Ai Commencé A Me Masturbé Lentement

Ai Commencé A Me Masturbé Lentement | Ma femme Hélène a une sœur, elle se prénomme Inès . Quand je l’ai connu, elle n’était qu’une gamine, mais je vous parle de ça il y a déjà une dizaine années. A présent elle en a 21, elle est très bien sur toute les coutures, mais voilà récemment j’ai fait la connaissance de son petit copain un peu par hasard, elle qui voulait le garder secret aux yeux de sa famille.

Ce dernier au prénom de Luc, je l’ai amadoué pour qu’il ne parle pas de moi à Inès . J’avais déjà dans la tête une drôle d’idée, que j’avais soumis un jour à Luc. Il avait longuement hésité, mais moyennant une bonne enveloppe, ce dernier c’était laissé convaincre.
Comme à leur habitude, après le boulot Luc retrouva Inès au bord de la rivière, comme convenu, ils se glissèrent devant un beau, grand de buis qui les isolaient. Luc attira la jeune fille contre lui et plaqua ses lèvres sur les siennes. En même temps il lui pelotait les fesses, à deux mains.

A bout de souffle ils se séparèrent très vite. Luc enleva le tee-shirt et la jupe de Inès . Dessous, elle portait une parure de sous-vêtement assortie en dentelle de couleur rouge sang. Luc lui pinça les mamelons à travers le tissu. Inès laissa échapper un gémissement. Elle passa une main entre les cuisses de son partenaire et, tâta la bosse qui déformait le pantalon du garçon. Lui-même qui ôta le soutien-gorge, et recommença à lui triturer les pointes des seins pendant qu'elle le massait entre les jambes. Ils respiraient de plus en' plus vite.

C’est alors que Luc baissa la culotte rouge de Inès . Il frotta l’intérieur du sexe de sa copine, en insistant sur les nymphes et les bords du vagin. Elle gémissait sans retenue. Il se débarrassa de son pantalon et exhiba sa belle queue. Inès se laissa tomber à genoux devant Luc. Le gland décalotté émergeait comme une grosse fraise au sommet de la hampe très brune. Elle le goba et le suça avec avidité. Quand il fut sur le point d'éjaculer, Luc la repoussa.

- Mets toi sur le dos vite!

Elle s'allongea sur le matelas d'herbe sèche et de feuilles mortes qui tapissait le sol. Luc s’agenouilla entre ses cuisses écartées. Il se pencha vers le sexe offert, pinça et étira les bords roses de l'entaille. Il ouvrit celle ci de haut en bas, dévoilant les replis de la vulve envahis par une couche de mouille translucide. Les nymphes violacées s'ouvraient, pointes dressées comme des crêtes de coq. .
L'orifice du vagin laissait échapper un flot épais de bave. Luc écrasa la chair plus pâle des bords entre le pouce et l'index. Inès se mit à gémir d'une voix stridente. Luc remplaça ses doigts par l'extrémité de sa queue. D'un seul coup, il enfonça son membre jusqu'au fond. Lentement il fit bouger sa verge d'avant en arrière. Le gland dilatait les parois gluantes du con qui se crispaient.

Luc continua un moment au même rythme, sans accélérer. Inès décollait ses fesses du sol et gigotait. Cette bite qui coulissait en elle sans hâte et d'un mouvement uniforme la rendait folle d'excitation, sans la faire jouir pour de bon. A bout de nerfs elle cria.
.
- Plus vite. Plus fort ! Qu'est ce que tu attends?
- Je pense à un jeu pour tout à l'heure. Tu feras tous ce que je voudrais?
- Oui ... oui, mais baise-moi à fond. Je n'en peux plus!

Sans avertissement Luc accéléra le mouvement. Les plaintes de Inès devinrent de plus en plus fortes et aiguës. A chaque coup de reins, le garçon la clouait sur le sol, faisant crisser l'herbe sèche sous elle. Ils ne tardèrent pas à jouir.

Luc attendit d'avoir retrouvé son souffle pour se retirer. Sa bite avait à peine diminué de volume. Il aida Inès à se relever.

- Maintenant on va s'amuser d'une autre façon, dit-il.
- Mais comment?
- Viens!

Il remonta son pantalon puis l'entraîna entre deux bouleaus qui poussaient au bord de l'étang. Il sortit de son sac de travail, une pelote de grosse ficelle et en coupa quatre longueurs avec son couteau. Inès le regarda faire, les yeux ronds.
- A quoi ça va servir ça?
- Attends, tu vas voir! Mets les bras en croix et écarte les jambes.

Luc lia les poignets et les chevilles de Inès à chaque extrémité des morceaux de corde. La jeune fille protesta.

- Mais qu'est-ce qui te prend? Tu es fou?
- Tu m'as promis de faire tout ce que je voudrais, non? D'ailleurs
ce n'est qu'un jeu.

Inès se résigna, à contrecœur. En un tour de main elle se retrouva écartelée, les membres attachés aux arbres de part et d'autre d'elle. Elle était debout mais ne pouvait pas faire le moindre mouvement et devait garder les jambes écartées. De sa fente à peine close s'échappaient des gouttes de mouille et de sperme qui faisaient une petite mare dans l'herbe.

- Je n'aime pas du tout ton jeu, maugréa-t-elle.Il a l'air complètement idiot.

- Ne t'énerve pas, répliqua Luc. Ce n'est que le début. C'est plus intéressant après.

Il aveugla Inès avec un foulard. Elle secoua la tête dans tous les sens mais le bandeau resta en place.

- Mais à quoi tu veux jouer au juste? cria-t-elle.

Sans rien dire le garçon s'agenouilla. Les jambes de Inès se rejoignaient en formant la pointe d'un V renversé à la hauteur de ses yeux. Il frotta les grandes lèvres entrebâillées du bout des doigts. Malgré elle, Inès poussa un gémissement et respira plus vite. Son clitoris se dressa hors des bords de la fente, tout en haut, épais et long comme un doigt d'enfant. Cela excita encore plus Luc qui lui donna quelques coups de la pointe de la langue. A chaque fois qu'il le touchait Inès poussait une plainte.

Luc se leva et s'éloigna en silence. Prévenu par moi dès le matin, j’attendais mon tour, dissimulé au centre du massif de buis.
- Tu peux y aller, chuchota le garçon. Elle est à point!

J’avais déjà sorti ma queue. Gland décalotté, le membre se dressait hors de ma braguette. Sans faire de bruit, je m’approchais de ma belle-sœur. Celle-ci eut un sursaut quand je lui effleurais l'intérieur du sexe avec mon index.

- Luc, mon chéri, qu'est-ce que tu fais? cria-t-elle. Continue à me lécher, vite!

Je m’agenouillai, et pendant quelques secondes, admira la fente de Inès . L'entaille béait, ouverte au maximum, gluante de mouille, l'orifice du vagin dilaté. A bout d'excitation, et croyant toujours avoir affaire à son Luc, elle se mit à proférer des injures.

Salaud! Salaud! Qu'est-ce que tu attends?

Je me mis à genoux et de la langue suivit les contours de l'entrée du con. La belle-sœur haleta.'

- Plus ... plus fort! Comme tout à l'heure!

Je me mis en devoir de lui lécher le clitoris et elle poussa des plaintes de plus en plus bruyantes. Je pris le bourgeon entre mes dents et le mordilla doucement de façon à ne pas faire jouir la jeune fille tout de suite. Inès gigotait autant que le lui permettait les entraves de ses bras et de ses jambes.

Très vite je me relevais. Je posais mon gland contre l’entrée de son con et appuyais lentement. Ma queue pénétra avec facilité dans le vagin agréablement lubrifié. Malgré son excitation, Inès sentit la différence.

- Oh… on dirait qu'elle est plus grosse que tout à l’heure? Bafouilla t elle. "

Je me gardais bien de répondre. Je commençais à voyager dans son sexe, d’avant en arrière, à un rythme de plus en plus rapide. Elle cria d'une voix stridente et elle avait déjà joui quand j’éjaculais.

Très vite, je me retirai, Passant derrière Inès , puis je lui touchais l’anus. La position debout de ma belle-sœur, me permettais pas malheureusement de l'enculer facilement. J’hésitais puis enfonçais deux doigts d’un seul coup dans l’orifice. Inès protesta. , . .

- Luc, arrête! C'est sale et ça fait mal. Je faillis laisser échapper une remarque sarcastique. Tout en frottant l'intérieur du rectum de Inès , je me branlais de ma main libre. Au bout d'un moment je crachais un petit jet de sperme qui coulait sur les fesses de ma belle-sœur. Je retirais mes doigts puis m’éloignais sans faire de bruit. Maintenant que mon excitation était retombée, je me sentais partagé entre la honte et l’apaisement.
Je repris tout de même mon poste d’observation. Luc s’était rapproché de sa compagne. Il la détacha et lui ôta son bandeau. Essoufflée et prise de vertige, elle se laissa tomber à quatre pattes dans l'herbe.

- Comment trouves-tu mon jeu? demanda Luc.
- Il est excitant mais à un moment j'ai eu l'impression que ce n'était pas toi qui me baisais.

Luc ne répondit pas. Il n'avait pas rentré sa queue dans son pantalon et il bandait. Il s'agenouilla derrière Inès , la prit aux hanches et tâtonna avec son gland à la recherche de l'entrée du vagin.
- Oh non, tu ne vas pas remettre ça?
- Mais si, j'ai encore envie de toi. Cela me fait de l'effet de te voir comme ça!.

D'un seul élan il enfonça sa bite dans le con. Inès poussa une petite exclamation.
- C'est bizarre. On dirait qu'elle est moins grosse à présent. .
- C'est parce que tu n'as plus les yeux bandés. Quand on n'y voit pas, tout semble plus gros.

Sans laisser à Inès le temps de réfléchir, Luc retira son membre graissé de mouille. Il en posa la pointe entre les fesses de la jeune fille, contre l'anus. Le sphincter céda avant que ma belle-soeur n'ait compris. Elle cria pendant que Luc s'enfonçait dans son cul jusqu'à la toucher avec son ventre•.

- Oh arrête, ça fait mmaaal. Aie!
- Ne bouge pas; ça va passer et tu aimeras! Tu vas voir!
En pleurnichant Inès resta immobile. Luc attendit pour lui laisser le temps de s'habituer à sa présence. A sa grande honte, Inès sentit renaître son excitation. Quand Luc commença à aller et venir entre ses fesses, elle se mit à haleter. Les deux tourtereaux avaient joui ensemble.

Il n'attendit pas que sa queue soit dégonflée. Tout de suite il la sortit du cul de Inès . Celle-ci se redressa en faisant une grimace de douleur. Elle se frotta le derrière.

- Tu n'as pas trop mal? Demanda Luc.
- Si, un, peu, mais c'est supportable. N'empêche que tu es un drôle de vicieux. Cela ne t'as pas suffi de me baiser deux fois. Il a fallu que tu m'encules, en plus!
- Et comment tu as trouvé ça? "
Inès se garda bien de répondre. Elle ramassa ses affaires et s'éloigna vers la civilisation. Luc la suivit après m’avoir fait un geste amical

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Le repas de Noël vient de s'achever, il est une heure du matin.
Mon beau-père me demande de reconduire ma belle-soeur Nadine, car il a trop bu pour prendre le volant. Il n'y a plus assez de place pour qu'elle puisse dormir chez ses parents d'autant que nous avons prévu de dormir chez eux, ma femme Christiane, mes deux enfants et moi-même.
Nadine habite à 20 km, je vais en avoir pour une heure car il n'y a que des petites routes pour se rendre chez elle. Christiane me dit qu'elle va se coucher car elle est fatiguée. Quand le prends mon manteau, elle est déjà dans la chambre occupée à se glisser dans le lit en petite culotte. Je l'embrasse en caressant ses minuscules seins (85A) et m'en vais. Christiane fait 1M70, elle est brune avec des jambes superbes, un derrière rebondi et une poitrine minuscule.
Sa soeur Nadine a été fabriquée dans le même moule sauf qu'elle est plutôt blonde et possède une poitrine plus évidente.
Pendant le trajet, nous discutons de toute sorte de choses et même un peu de sexe. Arrivés chez elle, je lui demande d'entrer pour satisfaire un besoin naturel. En sortant des toilettes, je la trouve dans la cuisine en train de boire un café. Nadine m'en propose et je ne refuse pas car ça me fera du bien. Je m'apprête à partir et je l'embrasse sur la joue quand elle me rappelle en me disant 'tu pourrais être un peu plus câlin en me disant au revoir !'
Je ne m'attendais pas à entendre cela. Ce n'est pas la première fois que je la raccompagne, et mon départ a chaque fois été sobre. Elle voit dans mes yeux que je suis surpris et que je ne sais comment réagir. Elle me demande d'approcher et me dit 'ce n'est quand même pas difficile d'être câlin'. Et aussitôt, elle me dépose un baiser sur la bouche.
Ma belle-soeur Nadine m'a donné un baiser, la surprise est encore plus grande. Elle me répète sa demande 'essaye d'être un peu câlin'. Je me place derrière elle et l'embrasse longuement dans le cou en posant mes mains sur son ventre. Elle met ses mains sur les miennes, et à la fin de mon baiser, elle me dit 'c'était pas mal du tout'. Elle prend mes mains dans les siennes et remonte vers le haut de son corps. Elle les dépose sur sa poitrine. Je caresse cette poitrine nue à travers son gilet et sens déjà ses mamelons pointer.
Pendant le repas, sa poitrine reposait calmement dans un soutien, mais ici elle n'en a plus. Elle a du le retirer pendant mon passage à la toilette. Sa poitrine est plus grosse que celle de sa soeur et c'est très agréable.
Etant collé contre elle par derrière, elle a senti que je ne restais pas indifférent à ses charmes. Elle se retourne et me dépose à nouveau un baiser sur la bouche. Je la prends dans mes bras et essaye de l'embrasser, mais elle se détourne. Je déboutonne son gilet bien lentement bouton par bouton afin de voir apparaître son corps le plus lentement possible. Je vois tout d'abord la vallée entre ses seins, ensuite son nombril et j'arrive au dernier bouton. Pendant que je défaisais les boutons, elle en a profité pour me caresser à travers mon pantalon.
Je lui enlève son gilet et vois pour la première fois apparaître une poitrine superbe, pas énorme mais pas petite non plus (90B/C) terminée par de très jolis tétons roses. Ceux-ci pointent déjà bien, et en les roulant dans mes doigts, Nadine commence à gémir. Je me place à nouveau derrière elle afin qu'elle sente mon trouble et continue à caresser ses seins.
J'entreprends de descendre une main vers son nombril. Quelques secondes plus tard, ma main écarte l'élastique de sa jupe et plonge vers son intimité. Elle arrête ma main. Elle se retourne et s'éloigne de moi. Elle est face à moi, à deux mètres, les seins fièrement dressés, en jupe et bas. Elle est superbe. Elle retire sa jupe. Elle porte un string noir et s'empresse de me le montrer en tournant sur elle-même. Elle est absolument divine. De belles jambes bien longues et emballées dans des bas noirs sous des hanches étroites, des fesses rebondies et une poitrine exquise.
Inévitablement, la comparaison avec sa soeur se fait dans ma tête. Je suis jaloux, Nadine est encore mieux proportionnée que Christiane. Je m'approche d'elle mais elle me repousse. Elle me dit 'regarde-moi bien et dit moi ce que tu trouves de bizarre'.
J'observe Nadine en commençant par ses cheveux, mes yeux descendent sur son visage ovale en m'attardant sur ses yeux. Il y en a bien deux et ils sont tous les deux bleus clairs. Son nez a bien deux narines et sa bouche deux lèvres pulpeuses à souhait. Son cou et à nouveau sa poitrine. Elle a bien deux seins et un seul nombril, deux jambes, deux pieds et dix doigts de pied. Je lui demande de tourner. Je vois à présent son dos et ses fesses. Je l'observe longuement sans rien trouver de 'bizarre'. Mes pensées se perdent et je me mets à rêver de ce que pourrais faire avec elle.
Après quelques secondes elle me dit 'ce n'est pas derrière' et elle se retourne à nouveau. Elle ajoute 'si tu ne trouves pas, je vais me coucher et tu rentres dormir chez mes parents !'.
Je lui demande si elle doit rester habillée car si ce que je cherche se trouve sous son string ou ses bas... Elle me répond par un large sourire et me disant 'bien essayé mais ...' J'observe à nouveau Nadine et après quelques minutes, je décide de la faire bouger. Je lui de demande de s'accroupir, elle s'exécute sans la moindre retenue, je vois ainsi son string disparaître entre ses jambes et je peux apercevoir sa fente à travers le tissu tendu. Elle s'en rend compte mais elle continue de jouer le jeu. D'ailleurs, c'est son jeu, et la seule règle est que je ne peux pas la toucher.
Je lui demande d'écarter les jambes. Cette position me donne encore plus envie d'elle mais il faut trouver. Nadine a un grand sourire (elle m'avouera plus tard, qu'elle ne s'attendait pas à ce que le jeu l'emmène dans cette direction). Je lui demande à présent de se coucher sur le dos, de lever les jambes et de les écarter. Dans cette position, elle est encore plus désirable. J?aperçois la corde de ce string qui cache suffisamment son sexe pour m?en donner encore plus envie. Seuls quelques poils dépassent, ce qui indique qu?elle soigne sa pilosité intime. Elle s'exécute tout en continuant de sourire. Elle se relève et se penche en avant, sa poitrine pendant librement comme deux petites balles de tennis. Je lui demande de lever les bras et à présent sa poitrine remonte vers son cou. Elle est extraordinaire.
Cinq minutes plus tard et après de multiples poses, elle me dit 'tu m'as vue dans toute les positions ... qu'as-tu trouvé?' Encore quelques secondes d'hésitation, je finis par lui dire que tout ce que j'ai trouvé est une petite différence de taille entre ses deux seins. Elle ne dit rien et j'observe sa réaction. Elle s'assied puis se couche, et entreprend de retirer son string. Sa toison minuscule et bien taillée la rend irrésistible. Seul un petit triangle de poils bruns semblent indiquer l?entrée de l?arène où se dérouleront les jeux.
Elle se relève et vient se coller à moi. Elle me dit 'maintenant, tu peux goûter mais goûter seulement'. Un instant, je me dit qu'il va y avoir une suite à ce jeu afin de pouvoir assouvir toutes mes envies.
Je descend et embrasse ses tétons tant enviés. En un instant Nadine se remet à gémir. Tout en l'embrassant, je retire ma chemise et colle sa poitrine contre la mienne. Mes mains parcourent son dos et lui procurent des frissons et finissent par atterrir sur ses fesses bien rondes et fermes qu?elles ne cessent de caresser. Je couche Nadine sur le divan et me place à genoux devant elle. Elle est presque nue, seuls ses bas sont restés. Ma main précède ma bouche, je m?attarde sur ses tetons érigés vers le ciel tandis qu?elle me dit ?vas-y, goûte ! '.
J?abandonne sa poitrine et descend vers le nombril , ma langue s?y attarde tandis que ma main est déjà occupée à tourner autour de son clitoris. Ma langue quitte son nombril et descend vers son sexe. J?arrive à son clitoris qui a déjà pris du volume. Elle s?est parfumée, ce n?est pas désagréable mais je le regrette tout de même un peu. Je lui dit que c?est dommage car l?odeur d?un sexe féminin rend fou et permet d?oser plus de choses. C?est enivrant comme l?alcool, sans les effets secondaires du lendemain. Elle me répond que ses amants lui ont souvent dit qu?elle avait une odeur particulièrement forte et que depuis, elle a décidé de se parfumer.
Je suce son petit bouton tout rose tandis qu?elle écarte ses jambes et m?offre ainsi tout son sexe sans retenue. Elle est toute mouillée et je n?ai aucune difficulté à introduire deux doigts dans son vagin. Elle sursaute mais me demande de ne surtout pas arrêter. Mes doigts entrent et sortent tandis que ma langue ne quitte pas son clitoris.
Quelques secondes de ce traitement et Nadine se raidit et dans un gémissement ou plutôt un hurlement elle, jouit. J?ai retiré mes doigts mais ma langue continue son travail. Un flot envahit partiellement ma bouche et mon menton pendant qu?elle tremble de tout son corps. Elle se laisse ensuite tomber sur le divan et reprend son souffle pendant un instant. Elle me demande de me coucher, elle me pousse par terre, elle m?enjambe et s?assied sur moi.. Je sens son sexe humide et tout chaud sur mon estomac. Elle se penche sur moi, elle commence à me nettoyer ma bouche et mon menton de sa langue. Je me laisse faire, ce n?est pas pour me déplaire et c?est une grande première. Une femme jouit sur mon visage et me nettoie de sa langue.
Tout à coup, elle se retourne, de sorte que je voie à présent son dos et son cul superbe. Je sens une main qui s?attaque à la boucle de ma ceinture, et en un instant, elle a replié mes genoux pour enlever mon pantalon. Mon slip ne me fait pas plus long. Me voici nu, ma belle soeur assise sur moi.
Elle ne reste pas longtemps assise car elle s?étend sur moi. Elle a le visage sur mes pied, les seins sur mes genoux et son sexe sur mon ventre. Elle recule tout doucement sur moi. Je sens ses seins sur mon sexe. Elle joue un peu, elle agace mon gland avec un mamelons encore bien dur et ensuite elle m?emprisonne entre ses deux seins. Elle monte et elle descend tout doucement, tandis que la peau de mon sexe n?a d?autre choix que de suivre. Cette douce branlette est extrêmement agréable. Je ne savais pas belle soeur aussi experte. Ses seins finissent par laisser mon sexe et elle descend à nouveau vers moi. Son sexe est maintenant à portée de langue, elle écarte les jambes tandis que j?essaye d?enfoncer ma langues le plus profond possible dans son vagin. Je sens maintenant sa langue qui entoure mon gland, cette chaleur humide est très enivrante. En un instant, elle saisit mon engin en pleine bouche et démarre une fellation qui me fait déjà frémir. Ma langue a quitté son vagin pour remonter vers son anus. J?ai humidifié un doigt dans son vagin pour permettre un passage plus facile de sa rondelle. J?enfonce un doigt et immédiatement sa main me retire. Elle lâche mon sexe un instant pour me dire qu?elle n?aime pas cela. Elle reprend sa fellation aussitôt. Je n?insiste pas et ma langue descend à nouveau vers son clitoris toujours gonflé et je le caresse avec à nouveau deux doigts dans le vagin.
En quelques secondes, nous jouissons en même temps, tandis que j?inonde sa bouche, elle inonde mon visage. Elle se laisse complètement aller et retombe sur moi et nous ne bougeons plus pendant quelques minutes. Nadine se lève et s?assoit sur le divan et me dit qu?il va être temps que je parte. Elle m?accompagne à la salle de bain. Elle me lave le visage et le sexe et m?envoie me rhabiller. Elle m?observe nue tandis que je remet mes vêtements. Un bisou léger sur la bouche et elle me dit ??pas trop mal comme câlin
J?ai prétexté deux contrôles d?alcoolémie sur les trajets pour justifier mon retard et mon beau-père m?a dit qu?il avait eu raison de m?envoyer à sa place... s?il savait !

Un immense moment de gêne a passé. Je n'osais bouger, et elle non plus. Je me suis finalement levé, me suis approché d'elle, et lui ai dit

'Viens Isabelle, asseyons nous?.' Je lui ai fait la bise, très pudiquement. Elle m'a embrassé aussi sur les joues, sans me regarder.

J'ai commandé deux nouveaux wyskies, et nous n'avons rien dit jusqu'au retour du garçon?

J'ai essayé de détendre l'atmosphère en disant, d'un ton enjoué 'Et bien, pour une surprise !!!'

Elle a souri, génée. 'Oui, çà, je n'imaginais pas te trouver là !' 'Je ne pouvais imaginer que ce soit toi Isabelle, qui ai dialogué avec moi comme nous l'avons fait tous ces derniers jours ! C'etait si bon?.' 'Arrete, Eric, c'est vrai que c'etait divin, mais çà ne pouvait être toi avec qui je me ?.'

Nous avons ainsi commencé à parler de nos dialogues passés, et doucement, avons abordé les moments les plus chauds que nous ayons partagé , sans savoir a qui nous parlions?..

'Et toi, Isabelle, qui te pamais et te caressais devant moi, en me regardant decalotter mon sexe debout devant toi?.' 'Et toi, Eric, qui te branlais en me regardant passer mes seins par dessus mon soutien gorge?.'

Notre dialogue redevenait complice, très excitant, comme sur minitel?. Je ne voyais pas ou ca pouvait mener, mais c'etait très agréable?. C'est elle qui a fait le 'premier pas'? elle m'a regardé, avec l'?il un peu egrillard? 'Tu?. Le ferais vraiment, tout ce que nous avons dit, Eric ?'

J'ai déglutis, je pense que j'ai du rougir?. 'Oui, Isabelle, j'en ai très envie?.'

'Meme avec moi, ta belle s?ur ?' 'Encore plus, Isabelle, tu me faisais réver depuis que je suis jeune homme? je crois même que je t'ai parlé de ma belle s?ur lorsque nous dialoguions sur minitel, je t'avais avoué que je me masturbais parfois en pensant à elle, lorsque j'avais pu apercevoir ses seins ou ses cuisses lors d'un déjeuner de famille?..' Elle était pivoine, et tout d'un coup m'a dit?.. 'Allons à la maison? j'avais prévu de faire cela avec l'inconnu du minitel?. Personne ne rentrera avant ce soir !'

J'etais terrassé de gêne, surxcité aussi par sa déclaration.. Elle était déjà debout, passant a travers les tables en faisant onduler son bassin?. J'ai réglé, me suis levé et l'ai rattrapée.

Sa voiture etait toute proche, et nous nous sommes assis. Elle a démarré en riant 'Je suis folle, Eric, nous sommes fous, mais tu m'as tellement donné de plaisir sur minitel?. Je reve de cette situation depuis le début?. Et? j'avoue que les regards un peu coquins que je t'ai vu me porter parfois ne me déplaisiaent pas non plus?.'

Le trajet fut court, elle habite dans le VIIème arrondissement. J'avoue que mes yeux se laissaient aller sur ses cuisses un peu dénudées par la jupe retroussée.. Elle portait des bas sombres, et la forme de ses cuisses était magnifique? 'Tu aimes mes jambes, Eric ? Elles te ? plaisent ?' 'Oh Isabelle, j'en reve depuis si longtemps, de pouvoir les regarder sans me cacher?.'

Nous sommes arrivés, et l'!instant d'après nous étions dans l'apprtement de mon frère ainé.

Ce salon ou je venais souvent m'effrayais un peu, tant il était lourd de m'y retrouver aujourd'hui, seul avec Isabelle, surtout en achant ce que nous allions y faire?.

Elle a fermé la porte à clef, et m'a dit de m'asseoir au salon. Elle est revenue avec deux verres de scotch, et s'est assise en face de moi, jambes croisées.

Nous étions tous deux génés, le c?ur battant, sans rien dire?. Ous avions tellement de fois vécu cet intant, démarrant nos dialogues en étant exactement dans cette position?.

'Tu commences, Eric ? 'Elle me souriait?

J'ai déglutis, je devait etre rouge de honte? Dans nos dialogues, tout était très simple ? mais là ! 'Tu as honte, Eric, tu veux qu'on arrete ? ' 'Non, non , Isabelle, mais j'ai une peu .. .de mal à te regarder de façon si crue, à te dire.. comme dans nos dialogues? que j'ai envie de ? te montrer ma queue qui bande pour tes jambes ?..' Elle a éclaté de rire?. 'Moi aussi, j'ai du mal à te dire que ? je ? mouille déjà en sentant ton regard sur moi? que j'aimerais voir ton gland se décalotter sous tes doigts?.'

Le ton était donné, et dans le rire, j'ai osé commencé.. J'ai posé ma main a plat sur mon entrejambe, en ouvrant mes genoux comme dans nos dialogues?.'

Isabelle regardait ma main qui dessinnait la forme de mon sexe tendu sous le pantalon.

Mes yeux courraient, désormais sans gêne, sur le galbe de ses mollets, de ses genoux, de la naissance de ses cuisses?

Je voyais les yeux d'Isabelle suivre les mouvements de mes doigts? 'Tu veux?. Le ? voir, Isabelle ?' 'Oui, Eric, montres le moi, montre toi nu, entierement nu pour moi?.'

J'ai commencé à déboutonner ma braguette, a glisser mes doigts sous l'etoffe, ecarter les pans de la braguette, soulevr l'elastique de mon calecon?.. Hesitant, encore géné, j'ai fini par sortir doucement mon sexe du tissi? Il etait extremement dur, surexcité par la situation?. Isabelle vait les joues rouges, en regardant mon sexe sorti pour elle? De deux doigts, doucement, je l'ai décalotté a fond pour elle, comme dans nos dialogues?.

'Il est ? beau, Eric, si beau?. Branle le pour moi?.' J'ai fait passé mes testicules par dessus l'elastique, et je n'en revenais pas, j'etais assis, genoux ouverts, face à ma belle s?ur, en train de me masturber, le sexe nu devant ses yeux?.

Ses yeux ne quittaient pas mes doigts qui allaient et venaient sur ma queue?.

'Desahbilles toi, Eric, je veux te voir comme dans nos dialogues, te masturber tout nu, debout ici, au milieu du salon?..' L'excitation avait levé mes inhibitions? En lui souriant, je me suis mis debout, ai rétiré chussures, chaussettes; fait glissé pantalon et caleçon, retiré ma chemise? Je me suis mis debout devant elle, à 1m50 ou 2m d'elle, les pieds légérement écartés, et ai commencé a me masturbé lentement?

Elle était rouge d'excitation, son regard courrait sur tout mon corps nu?

J'ai vu comme dans un rêve ses mains venir commencé à dégraffer sa veste de tailleur? Elle ne portait dessous qu'un sg demi balconnets, qui mettaient en valeur ses seins si ronds qui m'avaient tant fait bander adolescent?.

Elle a commencé à les malaxer? a les pétrir en me regardant? et soudain, comme dans nos dialogues, elle a saisi ses globes et les a fait passer par dessus le sg?. Ses tetons etaient longs, durcis, tres sombres?. 'Tu es si belle, Isabelle?. Caresse toi bien pour moi, Isabelle, montre moi tout?'

Je me masturbais un peu plus vite désormais, les yeux rivés sur sa poitrine nue, les seins soulevés par le rebord du sg?. Elle a décroisé ses jambes doucement, et a posé un pied sur le rebord de la table basse?

Mes yeux se sont engouffrés dans l'ombre de son entrecuisse.. Elle portait des dim upo, et je voyais la chair nue du haut de ses cuisses?. Et ? et?. Son sexe dénudé? Elle ne portait pas de culotte?. 'Isabelle, oh Isabelle?. Je révais de ton sexe depuis si longtemps?. Montres le moi, caresse le pour moi? Exhibe toi devant moi, comme moi !'

Elle souriait et gemissait un peu en se massant les seins? Elle a fait glisser ses fesses vers le bord du fauteuil? Sa jupe se retroussait au fur et a mesure de son mouvement.. La jambe dont le pied etait sur la table basse s'ouvrait de plus en plus? Je voyais apparaître le renflement divin de son pubis, les levres charnues de son sexe, sa toison tres fine, son clitoris deja gonflé, rouge?. J'accelerais ma masturbation, m'approchant d'elle?

'Il te plait, Eric, mon minou ??? ' 'Oh Isabelle, il est magnifique, ouvre le , ouvre le pour moi?.'

Une de ses mains a glissé sur son ventre, est passé par dessus la jupe toute roulée sur son bassin, et ses doigts ont glissés sur son entrejambe? de deux doigts, elle a écarté ses lèvres épaisses?.. son médius a écrasé son clitoris? Elle gemissait?. 'Oh, Eric, tu es si beau?. Branles toi bien en me regardant, branles toi pour moi?..' La situation était folle?..

Nu, debout devant ma belle s?ur? Elle, ouverte totalement devant moi, les seins par dessus le sg, le sexe offert, qu'elle masturbait?..

J'ai senti le plaisir venir? 'Isabelle? Isabelle.. je vais ? je vais venir !'

'Viens Eirc, viens vite?. Jouis pour moi.. Je veux voir ta queue cracher ton seprme sur moi? Jouis sur moi?'

Je me suis arquebouté sur mes pieds nus.. mes reins etaient cambrés à l'extrême? mon sexe palpitait dans ma main, au dessus de ses jambes ouvertes? Et soudain? j'ai explosé !

'Ahhh? Isabelle?.. je jouis?.. c'est bonnnnn?.'

De longs traits de spemre chaud ont éclatés, traversant l'éair de la pièce, ils sont venus s'écraser sur la peau nue de ma belle s?ur?. Sur ses cuisses, sur son sexe ouvert, sur sa main qui la caressait.. sur la jupe, sur un sein??

Je ralais de plaisir?. En la voyant se masturber le sexe avec mon sperme chaud qu'elle faisait entrer en elle avec ses doigts?. Elle s'est arqueboutée aussi, et je l'ai vu jouir.. son sexe ruissellait sur ses doigts?.

Je me suis mis a genou, epuisé, entre ses jambes ouvertes? Nous nous regardions tous deux, souriant, merveilleusement impudiques?..

C'etait divin !

Nous ne l'avons jamais refait depuis, nous étant promis de ne jamais en parler, pour ne pas gacher nos vies? Reste le souvenir !

Après l?épisode de la noël, Nadine, ma belle-soeur et moi avons eu d?autres occasions d?être ensemble.
Ma femme Christiane a invitée sa soeur, Nadine, à venir passer la fin de l?après-midi et la soirée dans notre maison à la campagne.
Nous sommes en juin, il fait un soleil splendide et j?ai installé une piscine légère (3 mètres de diamètre) dans le jardin. L?eau a déjà eu l?occasion de chauffer durant quelques jours, ce qui fait qu?elle est bien agréable.
Nous sommes tous les deux dans l?eau. Christiane a mis son petit maillot deux pièces de couleur bleue qui lui donne une silhouette superbe. De longues jambes fines montant vers une slip de bain très fins et fort échancré rallongeant encore la taille de ses jambes. Par contre, le soutien semblait trop grand mais... c?était la plus petite taille dans ce modèle.
Je lui demande de retirer le haut afin que je puisse admirer ses tous petits seins. Elle refuse, je la supplie... elle refuse toujours.
Evidemment, une bagarre débute dans l?eau. Je prends facilement le dessus et je lui descends son soutien et enfin je vois sa poitrine. Elle s?avoue vaincue et dégrafe le soutien et le jette hors de l?eau. Nous nous enlaçons, nous nous embrassons, ma main saisit un sein puis immédiatement le mamelon. Ma bouche prend rapidement la place de mes mains. Christiane a plongé sa main dans mon maillot qui ne tarde pas à se déformer. Elle commence à gémir quand on entend tousser au pied de la terrasse...
Nadine, ma belle soeur et arrivée beaucoup plus tôt que prévu et nous surprend en plein début de partie privée. Elle a dit avoir sonné mais comme nous ne répondions pas, elle est entrée. Il est vrai que nous n?entendons pas la sonnette du jardin.
Christiane sort de l?eau et attrape rapidement son soutien et le remet. Moi, je traîne un peu plus afin que mon maillot reprenne une forme moins provocante. Nadine ne semble pas exprimer la moindre gêne de nous avoir trouvé en plein ébat. Elle suit sa soeur vers la cuisine pour servir l?apéro et me fait un clin d?oeil pour me signifier qu?elle a bien vu la raison pour laquelle je ne sors pas de l?eau. Depuis notre adieu torride de la noël, je ne la regarde plus de la même manière. Je la regarde s?éloigner vers la cuisine et cela ne m?aide pas à reprendre mes esprits !!! Elle est entièrement vêtue de noir. Une jupette courte sur ces jambes superbes. Un débardeur noir et court laissant apparaître une ligne de peau bronzée au milieu de laquelle le nombril trône. Ses cheveux blonds ont poussé depuis décembre et viennent en partie cacher les bretelles de son débardeur. Elle ne porte pas de soutien, je distingue sans problème deux minuscules pointes tendant le tissu et terminant ses seins.
Les deux filles reviennent quelques instants plus tard avec un plateau. Je suis toujours dans l?eau. Ma tenue est à nouveau correct et ma femme me demande de sortir de la piscine et de venir les rejoindre sur la terrasse. C?est à mon tour de refuser et je lui dis que ça serait mieux si c?était elles qui venaient me rejoindre prendre l?apéro dans l?eau. Elle n?a qu?à prêter un maillot à sa soeur, elle ont quasiment la même taille.
Elle reviennent quelques instants plus tard, Nadine portent un ancien deux pièces vert de sa soeur. Elle sont toutes les deux à croquer avec un plus non désagréable... Il y les seins de Nadine qui semblent vouloir s?échapper de ce soutien trop petit.
Elle entrent dans l?eau et tchin tchin, on discute... Un second apéro ensuite un troisième. La discussion est plus cool et je finis par dire à Nadine que son soutien est trop petit. Elle le sait, sa soeur le sait et je le sais. Je lui demande de le retirer.
Ma femme me fusille du regard mais Nadine enlève le dessus sans attendre le moindre commentaire. Je persuade Christiane de faire la même chose. Elle n?accepte pas comme tout à l?heure et elle sort de l?eau pour disparaître dans la maison.
A son retour, elle n?a plus de soutien et nous apprend qu?en même temps, elle est allée fermer la porte d?entrée. Nous continuons à discuter. Je suis ravi, jamais je n?aurais imaginé avec les deux soeurs en face de moi dans le piscine avec les seins à l?air.
Elle ont la même forme de poitrine, quatre seins assez rond terminés par des mamelons roses mais avec une différence de taille bien marquée. Ma femme chausse du 85A tandis que sa soeur doit bien être à 90 B ou C.
L?après-midi tire à sa fin et il va falloir préparer le repas du soir. Christiane avait décidé d?inviter sa soeur pour un barbecue. Nous sommes sortis de l?eau à mon grand regret car cela signifiait plus que probablement la fin des seins à l?air. Aussitôt pensé, aussitôt réalisé, elles ont toutes les deux enfilé un t-shirt.
Je me suis occupé d?allumer le feu pendant que les soeurs préparaient une salade et un plateau de viande à griller.
Il faisait un temps extra et nous avons soupé sur la terrasse. Une bonne et même deux bonnes bouteilles de vin rouge pour parfaire le repas.
Je proposer de prendre le pousse dans la piscine. Les deux filles ont immédiatement accepté. Je suis allé cherché le pouce et à mon retour, elles étaient déjà dans l?eau avec les seins déjà dénudés. Elles savaient que j?allais d?une manière ou d?une autre le demander alors elles l?ont exécuté sans m?attendre.
Il devait être 23h00 quand Nadine a commencé à parler de son retour. Sa soeur et moi lui avons quasi interdit de prendre le volant dans cet état : quelques apéros, deux bouteilles de vin et un excellent pousse café.
Nadine finit par avouer qu?elle n?avait rien de spécial à faire le lendemain matin et qu?à cette seule condition, elle acceptait de passer la nuit dans la chambre d?amis.
Ce problème réglé, j?ai proposé un second pouce et j?ai resservi tout le monde. Les deux filles commençaient à avoir des difficultés d?expression et ont décidé qu?il était temps d?aller dormir. J?ai décidé que je restais encore un moment si Christiane n?y voyait aucun inconvénient. Nadine et Christiane sont venues m?embrasser et sont parties se coucher.
De la piscine, je voyais les lumières des deux chambres s?éteindrent.
Quelques minutes plus tard, je me suis resservi un dernier alcool. Tout en savourant mon pousse et couché dans l?eau, je repensais à la folle nuit de noël que j?avais vécue avec ma belle soeur. Mon imagination me faisait revivre la scène et je commençais à durcir dans mon maillot.
J?ai écarté l?élastique du slip et j?ai laissé sortir mon gland. Ma main avait déjà commencé un va et vient quand une main vient de poser sur mon membre à côté de ma main. J?ai sursauté ne sachant si c?était Christiane ou Nadine.
Je me suis relevé et j?ai alors eu la confirmation qu?il s?agissait bien de Nadine.
Bien sûr que j?avais envie d?elle mais je ne pouvais pas savoir si Christiane dormait. Elle m?avoua être passée dans la chambre de sa soeur et que celle-ci ronflait comme un vrai mec.
Elle était habillée d?une petite culotte que Christiane lui avait donnée car son maillot n?était pas sec. Elle retira sa culotte et entra me rejoindre dans l?eau.
Nos bouches se sont unies, nos langues se sont poussées, accrochées et c?était délicieux. Ma main posée sur sa poitrine roulait déjà ces mamelons. Elle s?est relevée pour enlever mon maillot qui ne servait plus à rien. Sa main saisit mon membre pour lui procurer les mêmes sensations que celles que j?avais commencé à lui donner avant sa venue.
Elle descendit sa bouche pour entreprendre une fellation réclamée depuis plusieurs mois .... Mais il fallait qu?elle tire mon sexe au dessus du niveau d?eau. Il devait y avoir 25 cm d?eau et ceux l?empêcher de respirer. Je me suis mis à rire et puisque je trouvais cela drôle, on avait qu?à inverser les rôles. Elle s?est couchée dans l?eau et c?était à moi de descendre vers son clitoris. Mes mains ou plutôt mes doigts ont tracé le chemin. J?ai plongé la tête dans l?eau et ma langue a aussi tôt reconnu les lieux.
Un doigt dans le vagin et ma langue titillant son clito. Elle ondulait du bassin, je savais que j?étais au bon endroit. Quelques respirations plus tard, elle pris ma tête dans ses mains et la tira hors de l?eau. Elle me retourna sur le dos et vînt s?asseoir sur moi. Mon sexe entra dans sa grotte sans la moindre résistance. J?étais occupé à baiser ma belle-soeur et me rappelant qu?elle l?avait refusé à noël.
Elle montait et descendait sur mon pieu et retenant quelques gémissements. Nadine prit ma main et l?amena à son clito. En massant de mes doigts, elle continuait de monter et descendre. Elle ne gémissait plus, elle criait et avait vraiment du mal à les retenir. Au bout de quelques instants, elle s?est désengagée et est venue s?asseoir face à ma bouche pour m?enduire à nouveau le menton et la bouche de son nectar. Elle était toujours aussi généreuse dans les quantités, ce qui n?était pas fait pour me déplaire.
Quand elle s?est calmée, elle est venue m?embrasser et récupérer une petite quantité de son précieux breuvage.
Ensuite elle est revenue vers mon sexe frustré. Elle a fait comme moi, elle a plongé au lieu de me lever hors de l?eau. C?était une sensation exquise, sa bouche mielleuse et chaude laissait la place quelques deux secondes à une eau plus froide lors de chacune de ses respirations. Ceci eut pour effet de prolonger ma retenue de manière non négligeable. Elle s?en rendait compte et après 20 minutes de ce traitement, elle n?était toujours pas arrivée à bout.
Elle me demanda ce que je voudrais qu?elle fasse pour accélérer la montée. J?ai toujours eu envie d?une chose mais je n?ai jamais osé le demander à mes maîtresses et aucune ne l?a jamais faite spontanément.
Elle m?a regardé d?un drôle d?air sans répondre et a replongé sa tête dans l?eau à la rencontre de mon engin. Elle montait et descendait quand sa main a écarté mes jambes et un doigt est parti en exploration vers mon anus. Elle a poussé délicatement et son index est entré. J?ai ressenti un éclair de douleur mais celui-ci a très rapidement laissé la place à une étrange sensation pas désagréable. Mes muscles se décontractaient et elle a osé un va et vient simultané de la bouche et du doigt. Il n?a plus fallu que quelques secondes pour que j?explose dans sa bouche. C?était ce qu?elle attendait. Elle m?a aspiré jusqu?au bout et est ensuite venue m?embrasser.
Nous sommes montés nous coucher ensemble, elle dans sa chambre et moi chez Christiane. Avant d?entrer dans sa chambre, elle s?est collée à moi et a déposé un tendre baiser sur mes lèvres tandis que sa main est descendue sur mes fesses et en écartant le tissu, son doigt est venu à la rencontre de mon anus. Elle m?a dit que c?était spécial, que c?était une première, qu?elle a aimé et que surtout elle ne s?attendait pas du tout à ce que je lui demande cela.
Je lui ai rendu son baiser et nous sommes entrés dans nos chambres respectives.
Ma femme ronflait toujours, je me suis endormi comme une masse.
Ai Commencé A Me Masturbé Lentement ***
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