petite mais les tétons répondaient bien à mes caresses. Les fesses étaient fidèles au cliché, énormes et fermes, tout comme les cuisses, alors que les mollets étaient fins. Le dénivelé était époustouflant et dangereux. En me penchant sur elle pour voir son visage qui était rond, beau et jeune, je senti une odeur nouvelle. En embrassant sa joue, je compris: c'était l'odeur du sperme d'Hervé et cette jeune fille était sans aucun doute sa copine, et sans aucun doute encore, elle aimait recevoir la crème fraîche de son copain en pleine figure. Je souris, l'embrassai. Voyant qu'elle dormait à point fermé, je décidai de me lever.

J’entrepris de sortir de ma chambre. Un long couloir se présenta devant moi. Il n’y avait pas un bruit, et je décidai d’avancer. La première porte que je rencontrai était entre-ouverte. En m’approchant, silencieux car un long tapis décorait le couloir, je vis que cette chambre était celle de ma sœur, ou de mon frère, je n’aurais su le dire, ne sachant rien de la famille d’Hervé. Que ce fût la sœur ou le frère (j’aurais opté pour le frère qui, sans ressembler énormément à Hervé, avait des traits avec sa mère), un compagnon du sexe opposé était aussi dans le lit. Les deux avaient facilement 25 ans, et rien dans la décoration de la chambre n’aurait pu m’aider à identifier le potentiel parent d’Hervé. Cela ressemblait à une chambre d’ami. Peut-être que ces deux jeunes gens étaient étrangers.

Alors je continuai à avancer, je me retrouvai de nouveau près d’un miroir. J’étais bien Hervé. C’était donc ma maison… mon potentiel frère ou ma potentielle sœur… Ce serait dur de s’y faire…

Une autre chambre se présentait sur ma gauche, ouverte. A l’intérieur régnait une atmosphère calme, colorée, féminine. Alors que je m’avançai, j’aperçu la longue silhouette de la mère d’Hervé… de ma mère. Elle était debout, en nuisette, et semblait fascinée par le matin qui ne tarderait plus à s’installer dehors. Puisque je voyais facilement à travers la fenêtre, je déduisais facilement que notre appartement se trouvait au 4ème ou 5ème étage. Voilà pourquoi cette nymphe ne fit tomber sans la moindre gêne sa nuisette pour enfiler son jogging gris. Elle savait où il se trouvait et n’avait pas besoin d’ôter ses yeux de la fenêtre, la rue offrant un beau spectacle brumeux gris-bleuté. Sa peau, dénudée, avait sur près de 1m80 une teinte claire uniforme. Sa peau était tendue, ferme, et c’est pour elle qu’elle se levait chaque matin pour l’entretenir. Ses hanches ne mentaient pas, elles étaient larges et pleines de promesses. Ses fesses étaient galbées à la perfection, bien en chair et projetée vers l’extérieure pour mon plus grand plaisir. Ses cuisses étaient tendues et longues, son dos soyeux. Elle enfila d’abord, doucement, un boxer de coton vert qui rendait parfaitement hommage à son cul, avant de se réchauffer dans son bas de survêtement. Elle se retourna, ses seins emportés par le mouvement s’agitèrent latéralement avec grâce, avant de revenir dans leur position normale, naturelle, optimale. Ils étaient bien garnis, plus que ce que j’imaginai. Ce devait être du 90D. Alors je senti la chaleur de la gêne monter à mes tempes, elle me sourit et vînt m’enlacer, me souhait bonjour, me demandant comme j’avais dormi, si j’avais faim ou voulais venir m’entrainer avec elle. Bégayant, je répondis par un oui saccadé qui englobait toutes ses questions. Elle semblait ravie, pas le moins du monde offusquée par le fait qu’elle soit seins nus devant et contre moi, ni même par mon pénis que j’avais senti dur contre sa cuisse, une nouvelle fois…

Bouleversé, me voilà de retour dans ma chambre. Ma supposé copine dort toujours, elle n’a même pas bougé d’un centimètre j’ai l’impression. Avec précaution, je me glisse sous la couette à côté d’elle. Son énorme postérieur est maintenant collé contre ma cuisse droite. Alors que j’essaie de m’endormir pour retrouver la vraie réalité, mon vrai corps et ma vraie vie, j’entends, dans la chambre voisine, du mouvement. C’est surtout les draps qui frottent contre la couette. Je tends l’oreille, mais en vain, ils doivent surement faire le lit. Je me focalise alors sur la fille noire qui se trouve à côté de moi. Son postérieur est tout bonnement impressionnant ! Même celui de ma « mère » que j’ai pu observer il y a à peine 15 minutes, n’est pas aussi prépondérant ! J’ose y trainer une main et c’est avec beaucoup de plaisir que mes doigts s’enfoncent dans cet océan noir de douceur. Je tâte, je caresse, je malaxe, je frôle, j’éprouve avec un désir croissant la sensualité et la tiédeur ces deux globes de chair. Contrairement à ses seins me dis-je, son cul a eu un développement rapide, et peut être qu’il n’est pas encore arrivé à maturité… A ce moment, j’entends des gémissements provenir de la chambre voisine. En tendant l’oreille, il devient de plus en plus évident que les deux individus baisent. Je n’entends que la femme râler de plaisir, et ça m’excite sacrément.

En les écoutant mon pénis finit de grossir, et prit par le désir, je colle mon bassin contre le fessier de ma copine… avec de petits mouvements, et après avoir retiré mon boxer devenu trop étroit, je fais entrer ma queue raide entre ses fesses, bien au chaud… Je suis pris en sandwich entre ce cul qui enserre mon sexe avec chaleur. Je commence à bouger, profitant de cette position pour m’auto-branler… toujours l’oreille tendue pour écouter mes voisins. Ma seule main libre, la gauche, commence à caresser le bas ventre de cette créature sombre. Elle possède une petite bouée que j'attrape avec plaisir : sa peau est douce et parfumée. J’embrasse son épaule tout en caressant son ventre. Je sens ses fesses remuer d’elles-mêmes et je m’arrête, pétrifié. Elle sort de son réveil… et si ce n’était pas ma copine ?!

Mais ses fesses sont clairement en train de branler mon sexe… Oui, elle le fait délibérément, et commence à râler tout doucement, de sa voix d’adolescente. Je la sens pousser son cul contre moi et bientôt ses fesses entrent en contact avec mon bas ventre. Une de ses mains – la gauche je suppose – attrape la mienne et l’envoie se promener entre ses cuisses. Je suis subjugué par tant de douceur et de chair, c’est incroyablement garni et accueillant. Lorsque mes doigts arrivent au niveau de son sexe, ils sont déjà trempés… Deux de mes doits glissent entre ses lèvres pour réveiller la bête qui me fait dos. L’intérieur serré se dilate petit à petit, et je peux alors y introduire un troisième puis un quatrième doigt. Elle râle maintenant assez fort et s’étouffe dans l’oreiller. Contournant son corps, elle vient attraper ma queue pour la diriger vers son vagin qui ressemble maintenant à aquaboulevard.
Elle m’introduit ma queue bien grosse dans son vagin et m’incite à lui faire l’amour. Quoiqu’elle utilise avec férocité le mot « baiser » tout en se redressant à 4 pattes. Avec plaisir, je remarque que la hauteur de mon bassin est idéale et s’accorde parfaitement à la sienne. C’est donc naturellement que je me renfonce en elle pour la « baiser ». Prise dans cet élan matinal, c’est en fait elle qui me baise, reculant et avançant, faisant claquer son cul contre mon ventre en balançant son corps contre moi. Elle s’efforce d’étouffer ses cris dans l’oreiller, et si ce n’est les claquements de son cul, on entend maintenant clairement les voisins baisers, sans retenu. Tout cela m’excite follement et j’explique à cette déesse, après 8 minutes de ce rodéo inter-racial, que je vais éjaculer. Ni une ni deux, elle se retourne et s’allonge, se positionnant sur le dos, entre mes jambes, juste sous mes couilles, en m’encourageant à tout lui balancer sur le visage. C’est pour moi tout nouveau et je suis subjugué par l’excitation, alors je lui crache littéralement un flot de sperme au visage. Après le premier impact, elle ouvre la bouche, langue pendue, pour recevoir les nouveaux flots… Des gouttes s’écrasent au fond de la bouche, sur ses joues et les dernières tombent dans son cou… Elle envoie sa tête vers le haut et attrape mon gland avec ses lèvres : elle me suce et m’aspire, je peux le sentir.

A ce moment d’un orgasme épique, la mère d’Hervé entre dans la chambre, dans sa belle tenue de sport grise, toute souriante. Seulement, à la vue de cette scène pornographique où deux jeunes de 19 ans sont en train de terminer un coït digne d’un très bon Marc Dorcel, elle n’a pas le temps de m’avertir qu’elle est prête pour le sport. Je la regarde, je suis terrorisé, et je sens que ma petite chérie l’est tout autant, et ne sachant que faire – la bouche surement remplie de crème… - elle ne bouge pas… Je sens ses lèvres encore agrippées à ma verge, comme par espoir d’une fin heureuse. Je ne saurais l’expliquer, ni biologiquement ni raisonnablement, mais de voir cette femme, avec son sublime corps moulé dans cette tenue de coton gris, observant son fils, la queue bandée et posée dans la bouche d’une jeune minette noire, le visage souillé de sperme… l’image de cette scène terriblement pornographique provoqua chez moi un nouvel orgasme qui surpris ma copine et failli la faire vomir. Sa bouche se retira de mon gland rapidement mais elle ne put éviter mes décharges successives qui arrivèrent sur son nez. La sportive était toujours là, bouche-bée, et finit par repartir en claquant la porte… Prononcé comme un soupir, le « meeeeeeeeeeeerde » provenant de ma copine me fit revenir à la réalité…
Ma copine me fit revenir à la réalité ***
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