J’agrippai alors son sexe

Histoires de sexe J’agrippai alors son sexe | Je travaille dans une société de produits cosmétiques depuis 19 ans. Mon caractère et mon autorité naturelle m’ont permis d’évoluer rapidement au poste de directrice logistique.

Mon ancienne assistante étant partie en retraite, j’ai recruté Inès il y a maintenant 8 mois de cela.

Une jeune femme très professionnelle, discrète et d’un physique agréable sans être une gravure de mode. Elle a du charme.


J’ai appris lors d’une réunion qu’Inès avait rompu avec son ami quelques semaines auparavant mais n’ai jusqu’ alors pas vu de changement dans son travail ou dans son attitude si ce n’est ses absences chaque jour un peu plus longues aux toilettes.

Mon bureau est positionné perpendiculairement au sien, de sorte qu’elle puisse me voir mais que je sois obligée de me tourner quand je veux lui demander quelque chose. De ce fait, je n’ai remarqué que dernièrement ses absences prolongées.

Je me surpris à l’observer dans le reflet de mon écran. Elle s’asseyait, ouvrait le courrier, décrochait le téléphone, rédigeait un mémo, mais par moments, son regard se fixait longuement sur l’écran sans qu’elle ne touche son clavier.

Alors, je voyais ses longues jambes se croiser et se décroiser, son corps se dandiner sur son siège et, dès que je tournais la tête, Inès reprenait le clavier ou le téléphone comme si son reflet n’était que celui de mon imagination.

Je mis donc son comportement et ses tortillements sur le coup d’une quelconque gêne d’ordre médical.

Les jours passaient et Inès ne portait plus que des jupes ou des robes qui soulignaient sa féminité et ses courbes généreuses et me confortait dans l’idée d'un problème urinaire.

Un après-midi, alors que nous devions travailler ensemble sur un appel d’offre, elle rentre dans mon bureau, les joues roses et le souffle un peu court. Je lui tends ma carafe d’eau. Elle me remercie et m’explique juste qu’elle a dû courir pour remettre un pli au coursier à l’accueil, mais mon regard est fixé sur son chemisier au travers duquel je vois pointer ses seins. Elle rougit mais ne dit mot.

Ayant un rendez vous suivi d’un repas d’affaires, je n’arrivai au bureau qu’en début d’après-midi. Je déposai donc mes affaires dans mon bureau pour allez me soulager. Je ne remarquai même pas l’absence d’Inès à son poste, trop pressée par mon envie.

Je me rendis au WC puis, une fois rhabillée, je m’aperçus que la cabine d’à côté était occupée et qu’un souffle lent mais appuyé se faisait entendre. Je tirai la chasse d’eau, me lavai les mains, le tout en tendant l’oreille. Plus aucun bruit.

J’ouvris la porte et la refermai sans sortir du local. Après quelques instants, la respiration reprit puis de faibles gémissements. Je commençai à me douter de qui se trouvait à l’intérieur. Dès lors, je sentis mon sexe commencer à s’échauffer, se contracter et, inconsciemment, je mordillai ma lèvre.

Les gémissements se firent plus appuyés puis le silence, lourd et pesant. Des minutes qui m’ont parue longues. J’hésitais entre rester et fuir et affronter mon assistante. Je n’eus pas le temps de me poser la question bien longtemps.
Inès se trouvait face à moi, essoufflée, le teint rosi de plaisir et le regard honteux.

Je la détaillai comme pour la première fois. Ses longs cheveux auburn tressés, son visage bien dessiné et ses lèvres fines. Ses yeux habituellement noisette avaient un éclat différent que je pus discerner même s'ils n’osaient s’attarder sur moi. Son cou blanc laissait entrevoir les battements du sang sous sa peau diaphane et sa poitrine dardait fort sous son chemisier noir.

Je mis fin à son calvaire en lui annonçant que nous discuterions de tout ceci dans mon bureau dans l’après-midi après avoir géré les dossiers en attente du matin.

Fait exceptionnel, je m’enfermai dans mon bureau. J’avais besoin de réfléchir mais surtout de me satisfaire. Je sentais mon sexe qui s’était gonflé de désir et savais, avant même d’y glisser ma main, que j’allais me découvrir chaude et humide.

Je relevai donc ma jupe et écartai la dentelle de mon string. Ma main s’écrasa sur mon sexe comme dans un fruit trop mûr. Je commençai par écarter mes lèvres et étaler mon jus sur mon clitoris puis je me massai le clitoris électrisé et érigé.
Tout à coup, le téléphone sonna, me coupant net dans mon élan.

Deux heures après la découverte d’Inès dans les toilettes, je sonnai cette dernière pour lui demander de venir dans mon bureau. L’excitation qui m’avait submergée était retombée mais, en la voyant ouvrir la porte de mon bureau toute penaude, un pincement dans mon bas ventre me rappela cruellement que je n’avais pu me satisfaire.

Elle allait prendre un siège pour s’asseoir quand je lui dis de rester debout.

« Alors, comme ça vous profitez de votre temps de travail pour aller vous masturber dans les toilettes ? »

- Non, mais…En fait...euh, c’est la première fois…

« Ça suffit! Vous savez que je suis souple mais je ne supporte ni le mensonge ni qu’on me prenne pour une imbécile. Le problème c’est que vous n’êtes pas payée pour vous branler !!

- Oui. Mais mon travail est fait. Il n’en pâtit pas.

- Votre travail peut-être mais moi, oui ! Je ne peux pas laisser de tels agissements impunis dans mon service. Je ne sais pas comment je vais pouvoir vous punir de ceci. Je pense que la DRH...

- Non, s’il vous plaît ! Je ne peux pas, j’aurais trop honte ! »

Je lisais dans ces yeux une vraie terreur, ce qui étrangement fit monter d’un cran mon excitation. Je sentais ma vulve se remplir peu à peu de mouille. Je contractai mon vagin afin d’entretenir mon excitation.

« Que voulez-vous que je fasse? Vous comprenez que je suis lésée dans cette affaire…Vous prenez du plaisir tandis que moi, je suis en train de travailler. Vous êtes tout de même d’accord que vous méritez une punition ? »

- Oui, Madame, je le comprends mais je ne peux me permettre de perdre mon emploi ou de me couvrir de honte auprès de mes collègues. Au final cela serait pire que le chômage.

- Je peux comprendre et, au vu des événements récents de votre vie privée, je veux bien être indulgente mais vous devrez m'accorder des heures de votre temps. J’ai du travail en retard. Vous resterez ici ce soir avec moi. »

Une lueur se ralluma dans ses yeux. Je ne pus me retenir de me mordre la lèvre car il n'y avait pas que son temps que je voulais.

« Bien, Madame. Merci, Madame!»

La journée était déjà bien avancée. J’étais passablement excitée et n'avais aucun moyen de me soulager.

Finalement, 18h arriva plus vite que je ne l’aurais cru. Inès se présenta à la porte de mon bureau, le soleil rasant la découpant dans l’encadrement. Les rayons du soleil dessinaient ses cuisses et son entrejambe au travers de sa jupe.

« Madame, j’ai traité tous les dossiers en cours et pris de l’avance sur l’appel d’offre. Je n’ai plus rien à faire.

- Ah…

- J’ai même archivé les dossiers, classé et rangé tout ce qui pouvait l’être…

- D’accord, tu peux donc t’asseoir et, puisque tu as du temps devant toi, tu peux même te toucher si cela te dit ! »

Elle devint rouge écarlate, ne sachant plus que dire.

« Remonte ta jupe et montre-moi comment tu fais !

- Mais Madame...»

« Si tu veux, on peut toujours aller voir la DRH. C’est toi qui choisis. Je ne voudrais pas te forcer.»

Elle hésita encore un instant puis s’assit en remontant sa jupe. Elle baissa les paupières et commença timidement à toucher sa vulve par-dessus le tissu de son string.

« Non! comme dans les toilettes. Ne me dis pas que tu te caresses en sous-vêtements. Enlève-le ! »

Docilement, elle retira sa fine dentelle. Un joli filet de cyprine accrocha la lumière et révéla son excitation.

« Eh bien, Inès, tu es toujours trempée comme ceci ou c’est la situation qui t’émoustille ?

- Un peu des deux, Madame.»

Elle se rassit au bord du siège et releva sa jambe sur l’accoudoir. Ses lèvres s’écartèrent, laissant apparaître son puits luisant.

Mes mains, jusque là restées sur le bureau, vinrent s’égarer sur mon sexe. Je sentais ma cyprine prête à déborder. Je commençai à me caresser au même rythme qu’elle, les yeux plongés tour à tour dans les siens et sur ses doigts.

Ceux-ci s’attardaient tantôt sur son bouton, tantôt longeaient ses lèvres, ses yeux à moitié clos.
Puis son rythme accéléra. Elle branlait son clitoris à une vitesse inouïe. Je voyais ses seins se tendre, ses reins se creuser. Sa seconde jambe vint s’accrocher sur l’accoudoir. Elle était totalement ouverte et offerte à mon regard. Je devinais son vagin qui se contractait…Puis, d’un coup, sa jouissance. Juste un petit cri, presque un miaulement.

Je n’avais pas arrêté de me caresser sans pour autant trouver la jouissance attendue.

« Approche. viens vers moi. »

Son regard luisait comme dans les toilettes mais je sentis à nouveau sa réticence.

« Je ne te force à rien tu es libre de tes choix. »

Elle passa derrière mon bureau, s’approchant de mon siège. Je pouvais sentir l’odeur suave de son jus titiller mes narines.

« Montre-moi comment tu fais. Caresse-moi. »

Inès s’agenouilla devant moi, posa ses doigts sur mes lèvres gonflés puis, son pouce sur mon bouton, une décharge me fit me cambrer de plaisir et je sentis ma mouille glisser et s’insinuer vers mon anus. J'avançai alors mes fesses au plus proche du bord du siège et mis une jambe sur le bureau. Inès plongea alors deux doigts en moi et commença par de lents allers-retours.

Je ne contenais plus mon souffle et des gémissements s’échappèrent du fond de ma gorge. Une autre décharge. Son autre main avait rejoint mon bouton et s’agitait dessus. Ses doigts en moi s’agitaient et me fouillaient plus profondément, son regard évitant consciencieusement le mien.

J’étais au bord de la jouissance. Mes mains se posèrent sur ses cheveux et, comme si elle avait lu dans mes pensées, ses lèvres s’approchèrent de mon sexe. Sa langue remplaça ses doigts sur mon clitoris. Je poussai un énorme soupir, sa langue caressant très lentement, trop lentement…

Je me liquéfiais de plaisir. Je ne retenais plus mes gémissements et crus discerner ceux d’Inès se mêlant aux miens.

J’aurais juré qu’elle se vengeait sur mon clitoris, l’aspirant, le mordant, ses doigts continuant à me fouiller jusqu’à l’explosion de ma jouissance. Je repoussai sa tête et sa langue loin de mon sexe et refermai mes cuisses.

Elle resta un instant à genoux devant moi sans me regarder.

« Je peux y aller, s’il vous plaît ? »

Essoufflée et pantelante, je réussis à la remercier et à la congédier.

« À demain, Inès.

- À demain, Madame. »

Le lendemain, Inès arriva tôt et sembla étonnée de me voir déjà derrière mon bureau.

Je lui dis bonjour tout en prenant le temps de la regarder. Ses cheveux en cascades bouclées encadraient son doux visage. Elle portait un top couleur crème à peine décolleté mais qui soulignait à merveille ses courbes et un jean slim qui avantageait ses longues jambes et lui moulait les fesses.

Mon regard qui s’attardait sur son anatomie lui mit le rouge aux joues. Je ne pus déterminer si c’était de honte ou d’envie.

La matinée s’écoula comme d’ordinaire entre des réclamations internes et externes. Plutôt calme pour un vendredi en fait. Mais Inès ne s’absenta pas pour autant, ce dont je fus presque déçue car l’imaginer prendre du plaisir dans les toilettes faisait monter mon excitation.

En rentrant de déjeuner, je fis une halte aux toilettes et, là, me remémorant les caresses de mon assistante, je commençai à caresser mon sexe au travers de la dentelle de mon boxer. Je voulais plus mais n’osai pas me branler ici car je ne pouvais prendre le risque d’être surprise.

Je quittai donc à regret les toilettes avec les pommettes colorées et me retrouvai face à Inès, tout sourire…Elle me repoussa dans le box, ferma le verrou et s’affaira sur les boutons de mon chemisier.

« Désolée, Madame. J’en peux plus. Je me suis retenue jusqu'à maintenant mais j’ai envie de vous, là, maintenant.

- Inès…vous pourriez peux être m’appeler Laure...» lui dis-je tandis que ma cuisse s’insinuait entre ses jambes et venait presser son sexe.

Un léger gémissement s’échappa de sa bouche. Ma main glissa sur sa nuque et mes lèvres vinrent pincer les siennes, puis ma langue la lécha.

Ses mains étaient maintenant dans mon soutien gorge, soupesant ma poitrine moins imposante que la sienne mais quand même généreuse. Elle roulait mes pointes entre la pulpe de ses doigts, chaque pression m’envoyant une décharge de plaisir dans le bas ventre. Sa langue dansait avec la mienne tandis que ses mains caressaient mes seins, les palpaient, tour à tour délicates et brutales.

Tout en continuant notre baiser, mes mains s’évertuaient à défaire les boutons de son jean. Lorsque je parvins enfin à le lui baisser, je m’assis sur la cuvette. Je découvris son sexe, ses lèvres charnues et gonflées de sang, une légère ligne noire sur son mont de Vénus. Pour le reste, une vulve parfaitement épilée. Je posai alors ma paume sur son abricot encore fermé mais déjà humide.

Histoires de sexe J’agrippai alors son sexe

Je déposai des baisers le long de l’aine m’approchant de plus en plus près de son sexe, puis à l’intérieur de la cuisse, où la peau est si fine. La paume de ma main appuyait et faisait des cercles sur ses lèvres suintantes.

Mes lèvres se posèrent sur les siennes, les léchant sur l’extérieur et, les écartelant avec mes doigts, je m’appliquai à découvrir chaque millimètre de l’intérieur de celles-ci. Je sentais ses hanches bouger et basculer vers moi, n’attendant que je lui fourre ma langue dans la chatte.

Je lui titillai le clitoris d’une langue raide puis lui lapai le sexe fort, de bas en haut, de grand coups de langue, qui augmentaient mon plaisir et le sien pour m’attarder ensuite longuement sur son bouton. Ma langue molle était chaude et venait râper celui-ci, de plus en plus vite.
Le souffle d’Inès s’accélérait, laissant échapper des petits cris de temps à autre.

Elle se retourna et s’appuya contre le mur, se débattit avec son jean et, les jambes écartées et le buste penché en avant, elle offrit à ma vue sa croupe généreuse et toute sa féminité.

Je m’accroupis alors presque sous elle. Levant le menton, j’approchai ma langue de son sexe et la fit glisser lentement le long de sa fente. Doucement, ses lèvres s’ouvraient, laissant son jus couler timidement sur ma langue.

Mes doigts écartèrent encore plus sa fente pour que ma langue la lèche plus langoureusement du haut de son sexe jusqu’au bord de son anus. Je l’entendis réprimer ses gémissements, ce qui exaltait mon envie de la faire jouir. J’introduisis ma langue au plus profond de son puits, le nez presque contre son trou mais, me trouvant trop courte, j’insérai deux doigts dans son intimité pour la fouiller, la branler tout en léchant son clitoris et le lui aspirant.

Je sentais les douces contractions de son vagin sur mes doigts. Ma main libre se glissa dans mon boxer trempé, récupéra ma mouille sur mes doigts, caressant au passage mon bouton surexcité, puis déposa celle-ci sur sa rose de la pulpe de mon majeur. Son trou se contracta immédiatement.

Ma langue abandonna alors son sexe pour venir lubrifier le réticent anus de mon assistante qui se détendit alors instantanément, laissant la pointe de ma langue le pénétrer et découvrir sa muqueuse lisse et douce. Puis mon index revint se poser à l’entrée de son cul qui s’ouvrit délicatement.

Je m’y introduisis alors le plus lentement possible. Inès se cambrait au maximum, aspirant mon doigt au plus profond d’elle, son vagin enserrant plus fort mes doigts.

Je faisais aller et venir mon doigt en elle. Je sentais mon autre main qui s’agitait sous son autre cavité quand, d’un coup, je sentis tous ses muscles se tétaniser et son jus couler le long de mes doigts puis dans ma paume. Je léchai alors sa cyprine douce et amère à la fois en continuant de lui branler l’anus. Elle serra les jambes.

« Laure, s’il vous plait…Je n'en peux plus ! »

Je sortis alors mon majeur et l’enfonçais dans son sexe, fouillant et récupérant sa liqueur. Je me redressai et, m’appuyant contre son dos, vins lui offrir mes doigts à lécher.

« Tu aimes ton goût ? Moi, j’ai particulièrement apprécié. Meilleurs que les desserts de la cafétéria,
non ?

- Ce n’est pas désagréable mais je préfère la vôtre. »

Je l’aidai ensuite à se rhabiller puis elle sortit de son sac à main un œuf de taille assez conséquente. Elle descendit mon boxer, s’agenouilla et écarta mes jambes. De sa langue, elle m’essuya la mouille qui commençait à courir sur le haut de mes cuisses, déclenchant un coup d’électricité dans mon sexe.

Elle caressa l’entrée de mon sexe avec l’objet très doux qui se mit à vibrer. J’étais au bord de la jouissance. Les vibrations s’arrêtèrent et, d’un seul coup, Inès m’enfonça l’objet profondément dans le vagin. Une vague de plaisir m’enveloppa.

« Vas-y. Remets-le en route.

- Non, Laure, vous devez attendre. Vous ne jouirez pas maintenant. Il va falloir vous montrer sage à présent.» Me murmura-t-elle doucement avant de sortir des toilettes.

Je remontai ma lingerie, reboutonnai mon chemisier avant de sortir puis, devant la glace, je refis mon chignon et ce n’est qu’en refermant la porte principale des wc, que je vis l’affichette sur la porte.

Sanitaires et toilettes
HORS SERVICE
Veuillez vous rendre au 3éme étage
Merci de votre compréhension

Je souris et m’apprête à rentrer dans mon bureau lorsque David, un de nos commerciaux, m’interpelle pour me parler d’un prospect. Au même moment, je sens dans mon intimité une vibration douce et discontinue. Surprise, je laisse échapper un petit cri, feignant presque aussitôt un point de côté. Je congédiai David et lançai un regard que je voulus noir à Inès, qui me renvoya un regard innocent.

Inès me fit signe qu’elle avait une ligne pour moi au sujet de notre appel d’offre. Je m’assis donc à mon bureau et décrochai la ligne en attente.

Les vibrations reprirent plus fort que précédemment. Je fus obligée de me mordre la lèvre pour ne pas geindre. La conversation dura une éternité et les vibrations ne cessèrent d’être modulées par mon assistante qui me fixait grivoisement. De la douce caresse vibratile à la secousse vaginale, mon souffle commençait à être court. Arrivant difficilement à écouter mon interlocuteur, je prétextai une conférence téléphonique pour abréger mon exquis calvaire.

Je raccrochai et alors que je pus enfin m’abandonner au plaisir et à la jouissance, Inès arrêta l’œuf. Je me tournai vers elle, le regard suppliant. Elle réenclencha la télécommande, visiblement sur la puissance maximale, car une onde de jouissance me parcourut des reins jusqu’au fond du ventre. Mes mains se crispèrent sur les accoudoirs et je ravalai un râle de jouissance.

Mon assistante était aux anges. Je vis son excitation briller dans ses yeux.

« Il est 18h, Madame. Je peux partir ou vous avez encore besoin de mes services ?

- Non...Euh…Oui, Je vous en prie Inès. Allez-y.

- Merci, Madame. Bon week-end.

- Inès ?

- Oui, Madame ?

- J’ai encore quelque chose à vous…

- En effet. »

Elle s’approcha de moi et me tendit la télécommande.

« Bon week-end, Laure.» me dit-elle avec son plus joli sourire.

- Bon week-end, Inès. À lundi »

De retour chez moi, je m'empressai d'aller me faire couler un bain chaud. Je vivais seule depuis maintenant deux ans.

Pendant ma première année de veuvage, je n'avais plus de goût pour les relations intimes. La seconde année, mes amies biens attentionnées m'ont présentée à plusieurs amis mais pas un n'avait su réveiller en moi le désir et l'envie comme l'avait fait Inès ces deux derniers jours.

Je me déshabillai dans la salle de bain, détaillant mon image dans le miroir.
J'étais assez grande, la peau blanche qui contrastait avec mes cheveux brun très foncés, une silhouette harmonieuse dont j'étais assez fière.

Mes seins mis en valeur dans un soutien gorge corbeille, mes hanches rondes, héritage familial de ma grand-mère italienne, mes fesses rondes et fermes, mon abonnement à la salle de sport était, malgré le prix prohibitif, bien rentabilisé.

La dentelle de mon boxer glissa le long de mes jambes, laissant apparaître un sexe imberbe et la boucle de l'œuf vibrant que j'avais fini par oublier. Le souvenir des ondes de plaisir diffusa dans mes reins une douce chaleur. Je le retirai alors presque à regret.

La cyprine accumulée durant l' après-midi coulait doucement sur le haut de mes cuisses. Je rougis légèrement.

J'avais une heure pour me préparer au repas d'affaire avec Vince, le directeur des achats et Monsieur Moreaux. Je me lavai rapidement puis m'affairai à m’habiller, je mis un ensemble noir string et soutien gorge, des bas.

Je séchai mes cheveux et commençais mon maquillage, toujours très léger à peine, de fond de teint et du mascara pour souligner mes yeux verts et du rouge à lèvres.

En moins d'une demi-heure, j'étais prête, coiffée et maquillée. J'avais mis ma robe noire simple mais élégante. Il me restait juste à mettre mes boucles d'oreille et mes chaussures.

Un dernier regard dans le miroir. Je vis l'œuf encore posé. Je le nettoyai et hésitai un instant... Il me restait un peu de temps. J'enduisis donc l’œuf de lubrifiant, écartai mon string et l' introduisis doucement dans ma chatte. Sentir mon intimité se remplir me rappelait à quel point le sexe me manquait.

Je quittai la salle de bain pour me rendre au salon récupérer mon sac et la télécommande qui était dedans. Une fois en main, je mis l'œuf en fonctionnement. Une douce vibration se diffusa dans mon bas ventre.

Je décidai d'accompagner ma séance d'un verre de whisky. À peine installée dans mon divan, je bus une gorgée puis augmentai l'intensité.

Tout à coup, la sonnerie de l'interphone me surprit et mon doigt appuya par erreur sur le programme maximum.

Mon plaisir fut presque instantané, aussi violent qu'inattendu. Je coupai la télécommande, vidai mon verre et me dirigeai vers l'interphone, les jambes flageolantes et le souffle court mais ce fut la sonnerie de la porte qui retentit.

Je pris une grande inspiration, vérifiai mon reflet et ouvris la porte.

« Bonsoir, Vince.

- Bonsoir Laure, je me suis permis de monter avec ta voisine. Comme j'étais en avance, je me suis dit qu'on aurait le temps de discuter un peu du dossier.»

Il était charmant, d'une belle stature, des yeux d'un gris bleu qui changeaient d'intensité selon son humeur ou le temps. Nous étions arrivés presque en même temps dans la société et depuis la mort de mon mari, il n'avait jamais caché son attrait pour moi.

« Bien sûr. Tu as bien fait.» lui mentis- je.

Les spasmes de mon vagin me faisaient regretter de ne pas avoir pu finir ma séance.

- J'allais me servir un verre. Tu veux boire quelque chose ?

- Si tu as un Ricard, je veux bien. Merci.

- Installe-toi au salon, je t’amène ça.»

En préparant les verres, je sentis à nouveau les vibrations de mon jouet.

Merde! La télécommande était restée sur la table du salon...

Je revins au salon avec un plateau, nos verres et quelques olives.

Il avait en effet la télécommande en main puis, me voyant arriver, la repose sur la table.

L’œuf était sur le mode doux mais je craignais que Vincen’entendît les vibrations. Je mis donc un peu de musique.

Re merde! Marvin gay, Sexual Healing... il allait croire que je voulais le chauffer. Je changeai vite et mis la radio. Pas mieux. Rihanna qui voulait son Rude boy. Enfin du Goldman, rien d’évocateur ou de trop sensuel.

Nous trinquâmes et, tout en discutant de Monsieur Moreaux, je serrai mes cuisses au possible en lorgnant sur la télécommande. J’avais chaud. Entre l’œuf et le whisky, je n’avais qu’une seule envie: aller me soulager aux toilettes.

Je fis remarquer à vincequ’il allait falloir y aller si nous ne voulions pas être en retard. Je débarrassai la table en prenant soin de prendre la télécommande avant de filer à la salle de bain pour retirer l’œuf. Mes doigts s’égarent un instant sur mon clitoris mais je devais en rester là.

Je retrouvai Vincedéjà prêt à partir. Il m’aida à enfiler mon manteau. Ses doigts frôlèrent ma nuque. Un frisson descendit le long de ma colonne vertébrale et mes seins se dressèrent d’un seul coup.

J’essayai de me reprendre. C’était la première fois qu’il me faisait cet effet- là.

Dans l’ascenseur, je sentis son parfum. Je ne savais pas si c’était l’œuf ou le whisky mais je commençais à avoir des pensées très axées sur la virilité de mon collègue.

Il m’ouvrit la porte de son coupé sport. Je m’assis en essayant de garder les jambes serrées. Je vis son regard s’égarer un instant sur mes jambes. Il prit place derrière le volant et démarra en passant les vitesses. Je sentais presque la chaleur de sa main proche de mon genou. Mais non, il n'allait pas me toucher.

Nous arrivâmes au restaurant. Il m’aida à sortir de sa voiture en me souriant.

« Pas facile de s’extirper d’ici avec des talons.

- Non, c’est rien de le dire.» lui dis-je en rigolant.

Je me retrouvai presque contre lui, nos yeux à la même hauteur. À nouveau, ce frisson de désir qui me parcourut. Je m’écartai et baissai les yeux de peur qu’il puisse le lire dans mon regard.

Le dîner se passa dans une bonne ambiance. Monsieur Moreaux était un homme intelligent, plein d’humour et grand amateur de vin. Vinceconduisant, il n’arrêtait pas de remplir mon verre, à défaut du sien.

Nous prîmes congé de Mr Moreaux avec lequel nous avions validé la quasi-totalité des points en suspens.

Je m’accrochai à Vincepour retourner à la voiture. Je n'étais pas ivre mais j’avais envie de son odeur et de ses bras autour de ma taille.

Le retour s’agrémenta de frôlements sur mon genou à chaque passage de vitesse. Je me retins de poser ma main sur sa cuisse mais mes yeux fixèrent son entrejambe. J'étais perdue dans mes pensées quand j’entendis sa voix. Nous étions arrivés en bas de chez moi et j’avais toujours le regard arrimé sur sa virilité.

Je le regarde, gênée.

« Il vaut mieux que je te raccompagne jusqu’à ton appartement.

- Non, je t’assure. Ça ira…

- Hors de question. J’aurai encore besoin de toi la semaine prochaine.

- Ok, c’est bon.» dis-je sur un ton d’ado contrariée.

Je n’étais pas sûre de résister à la montée dans l’ascenseur. En cherchant les clefs de mon appartement, celles-ci tombèrent de mon sac. Je m’accroupis donc pour les ramasser. Ce faisant, je me trouvai à la hauteur de sa braguette et je sentis l’odeur de son sexe. J’avais envie de lui, de sa queue.

Je me relevai. Il me saisit les clefs des mains.
« Tu n’es vraiment pas en état ce soir.

- En état de quoi ?

- De rien, juste un état général…

- Je suis parfaitement en état de marche.»

Lui disant ceci, je me collai à lui, lui remontant ma cuisse entre ses jambes.

Il me repoussa.

« Non. Pas comme ça, tu es bourrée.

- Ok, je suis un peu pompette mais je sais très bien ce que je fais et ce que j’ai envie de faire depuis le début de soirée…»

J’agrippai alors son sexe.

« Dis moi que tu n’en as pas envie. Je sens ton sexe se raidir sous mes doigts. »

Sans me répondre, il agrippa mes cheveux sur la nuque, inclina ma tête vers l’arrière et prit ma bouche dans une douce violence. Sa langue força mes lèvres et lutta avec la mienne. Je me sentis vaciller, submergée par une envie animale de lui.

Il arrêta l’ascenseur, me plaqua contre la paroi et souleva ma robe. Il me caressa les fesses, ses doigts accrochant mon string et le faisant glisser le long de mes cuisses.
Je me sentais déjà luisante. Il retira le string et le mit dans sa poche.

Ses doigts cherchèrent ma fente, s’insinuèrent le long de mes lèvres. Je gémis. Sa bouche s’écrasa sur mon cou. Mes mains s’évertuaient à défaire sa ceinture et son pantalon qui tomba sur ses chevilles.

Son boxer rejoignit aussi ses chevilles et je sentis son sexe battre sur mon ventre. J'accrochai une jambe à son bassin. Il me souleva alors et m’empala sur son membre qui glissa en moi profondément.

Mes mains se crispèrent sur ses épaules. J’avais oublié comme il était bon de se faire pénétrer. Je m’abandonnai à ses coups de reins et au plaisir. Ses mains sous mes fesses, je passai ma seconde jambe autour de lui afin qu’il s’insère plus profondément en moi.

J’enserrai son sexe dans les spasmes de mon vagin. Je le sentis battre en moi, prêt à exploser. Nos souffles se mêlèrent et s’intensifient. Je sentis venir ma jouissance, la sienne, la nôtre…

Ses reins se figèrent au fond de moi au moment où je cambrai mes reins de plaisir. Nous restâmes là, accrochés l’un à l’autre, sans parler, sans se regarder. Cachés l’un dans le cou de l’autre, un sentiment de plénitude et de honte planant sur moi.

Il desserra alors son étreinte, se rhabilla et baissa ma robe. Sa semence qui s’échappait de mon vagin et commençait à couler le long de mes jambes. Il redémarra l’ascenseur, toujours sans un mot.

Arrivés à mon étage, il se colla derrière moi et susurra à mon oreille:

« Ce n’était qu’une mise en bouche, laisse-moi te faire l’amour. Maintenant.»

Je fus incapable de dire quoi que ce soit. J'avais déjà du mal à ouvrir cette fichue porte. Il prit ma main et m’aida à ouvrir la serrure. Il me poussa presque à l’intérieur. Je retirai mes talons et mon manteau. Son mètre quatre vingts est plus imposant sans mes talons. Ses doigts descendirent la fermeture de ma robe. Quant à moi, j'étais toujours trop fébrile pour réussir à lui défaire son pantalon.

Il le retira. Son sexe n’avait presque pas débandé. Cette fois-ci, ce fut moi qui le poussai dans le salon. Il tomba sur le canapé. Je m’accroupis devant lui et, tandis qu’il retirait sa veste et sa chemise, mes mains remontèrent le long de ses cuisses, jusqu’à son sexe. Il reprit toute sa vigueur à l’instant même ou je le touchai.

Mes lèvres s’approchèrent doucement, juste assez pour qu’il sente mon souffle sur son gland. Je sortis ma langue et la passai lentement sur celui-ci. J’enroulai ma langue et léchai délicatement avant de le prendre en bouche, doucement.

J’entendis Vinceémettre un grognement. Je le regardai sans lâcher sa queue. Il avait la tête renversée, les yeux fermés.

« Putain, ta bouche,… »

Ces mots suffisent à me faire mouiller. Je sentis mes lèvres qui s’écarter. Tout en continuant de lécher et de pomper sa queue, je n’arrivais pas à le prendre totalement en bouche. Je caressai d’une main ses couilles et, de l’autre, je branlais sa queue. Ses mains vinrent se poser sur ma tête et écartèrent doucement mes cheveux.

Je levai à nouveau mes yeux vers les siens. Ils n'étaient plus si clairs à présent. J'accélérai le rythme de mes allers et retours sur son membre, mes lèvres serrant son sexe. Ma salive débordait de mes lèvres à chaque fois qu’il était au plus profond de ma bouche. Il me prit alors le menton et releva mon visage.

« Doucement, ma belle, sinon je vais jouir…

- Et alors? On a tout notre temps, non ? »

Ma bouche se reposa sur sa queue que j’avalai à nouveau goulûment. Ma langue s’enroula, lécha. Ses coups de reins imprimèrent un rythme plus rapide. Ses mains caressèrent mes cheveux. Par moments, elles me plaquaient, me forçant à le garder en bouche plus longtemps et plus profondément. Mais je ne pouvais l’avaler comme je le faisais avec mon mari.

Je sentis les battements prémices à sa jouissance. Il retira ma bouche de sa source. Je résistai et aspirai plus fort. Je voulais sa semence, la boire, m’en délecter…Un premier jet tapissa ma langue, puis un second. Je le gardai en bouche puis j’avalai son fluide, douçâtre et iodé. Je sentis son membre perdre de sa vigueur sous ma langue.

Mes lèvres déposèrent un dernier baiser sur son sexe puis remontèrent le long de son ventre, de son torse…Il me bascula sur le canapé, se coucha sur moi et m’embrassa longuement…

Nous restâmes l’un contre l’autre un long moment et, avant que je ne bouge:

« Tu as soif ?

- De toi, oui !


- Non, sérieusement, parce que moi oui…

- Dis moi où c’est j’y vais.

- Dans le frigo amène la bouteille d’eau, s’il te plaît.»

J’en profitai pour vite aller mettre un peignoir. Il me retrouva à l’entrée de la salle de bain, me tendit la bouteille d’eau et, tandis que je buvais, défit la ceinture de mon peignoir, effleura la peau de mon ventre puis soupesa mes seins.

Vinceme déshabilla entièrement, d’abord mon peignoir, puis mon soutien gorge, ses pouces caressant mes pointes tendues. Puis, s’agenouillant devant moi, il me prit une jambe, retira mon bas, puis l’autre.

Il se dirigea vers la douche, fit couler l’eau et régla la température. J’observai son corps. Il était bel homme et il devait faire du sport au vu de la forme de ses fesses. Je penchais pour du hand. Il se retourna, me prit par la main et m’entraîna sous la pomme de douche. Sa bouche entreprit d’explorer mon corps, ma peau.

Il releva mes bras, déposant de doux baisers sur le creux de ma paume, dans le poignet, remontant jusqu’à la naissance de mon cou, mes seins, sa langue jouant sur mes tétons alors qu’il tenait toujours mes bras. L’eau coulait sur ses cheveux, sa salive se mélangeait à l’eau.

Tout mon corps ondulait sous ses baisers. Il lâcha mes bras et ses doigts parcoururent ma peau. De très légers effleurements qui m’électrisaient. Il descendit sur le haut de mes cuisses. Attente insoutenable. Je voulais sa langue et ses doigts mais il faisait durer l’attente, monter le désir en moi.

Ses pouces remontaient à l’intérieur de mes cuisses, s’arrêtaient juste avant de toucher mon intimité, puis caressaient ma croupe, son souffle si près de mon sexe. De ses deux mains, il pinça doucement mes lèvres en appuyant sur mon clitoris. Ses yeux croisèrent les miens mi-clos. Je ne pouvais plus réprimer mes gémissements.

Enfin, sa langue se fit inquisitrice. Il l’immisça le long de mes lèvres gorgées de mouille puis écarta celles-ci et prit le temps d’observer. Sa langue était chaude et très experte. Il concentra son attention sur mon bouton, son appendice se faisant tour à tour très doux ou au contraire dardait sur mon clito.

Mon bassin bascula en avant, offrant à ses douces caresses l’entrée de mon vagin. Il souleva ma jambe et la posa sur le banc de la douche. Sa langue visita mon puits ressortait pour me lécher la fente.

Il introduisit ses doigts en moi tout en continuant d’aspirer mon bouton. Mes mains se resserrèrent sur ses cheveux. Il entrait et sortait. essayant à chaque fois d’aller plus en moi.

Je sentais monter la jouissance, enserrer mon bas ventre et électriser mes reins. Mes gémissements se transformèrent en un râle rauque. Son pouce remplaça sa langue sur mon clitoris. Ses yeux ne quittaient plus les miens. Il voulait me voir jouir encore…

« Je veux ta queue !! » les mots étaient sortis comme prononcés par une autre.

« Non, attends encore un peu. » me répondit mon nouvel amant dans un sourire.

Il se releva en couvrant ma peau de baisers. Ses caresses se firent plus appuyées. Ses doigts pincèrent mes tétons, m’arrachant un soupir. Il coupa l’eau et enroula son bassin autour d’une serviette qui ne cachait rien de son excitation. Avec une seconde, il entreprit de me sécher. Je m’enroulai ensuite dans cette serviette trop petite qui laissait deviner la naissance de mes fesses.

Comme je me dirigeais vers le salon, il m’arrêta et m’entraîna dans la chambre face à la salle de bain. Je remarquai son tatouage dans le dos.

Il me retira la serviette, me coucha sur le lit et s’étendit sur moi. Son sexe battait contre le mien. Je le voulais tellement fort. Je voulais qu’il me baise, purement et simplement.

Mais il déposa un baiser sur mes lèvres. Mes mains découvraient sa peau, ses muscles, ses fesses, les siennes descendirent le long de mon corps. Il souleva son bassin puis, de son gland, commença à caresser ma fente. Il s’introduisit ensuite en moi.

J'avais l’impression que son membre était encore plus gros et plus long que dans l’ascenseur. Il n’en finissait pas de coulisser en moi, centimètre par centimètre. J’essayais d’onduler pour le faire entrer plus vite mais plus j’essayais d’accélérer plus il ralentissait.

Une fois au fond de moi, Vincecommença de lents allers-retours, peau contre peau, lèvres contre lèvres, nos souffles et nos soupirs se mêlant. Je me laissai guider par mon amant délicat, apprenant à connaitre son corps. Il avait des bras bien dessinés, un dos musclé mais fin.

Ses reins s’arrêtèrent un instant, puis il sortit son membre totalement pour le rentrer d’un seul coup. Il recommença à plusieurs reprises, augmentant l’intensité de mes gémissements.

Je n’avais plus aucune notion du temps ou de l'espace. J’avais l’impression qu’il était plusieurs. Je sentais ses mains me caresser partout à la fois. Alors que je relevais mes jambes sur son bassin, Vincem’en saisit une, l’appuya sur son épaule et passa la sienne par-dessus mon autre jambe.

Je sentais à présent sa queue butée contre ma matrice. Cette position me fit jouir presque immédiatement. Je ne pouvais plus retenir mes cris. Il me pilonna encore et encore, une de ses mains pétrissant ma poitrine.

Me faisant pivoter encore un peu, vincese trouva derrière moi, en levrette. Je lui tendis ma croupe. Ses mains m’empoignèrent les hanches fortement et il me fit coulisser sur son sexe, la tête écrasée dans les coussins. Je mordis ma main de plaisir. Sentir ses couilles taper mon clitoris allait me faire exploser encore une fois. Mes jambes se crispèrent d’orgasmes. Il resta au fond de moi sans bouger.

Puis il reprit ses lents allers-retours, ses mains caressant mon dos, des épaules aux fesses. Je me hissai sur mes avant-bras et m’empalai profondément sur sa queue, accélérant le rythme de nos ébats.

Je me pris alors une claque sur la croupe qui me surprit autant qu’elle m’excita.

« Chhhhhht, doucement. Profite. Promis, je te baiserai après. Tu l’as dit on a tout notre temps… »

Puis il appuya mes épaules contre le coussin et continua à me faire l’amour comme il l’avait décidé, me faisant jouir de sa langueur et de sa douceur. Il empoigna mes fesses à pleine main. Le feu de sa main était encore présent sur ma peau.

J’enserrai son sexe par les spasmes de mon vagin, ce qui le fit grogner plus fort. Je recommençai alors encore et encore. Je voulais qu’il jouisse en moi et de moi comme il m’avait fait jouir déjà tellement de fois.

Je le sentis se mettre à genoux tout en tenant fort mon bassin. Son rythme devint effréné. Mes seins ballotaient de tout côté. Je m’agrippai au coussin jusqu’à sentir le flot de jouissance m’envahir. Il se retira précipitamment et gicla de chauds et longs jets sur ma croupe frissonnante.

Nous nous écroulâmes alors tous les deux, moi sur le ventre et lui encore à moitié sur mes jambes. Il caressa mon dos, recueillit de sa semence et me la proposa. Je lui léchai le doigt comme s’il s’était agi de son sexe.

« Ça va ? » demanda-t-il doucement.

En guise de réponse je lui souris et vins me coller à lui. L’alcool et la jouissance eurent raison de moi. Je m’endormis contre mon nouvel et tendre amant.

Je ne sus combien de temps je m’étais assoupie mais vincen’y était plus. Je m’étirai, encore frissonnante au souvenir des mes orgasmes. Je pensai intérieurement:

« Quel beau parleur! Oui, je te baiserai après. Tu parles ! »

J’enfilais mon peignoir pour aller prendre à boire. Chaque pas me rappelait la longue et lente pénétration de son sexe en moi.

En arrivant dans le salon, je fus étonnée de le voir à la cuisine portant simplement son boxer, le nez dans mon frigo.

« Eh ! La belle au bois dormant, tu n’as rien à manger ici. J’ai faim et je dois reprendre des forces.

- Tu n’aimes pas les yaourts ? » le taquinai-je.

« Tu veux des œufs brouillés ?

- Des œufs, ou un œuf ? »

Je le regardai, perplexe. Merde, l’œuf ! Il était resté dans la salle de bain !

« Moi, je n’en prendrai pas. Toi, fais comme tu veux » dis-je l’air de ne pas avoir compris.

Je sortis une poêle, trois œufs, et m’affairai à sustenter mon amant affamé. Je nous servis ensuite deux verres d’eau fraiche.

« Qu’est ce qui t’a fait changer à ce point? Dis-moi.

- Comment ça? À quel niveau ?

- Caro, ça commence à faire un moment qu’on se connait. Je n’ai jamais caché mon attirance pour toi. Alors, pourquoi ce soir ? »

- Je ne sais pas, l’alcool peut-être. mentis-je.

- Non, c’est autre chose. Tu es plus animale, plus à fleur de peau qu’avant.

- Est-ce vraiment si important ?
J’ai juste envie et besoin de prendre mon pied, c’est tout ! Ne va pas te mettre martel en tête.

- Je pensais plutôt à te mettre autre chose et ailleurs » me dit il en se collant dans mon dos, les mains sur mes seins.

- Je croyais que tu avais faim »

Je servis les œufs sur une assiette, me retournai en lui tendant l’assiette et une fourchette et m’accroupis devant lui.

« Mange. Ça va être froid et je n’aime pas le gâchis. »

Je sortis son sexe à peine bandé, le caressai doucement, le soulevai pour prendre ses couilles en bouche, l’une après l’autre. Je mis ses "ah" et ses "oh" d’approbation sur le compte de mes caresses, n’étant pas une grande cuisinière. Sa queue se redressa dans ma main. D’un grand coup de langue, j’humidifiai sa hampe de salive et le branlai tout en continuant de lui lécher les burnes. Sa queue était comme je l’avais remarqué plus tôt. De bonne taille et, à présent, parfaitement droite.

« On ne peut même plus manger en paix. Tout se perd.

- Désolée, je voulais juste t’être agréable. »

Il me sourit, me releva par le menton, caressa mes fesses sous le satin du peignoir. Je me sentais déjà fondre quand, dans un souffle, il me dit :

« Prête pour ta séance de baise?»

Je me liquéfiai à ces mots. Ses doigts commencèrent à se rapprocher de mon sexe. Ma mouille coulait déjà de mes lèvres entrouvertes.

« Oui, prends-moi »

Vinceme pencha alors le buste en avant sur la table de la salle à manger. De son pied, il écarta mes jambes et vérifia l’humidité de ma chatte. Il s’accroupit derrière moi, écartant mes lèvres et mes fesses. Il plongea sa langue de mon sexe jusqu'à mon anus, insérant à peine celle-ci. Je me cambrai et tendis ma croupe le plus possible.

« Hmm, tu es dégoulinante, même pas besoin de te préparer. »

Il se redressa. Son gland étala mon jus de ma fente jusqu’à mon œillet.

« Non, s’il te plait.

- Chhhhhhhht fais-moi confiance »

Ben non. Plus sûre de vouloir lui faire confiance, plus sûre de vouloir ma séance de baise.

J’étais là sur la table, les seins écrasés sur la vitre, les jambes écartelées, ruisselante d’envie et tremblante d’appréhension. Il continua ses allers et venues et m’enconna violemment. Je lâchai un cri de surprise autant que de plaisir. Ses coups de reins étaient forts et rapprochés. Son bas-ventre tapait contre mon anus détrempé et cela m’excitait.

Il n’avait plus rien à voir avec l’amant tendre et délicat de tout à l’heure. Sa bestialité me comblait et je me laissais aller à crier mon plaisir, ce qui sembla lui donner plus d’ardeur encore. Vinceme retourna, bascula mes fesses au bord de la table et releva haut mes jambes.

Son regard se fit plus sombre. Il attrapa mes seins et martyrisa mes pointes durcies, les malmenant pour mon plus grand plaisir. Je ne me reconnaissais pas. Il me défonça durant de longues minutes à un rythme soutenu. Je sentis les muscles de mes cuisses se tétaniser. Il me souleva de la table. Je m’accrochai à lui tandis qu’il me remplissait de son membre.

Puis il s’assit sur une chaise. Je lui tournais le dos et m’empalai seule sur lui. Agrippant ma taille, il me fit monter et descendre sur son sexe.

« C’est ça que tu voulais ? Dis-le moi!

- Oui, c’est ça.

- Tu voulais quoi ?

- Je voulais que tu me baises ! »

Plus il me laminait plus je voulais sa queue profondément en moi. Ses doigts se posèrent sur mon clito et me branlèrent délicieusement. Je n’en pouvais plus. Mes muscles me brûlaient mais je le voulais encore et encore.

Il me souleva à nouveau et m’entraîna jusqu’au canapé. Il me bascula sur le dossier, le cul en l’air et la tête sur l’assise. Il se positionna derrière moi et promena son gland de ma fente à mon trou. Je commençais à trouver cela agréable mais son sexe se logea à nouveau dans mon vagin tandis que son pouce me massait l’anus.

Il appuya légèrement la pulpe de celui-ci et s’introduisit doucement. Ne sentant que peu de résistance, il lâcha un filet de bave entre mes fesses puis enfila un doigt qu’il fit glisser très lentement. Étrange contraste de vitesse et de force entre son sexe et son doigt.

Un autre filet de bave descendit le long de ma raie. Un second doigt s’enfouit en moi. Je jouis de cette pénétration. Ses doigts accélèrent la vitesse et me branlèrent à la même vitesse que sa queue. Je mordis ma lèvre pour ne pas crier mais je ne pouvais étouffer les sons gutturaux que j’émettais.

« Tu en veux plus ?

- Oui, je te veux tout ! »

Il sembla hésiter un instant puis je sentis son gland à l’entrée de mon œillet. Il pressa doucement. Une sensation de brûlure intense envahit mon fondement. Vinces’arrêta puis reprit sa lente progression en me chuchotant à l’oreille de me caresser pour aider à oublier la douleur.

Les poils de son pubis touchaient mon cul. Il était donc totalement en moi. La sensation de brûlure passa et je commençai à sentir le plaisir revenir dans mes reins. Il me sodomisa doucement, guettant mon plaisir, puis accentua ses va et vient.

Je me branlai aussi fort que je pouvais, la mouille suintante à la naissance des cuisses. L’orgasme me prit d’un coup. Mon corps fut pris de tremblements. Un râle rauque s’échappa de ma gorge. Je sentis alors vincese cambrer au fond de mon cul et gicler en moi profondément…
J’agrippai alors son sexe ***
J’agrippai alors son sexe, Histoires de sexe , J’agrippai alors son sexe, Histoires de sexe, J’agrippai alors son sexe Histoires et récits érotiques, histoires érotiques et de récits de cul le site des histoires érotiques, Histoires et récits érotiques Histoires de sexe, J’agrippai alors son sexe


Please activate Javascript then refresh (F5),
to open the page and click on the link properly.
Histoires de sexe.
http://dsexe.blogspot.com